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1. Recherches généalogiques 🔎 La branche Bourlaud au XIXe siècle

...recherches généalogiques 🔎 la branche bourlaud au xixe siècle avec le xix° siècle les souvenirs se multiplient et l'apparition, d'abord timide, puis progressivement envahissante de la photographie permet de leur donner un support plus concret. trois bourlaud, prénommés françois et maçon de père en fils, se sont succédés pendant ce temps-là. ils affirmaient que leur famille était originaire du limousin. en effet, depuis fort longtemps, les jeunes limousins avaient pris l'habitude de quitter leur pays à la belle saison pour exercer dans les provinces avoisinantes, et même beaucoup plus loin, le métier de maçon ou de tailleur de pierres pour lequel ils étaient réputés. c'est bien connu et claude perrault a écrit qu'il n'avaient eu qu'à embaucher quelques limousins pour édifier la colonnade du louvre. les bourlaud n'avaient pas eu cet avantage ni cette prétention mais ils avaient épousé des poitevines et s'étaient fixés dans leur région depuis au moins un siècle, probablement deux. du premier françois, il nous restait une armoire louis xiii d'époque en noyer à pointes de diamant. les cambrioleurs l'ont trouvée à leur goût, il y a quelques années ... le second, mort assez jeune, fut élu du roi louis-philippe sergent fourrier de la garde nationale. ce qui prouve qu'il savait au moins lire et écrire et qu'il jouissait d'une certaine considération de la part de ses compatriotes de marçay. le troisième eut beaucoup plus de chance et vécût jusqu'en 1903. son enfance fut assez pénible. orphelin de père à sept ans et de mère à douze, il fut élevé dans une petite maison - aujourd'hui en ruine - à moulin-garnier, près de marçay, par sa sœur, à peine plus âgée que lui et qui, si je m'en rapporte à ce qui m'a été dit, ne devait pas avoir un caractère très agréable. suivant la tradition familiale, il se fit maçon; ce qui lui permit de vivre tant bien que mal. mais, beau g...


2. Recherches généalogiques 🔎 La lignée des Bourdin

...utations eut lieu dans le clergé local quelques jours avant la mort d'alfred, si bien qu'un nouveau curé se présenta à son chevet et que tout fut enfin apaisé. donc, alphonsine fleury se retrouva veuve à trente-six ans avec trois enfants dont l'aîné n'avait que dix-sept ans. elle a connu des difficultés financières jusqu'à ce que survienne l'héritage de la tante bresseau. les bresseau avaient eu le malheur de perdre leurs deux enfants dans des circonstances dramatiques. leur fortune, confortable, revint ainsi moitié à ma grand-mère, moitié à jacques dassys, célibataire et neveu de philippe bresseau. le mariage, de raison ou d'inclination, des deux héritiers mit alphonsine définitivement à l'abri du besoin et jacques eut l'heureuse inspiration de placer toutes les liquidités du ménage dans les emprunts russes ... sur les photographies de la belle epoque, alphonsine fleury se montre plutôt svelte et même assez coquette. elle avait accompagné son mari dans de longs voyages touristiques en suisse, en italie ou ailleurs. mais je n'ai connu qu'une femme à la taille épaissie qui ne sortait presque jamais de sa maison. foncièrement bonne, elle était capable fréquemment d'intentions ou d'actions très délicates qu'elle accomplissait avec discrétion pudique, laissant croire qu'elle était passive et indifférente à tout. sentimentale, elle avait la larme à l'oeil à la lecture des faits divers dans le journal et elle raffolait des romans à l'eau de rose ou des mélodrames palpitants. étant, de loin, le plus jeune de ses petits-enfants, elle avait incontestablement une prédilection pour moi et une de ses grandes joies était de me regarder passer dans la rue lorsque je revenais d...


3. Jacques Bourlaud 🩺 Prépa à Rochefort

...née ; il était donc peu fréquent d’être admis du premier coup, aussi ceux qui « en voulaient » redoublaient-ils volontairement leur première année de médecine pour pouvoir se présenter une seconde fois au concours avec un plus grand nombre de chance. il y avait ainsi une assez forte proportion d’anciens qui contraignaient les nouveaux à chanter des chansons grivoises ou à raconter des histoires plus ou moins croustillantes. les récalcitrants se trouvaient très rapidement allégés de leurs vêtements superflus et même nécessaires. le premier mai, nous nous procurions des canotiers (couvre-chefs qui étaient déjà démodés depuis quinze ans) et nous circulions à travers les rues de rochefort en chantant tout le répertoire de salle de garde jusqu’à ce que la police vienne mettre fin à nos ébats. mais comme à cette époque les rapports entre flics et étudiants n’étaient pas encore trop envenimés, on nous laissait quelques minutes pour nous faire photographier sur les escaliers de la poste avant la dislocation du monôme. enfin si, par hasard, des chansonniers de second ordre venaient à rochefort y présenter un spectacle de « variétés », nous trouvions toujours le moyen d’y ajouter un numéro de notre crû plus ou moins apprécié du public. ce qui m’amène à signaler la pauvreté des distractions que nous pouvions trouver dans cette ville. deux cinémas passaient les films de l’année précédente. parfois une troupe de théâtre égarée y venait jouer une opérette. il y avait chaque année un bal chic : le bal de l’escrime où quelques navalais reçus au dernier concours venaient nous réconforter et nous montrer leurs uniformes neufs. quant aux amateurs de slow, ils trouvaient chaque samedi et chaque dimanche, « chez fradin », un orchestre qui faisait le bonheur des vendeuses de prisunic et des bonniches du quartier. les plages envasées de fourras et de châtellaillon, distantes d’une vingtaine de kilom...


4. Augustin Lucas ⚓ L'Oriental Hydrographe et la photographie - Morceaux choisis

...augustin lucas ⚓ l'oriental hydrographe et la photographie - morceaux choisis lorsque le capitaine lucas quitte valparaiso pour l'océanie, il embarque sa famille, ses biens personnels et probablement aussi une grande frustration liée à la fin de son école de formation. cependant, comme tout entrepreneur obstiné, il emportait dans ses bagages de quoi se lancer dans de nouveaux projets pour son arrivée à tahiti. en chemin, il séjourne au port de sydney entre le 29 mars et le 3 juin 1841. le daguerréotype était arrivé dans la ville auparavant, mais seulement par le biais de quelques notes et commentaires, avec des transcriptions de journaux londoniens dans the colonist et the australasian chronicle. ces articles suscitent la curiosité pour l'invention et un débat sur la priorité de la "découverte" parmi les habitants du lieu. arrivé à sydney sans navire, lucas se présente comme "l'ancien commandant de l'expédition de l'école navale". une fois dans la ville, il profite de la curiosité pour le daguerréotype pour annoncer la vente de son matériel dans the australasian chronicle le 13 avril 1841. outre un équipement complet pour le pratiquer, l'acheteur recevrait toutes les instructions nécessaires. le daguerréotype - les habitants de sidney auront désormais l'occasion d'observer les effets de cette invention très singulière, l'un des instruments ayant été apporté dans la colonie par le capitaine lucas, ancien commandant de l'expédition de l'école navale. grâce au daguerréotype, n'importe qui peut prendre une vue correcte de n'importe quelle localité en cinq minutes. le capitaine lucas a l'intention de céder les instruments [sic] au prix fort, et ils peuvent être vus dans l'agence de mm. joubert et murphy, macquarie-place. l'acheteur recevra des instructions complètes sur la façon de prendre les vues". en 1848, lorsque lucas revint en france, la photographie avait déjà rempli beaucoup de ses promesses et le pays connaissait de...


5. Évangeline Soyer 🌏 Traces d'Évangeline

...Évangeline soyer 🌏 traces d'Évangeline on trouve plusieurs traces d'Évangeline sur la toile. plusieurs biographes de son grand-père augustin lucas font référence à sa "courte autobiographie" reproduite dans l'article précédent. ce document avait été remis par eugène guellec à mon oncle andré qui m'en a donné une copie (comme à tous les enfants de la famille) en 1972. c'était un des élément du dossier constitué par notre cousin bellilois sur notre famille américaine qui avait émigré aux États-unis en 1854. rupert derek wood cite ma publication de cette autobiographie d'Évangeline (à son ancienne adresse) dans son étude sur la contribution d'augustin lucas à l'histoire de la photographie : the voyage of captain lucas and the daguerreotype to sydney . puis, on trouve des traces d'Évangeline dans 4 recensements américains. toujours notée comme célibataire, elle a habité successivement : 1900 à tygart district, wood, west-virginia (il est précisé qu'elle a immigré en 1877) 1910 à steele, wood, west-virginia 1930 à tygart, wood, west-virginia 1940 à south parkersburg, wood, west-virginia elle est enregistrée aussi pour avoir traversé de france vers l'amérique à l'âge de 12 ans. elle traverse de new-york à brest sur le ville de paris (départ de new york le 7 octobre 1871, selon le new york tribune du 9 octobre 1871) elle est encore en vie le 29 octobre 1951, lorsqu'elle déclare le décès de sa sœur marie. elle décède...