Recherche



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :pascal


Page 6 - 10 sur un total de 16 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


6. Mahlon ✍ Une famille bretonne en Amérique

...es écoutilles, secoués pas le roulis et le tangage du navire, entendant le rugissement de la tempête par-dessus les pleurs et les prières de leurs compagnons d’infortune dans ce tintamarre, ils ne pouvaient s’attendre qu’au pire. au milieu de cette confusion, les membres d’une solide famille bretonne se cramponnaient les uns aux autres et à leurs maigres possessions. fermiers de belle-isle, seule famille française à bord, isolés de leurs compagnons de voyage par la langue et la tradition. mais pour eux, la mer n’était pas une inconnue. habitant à proximité de la côte sauvage de belle-isle, ils connaissaient trop bien le risque et l’horreur d’un naufrage. ils avaient dans la famille deux capitaines au long cours qui avaient rapporté des récits suffisamment terrifiants et les désastres maritimes étaient choses communes sur cette côte sauvage. ce qui devrait arriver arriverait, mais il était inutile de se faire du souci. aussi pascal et marie-louise lucas réconfortaient leur progéniture pour faire passer les longues heures. il pouvait y avoir aussi des hommes d'acier parmi les passagers. jean, qui avait 9 ans dit alors : « ne t'inquiète pas pour moi, maman. si le navire fait naufrage, je mettrais mes grandes bottes et je pataugerai jusqu’au rivage. ». sa jeune sœur louisa, qui était assise sur un tonnelet de sucre, partie de leurs provisions pour le voyage, faisait preuve d'un esprit plus pratique : : « mais, maman, est-ce qu’on ne devrait pas manger tout le sucre avant que le bateau coule ? » le bavaria réussit à survivre à la tempête et arriva à new-york. et ni jean ni louisa ne durent recourir à ces mesures extrêmes. toutefois, l’histoire des bottes et du sucre devinrent un élément du folklore de la famille lucas, racontée encore et encore dans des crises de fou-rire. l’aventure que vécut cette famille en s’établissant dans un pays nouveau et quelqu...


7. Mahlon ✍ L'ascendance de Pascal et Marie-Louise Lucas

...mahlon ✍ l'ascendance de pascal et marie-louise lucas chapitre 1 l’ascendance de pascal et marie-louise lucas en faisant des recherches sur l'ascendance de la famille lucas, il a semblé intéressant de prendre en compte les collatéraux, puisqu’ils mènent la trace vers de nombreux cousins qui vivent encore en bretagne et qui peuvent être retrouvés par les visiteurs américains. les données furent principalement compilées par notre cousin eugène le guellec et sa famille, avec quelques additions en provenance des recherches de l’auteur. dans cette section, les collatéraux seront identifiés seulement par leur nom, d’autres informations à leur sujet étant disponibles dans le chapitre 7 : ceux qui sont restés au pays. pascal-marie lucas et marie-louise lucas étaient issus de familles qui avait vécu depuis plusieurs générations à belle-isle-en-mer, morbihan, france. bien qu’ils portaient le même nom, une recherche sur plusieurs générations en arrière n’a permis de découvrir aucun ancêtre commun. en fait, le patronyme lucas apparaît si fréquemment dans les anciens registres de la mairie de bangor à belle-isle, qu'il est souvent difficile de décider qui appartient à quelle famille. heureusement pour l'enquêteur, les familles ne se sont pas beaucoup déplacées et la majorité des naissances, des décès et des mariages sont enregistrés à bangor avec quelques-uns à le palais. le fait que les registres français notent méticuleusement la parenté, y compris avec les dates de naissance, est d'une grande aide. note de katryne - pascal lucas est bien né à bangor, mais ses ascendants sont tous du continent : guénin, plumelin grand-c...


8. Mahlon ✍ La famille de Pascal Lucas

...mahlon ✍ la famille de pascal lucas chapitre 2 la famille de pascal lucas pascal-marie lucas et son épouse née marie-louise lucas étaient issus de deux famille lucas différentes vivant dans la paroisse de bangor, sur belle-isle. ils étaient nés et avaient grandi au village de kernest, à 800 mètres à l'ouest de l'église paroissiale de bangor. ce « village » n'était en fait constitué que d'une rangée de maisons accolées, dans le style breton. a ce jour, seules une maison ou deux ont été ajoutées. pascal et marie-louise se sont mariés à bangor le 9 novembre 1830. le certificat de mariage les liste tous deux comme cultivateurs. ils s'installèrent à kernest. il est probable que la nouvelle famille fut logée par une extension de la rangée de maisons. selon la tradition, pascal aurait habité la dernière maison de la rangée, celle avec une soupente qui permettrait de loger une future famille nombreuse. la maison est toujours debout, bien qu’elle ait été modernisée pour servir de résidence de vacances, sans toutefois avoir perdu l’essentiel de son style breton. pascal et marie-louise ont eu 9 enfants, tous nés à kernest : anne marie lucas, née le 1er novembre 1831 françois augustin victor lucas, né le 10 juillet 1834 marie anne lucas née le 18 septembre 1836 jean-marie émile lucas, né le16 janvier 1839 victor jean louis lucas, né le17 juillet 1841 marie clémentine lucas, née le 20 janvier 1844, décédée le 22 février 1845 jean marie augustin lucas, né le 11 mai 1846 eugène albert prosper lucas, né le 23 mai 1848 louise philomèna lucas, née le 22 avril 1851 à l’exception de marie cléme...


9. Mahlon ✍ Les débuts américains de la famille Lucas

...départ. une voisine qui avait entendu cela, vint voir marie louise : « madame lucas, savez-vous comment vos garçons parlent ? ». quand les garçons furent de retour, on leur demanda où ils avaient bien pu ramasser ce vocabulaire anglais. john répondit que c'était ce que le capitaine du navire disait quand le bavaria n'allait pas comme il le souhaitait, et qu’il avait pensé que c’étaient les mots à employer pour que les luges gagnent un peu de vitesse. on ne sait pas trop où les lucas passèrent les années qui suivirent. selon la tradition, ils habitèrent quelque temps dans la « maison de la colline », que l'on peut aujourd'hui encore identifier comme une ruine en haut de la colline au-dessus de irontown, à environ 0.3 miles (500 mètres) au nord du point ou un chemin forestier quitte la route goudronnée pour longer la piste laurel. (voir dans le chapitre : les terres des lucas). cela se situe à ½ mile de l'angle le plus proche de la parcelle de 75 acres que pascal et marie louise finiront par acheter, mais l'acte de vente de ce terrain ne fut pas enregistré avant 1865, l'année où ils vendirent leur propriété de belle-isle. apparemment, ils attendaient la conclusion de cette opération pour payer leur nouvel établissement. on a supposé que pascal avait loué le terrain pour le mettre en exploitation le temps de pouvoir effectivement en faire l'acquisition. le terrain fut partiellement débroussaillé, cloturé de murs de pierres et utilisé pour la culture et l'élevage du bétail. ils le revendirent en 1881. selon les lettres écrites à victor à belle-isle, vers 1871, pascal et marie-louise déménagent dans une petite ville, probablement en limite de grafton et en 1876, ils achètent une parcelle dans latrobe street, sur laquelle ils construisent une grande maison, qui sera utilisée pour leur résidence et comme pension de famille. c’est là que se tint le repas de thanksgiving de 1891 qui réunit toute la famille. marie ann...


10. Mahlon ✍ Les terres des Lucas

...mahlon ✍ les terres des lucas la localisation des terrains acquis par les familles lucas n'intéresse plus que ceux qui aiment savoir où les choses se sont passées. mais des efforts considérables ont été déployés dans l'espoir de trouver l'emplacement d'une maison que pascal lucas aurait construite pour sa famille dans la région située entre oak grove et irontown. les recherches de base ont été effectuées par charles victor lucas, avec de nombreuses recherches dans les anciens actes et cartes, avec des contributions de howard lucas hunt et de l'auteur. l'ensemble de la zone provenait d'une concession originale accordée à albert gallatin, qui a été morcelée dans les années 1850. le premier achat enregistré le premier achat enregistré dans la famille a été effectué par victor lucas en décembre 1863 et ce n'est qu'en septembre 1865 que la parcelle de pascal a été acquise. comme nous l'avons déjà souligné, ces achats ont pu être retardés jusqu'à la réception de l'argent provenant de la vente des terres de belle isle, mais l'acquisition de victor était sûrement pour un lieu de vie, puisqu'il était marié au début de l'année 1865. dans cette même zone ont été enregistrés des actes de shahan, shinhelt et julius elliott. en mettant à l'échelle ces différentes parcelles, charles a réussi à reconstituer le puzzle. il est difficile d'essayer de retrouver les éléments de l'offre mentionnés dans les actes. par exemple, la description dans l'acte de pascal commence comme suit : "commençant à un petit hêtre sur la rive de halleck run dans une ligne d'un arpentage fait pour jules hilliams. jr. et suivant lad...