Recherche



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :coulombiers


Page 11 - 15 sur un total de 16 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


11. Nos métiers 🛠 Des métiers de Bourlaud

...nos métiers 🛠 des métiers de bourlaud selon une compilation réalisée par louis bourlaud jacques giraud (né en 1764) architecte à paris joseph bartinet entrepreneur en menuiserie à paris, compagnon du tour de france pierre capillon (né en 1774) journalier à cloué (vienne) charles capillon (né en 1806) boulanger à coulombiers (vienne) charles capillon (né en 1830) représentant en produits pharmaceutiques pierre rousseliève poelier louis ferron (né en 1717) maître cordonnier à sanxay (vienne) jacques ferron (né en 1686) maître cordonnier à sanxay (vienne) jacques ferron (né en 1757) cordonnier à sanxay (vienne) auguste ferron (né en 1829) chaudronnier, ancien militaire, garde champêtre à berruges (vienne) jean fleury (né en 1764) charpentier à lusignan (vienne) jean fleury (né en 1800) delavault marchand drapier à lusignan (vienne) alphonse jean fleury (né en 1830) coutelier à niort, puis négociant en engrais marin girard cordonnier à sanxay (vienne ) en 1662 jacques rivault (né en 1770) cultivateur à cloué (vienne) jacques fauchereau (né en 1767) saunier rené bourdin jardinier à poitiers (vienne) philippe breneau (né en 1817) entrepreneur en maçonnerie et chemin de fer jean bourdin « le jeune ».( né en 1792) jardinier jean bourdin « le gentil » (né en 1814) jardinier, négociant en engrais, conseiller municipal à poitiers alfred bourdin (né en 1841) négociant en engrais philippe delavault marchand drapier à lusignan (vienne) françois bourlaud (né en 1768) maçon à moulin-garnier (vienne) françois bourlaud (né en 1797) entrepreneur en maçonnerie à marçay (vienne) françois bourlaud (né en 1830) entrepreneur en bâtiment à poitiers (a construit la maison familiale de la rue de la tranchée), président du conseil des prud’hommes de poitiers françois-charles bourlaud (né en 1881) rentier gabr...


12. Claude 🎓 Nous autres de Coulignan

...claude 🎓 nous autres de coulignan claude chauvigné évoque dans une série de nouvelles le village où il a grandi pendant l'occupation allemande. coulignan, c'est un peu de coulombiers et de lusignan aussi. les noms sont changés, c'est romancé, mais si peu et le premier chapitre, la maison de grand-mère est un bonheur qui réveille chez tous ceux qui l'ont vécu une brassée de souvenirs. chers lecteurs, ouvrez votre cœur et lisez cette histoire sans trop sourire. ou bien, souriez gentiment, aimablement. car nous autres de coulignan sommes gens simples et paisibles qui furent, bien innocemment, jetés dans une tourmente que nous ne comprenions qu'à peine et dont nous avons émergé quelques années plus tard miraculeusement sains et saufs. ou presque. que le bon dieu vint à notre secours et nous protégea ne peut faire l'ombre d'un doute. la douce vierge aussi prêta son concours et veilla sur nous. comme toujours. elle ne nous a jamais abandonnés. et puis, il convient de l'admettre, les siècles écoulés (d'aucuns diront peut-être les millénaires) nous ont appris à ne rien prendre trop au sérieux, bien que pain quotidien et toit chaud soient affaires sérieuses à ne pas négliger. notre long passé, incolore certes et sans fracas, nous a de tout temps incités à la prudence. oh, nous ne rechignons pas au labeur, ni à la douleur, puisque telle est la loi, et les saisons ne manquent point de nous rappeler à nos devoirs. mais nous logeons dans les marges et cheminons bas sur nos sillons. voyez-vous, madame l'histoire ne vit que d'actions dramatiques et ronflantes, aussi n'a-t-elle guère à faire de pièces sans intrigue et d'acteurs sans costumes. cependant, pendant l'occupation, nous étions sur scène. com...


13. Jacques ✎ A la manière du grand siècle

...jacques ✎ a la manière du grand siècle relation des campagnes de monsieur jacques bourlaud de coulombiers, chirurgien des régimens de marine de sa majeste sur les côtes d’annam +++++++++++++++++++++++++++ le destin qui nous réunit tous, avoit voulu que je fusse en service à cette époque, en ma qualité de médecin dans le corps royal de l’artillerie de marine dont un des plus glorieux régimens prenoit ses quartiers d’hiver à melun . c’est alors que sa majesté me fist appeler pour me dire à peu-près ceci - monsieur bourlaud, il nous est arrivé d’apprécier la valeur de vostre ars lors des diverses missions que nous avons daigné vous confier, tant sur la coste des esclaves que dans nos isles lointaines de sainct pierre et miquelon . d’ailleurs, récemment, à ce qu’il nous fust dict, vos maistres de marseille vous ont jugés dignes d’entrer en leur illustre compagnie des chirurgiens de nos régimens de marine . aussi nous paroist-il équitable et juste que vous alliez à vostre tour exercer vos talens soubs d’aultres cieux . faictes-nous donc la grâce de partir au delà des indes orientales vers ces terres d’annam, tunquin et aultres lieus où nos troupes mènent dure bataille depuis tant d’années, versant leur sang pour la gloire de nos armes, la couronne de nostre petit cousin l’empereur d’annam, les terres de ses sujets et aussi les intérest de ceste filiale de la compagnie des indes curieusement dénommée banque de l’indochine . poinct n’est besoin de vous dire qu’il se passe là-bas de rudes combats contre un adversaire rebelle à son souverain encouragé ouvertement par l’empereur de chine et, en sous-main, par le czar de toutes les russies . n’y a-t-il pas dans nostre bon païs de france, de chauds admirateurs du czar pour soutenir sans vergogne ces gens-là ? pas plus tard qu’hier, monsieur duclos de lhuma nous a tenu à ce sujet des propos fort...


14. Jacques ✎ Boivre : La fuite du temps

...™Ã©taient cachées par jeu. Étouffant leurs rires, elles essayaient de deviner qui pouvait bien passer par là. un homme apparut au détour de la route. il était assez grand, maigre, avec un long nez sur lequel retombait le bord d’un vieux feutre cabossé. il avançait, portant un sac sur l’épaule et tenant par la bride un mulet chargé de gros paquets. les petites filles le reconnurent tout de suite. - c’est “l’hirondelle“ ! s’écria agnès en battant des mains. elles bondirent toutes les trois hors de leur cachette pour se porter au devant du colporteur. - quel accueil !... dit celui-ci en prenant marie-thérèse sous le bras et en la juchant sur le dos du mulet. louise partit en courant. - je vais prévenir les autres… cria-t-elle. agnès marchait gravement aux côtés de “l’hirondelle“. elle crut de son devoir de lui donner quelques explications. les parents ne sont pas là… - vraiment ?... mais où sont-ils ? - ils sont allés à coulombiers à l’enterrement d’un vieil oncle. - les follenfant aussi ? - oui…oui… tous les quatre… ils sont partis de bonne heure ce matin. ils seront contents de te retrouver à la maison à leur retour. - je ne sais pas si j’aurais le temps de les attendre… je voudrais être à poitiers ce soir. si j’avais su, je ne serais pas passé par là. - mais si ! mais si ! philippe et cathy t’achèteront beaucoup de choses… ils ont de l’argent, eux… ils sont vieux… pendant ce temps-là, louise était arrivée près des maisons. “l’hirondelle“ est là !… “l’hirondelle“ est là !... criait-elle. pierre, qui était monté sur le toit du hangar pour aider philippe à le couvrir avec des fagots de brande, laissa son ouvrage et sauta sur la route. andré, occupé à retourner un carré de jardin, plus calme que son cousin, donna encore quelques coups de bêche avant d’aller, à son tour, au devant du visiteur. cathy s’était mise, ce jour...


15. Jacques ✎ Boivre : Par les bois et les chemins creux du Poitou

...la boivre pour gagner du temps. ils parvinrent assez rapidement au petit bourg dont les maisons basses s’entassaient entre la rivière et la haute falaise que dominaient les restes d’un château médiéval. rochereau connaissait tout le monde à montreuil ; aussi se dirigea-t-il immédiatement chez le charron qu’il trouva occupé à cercler une roue. l’artisan, dont l’atelier était trop petit, avait installé sans vergogne tout son attirail sur la route qu’il barrait ainsi à moitié. si un carrosse était passé par là, il n’avait pas pu être inaperçu. c’est ce que rochereau fit remarquer au charron. celui-ci se gratta la tête. - « un carrosse noir ... dit-il en patois, avec deux chevaux et un troisième attaché derrière ... un troisième cheval qui ressemble aux vôtres ... un homme à côté du cocher et un laquais par derrière ...oui ... oui ... il est passé par là, il y a bien une heure ... un peu plus, peut-être ... ils ont pris la route de coulombiers. mais, pour sûr, maître valentin ... on croirait que vous partez pour la guerre avec votre épée ... et vous aussi, maître henri ... entrez-donc chez moi boire un verre !... » - « pas le temps ... » et, sous les yeux ébahis du charron, les deux cavaliers repartirent au galop. les deux lieues qui les séparaient de coulombiers furent franchies à grande allure. ils s’arrêtèrent au carrefour du chemin de montreuil et de la grande route de poitiers à l’auberge du cheval blanc située près du pont qui enjambait une petite rivière. ils demandèrent à boire pour leurs chevaux et appelèrent l’aubergiste pour se renseigner au sujet du carrosse. - « si le carrosse venant de montreuil était passé , je l’aurais vu, maître valentin ... non ! il n’en est pas passé un seul ... il n’y a eu que deux ou trois charrettes. » - « nous avons donc perdu la piste entre montreuil et coulombiers ! » constata follenfant avec amertume. ils ont pu bifurquer e...