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Vous recherchiez le terme suivant :colonie


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1. Chroniques familiales 📖 L'origine des métis au Québec

...t marié l'algonquienne marie mite8ameg8k8e en 1657 à trois-rivières, chose que c'était bien gardé de nous dire le bon "linel". mais pourquoi ce dernier nous avait-il menti? j'ai trouvé une partie de la réponse récemment, au hasard de la lecture de la thèse de l'historienne sylvie savoie, intitulée : "métissage et alliances à l'époque de la nouvelle-france", présentée lors d'une conférence à la société historique de saint-romuald en novembre 2000. "au québec, dit-elle, le discours historique traditionnel prônait l'homogénéité de la société de la nouvelle-france. il présentait une société d'origine française et catholique (d'où descendaient des québécois "pure laine"). on ne parlait pas vraiment de la présence d'étrangers ni d'esclaves, dans la colonie française. et le discours minimisait l'importance du métissage en insistant sur l'insignifiance numérique de ce phénomène. "a la fin du 19e siècle, l'historien benjamin sulte évaluait à 30, tout en disant qu'il exagérait les chiffres, le nombre de mariages interethniques jusqu'en 1700. il en prévoyait encore moins pour le 18e siècle. de son côté, l'abbé et généalogiste cyprien tanguay (auteur du dictionnaire généalogique du même nom) dénombrait 95 unions mixtes pour les deux siècles. à leurs yeux, ces résultats prouvaient sans aucun doute que les canadiens français avaient peu (ou même pas du tout) de "sang sauvage". "après la publication, en 1859, de l'origine des espèces de darwin, la théorie voulant que les races représentent différents stades d'évolution fait rapidem...


2. Recherches généalogiques 🔎 Les Acadiens, citoyens de l'Atlantique

... du grand dérangement n'ont rien à envier aux rafles du 3e reich, mais ce fut certainement dû à la hargne de l'officier charles lawrence, qui était par ailleurs peu apprécié de ses pairs. certains de ses subordonnés ont essayé de contrevenir à des ordres dans le sens de plus d'humanité, tandis qu'il faisait l'objet de plaintes auprès du roi d'angleterre de la part des gouverneurs des colonies britanniques. pour nos futurs bellilois prisonniers à falmouth, liverpool et bristol, la couronne britannique versait une pension dont ils se trouvaient bien satisfaits, car elle dépassait (9 à 10 livres par an) la rémunération des ouvriers anglais de l'époque (5 à 6 livres). les acadiens trouvaient généralement qu'ils avaient été bien accueillis et bien traités sur le sol britannique. le grande hécatombe qu'ont subie le lot d'acadiens retenus 7 ans en angleterre (pour la plupart : ceux initialement destinés à la virginie par lawrence et refusés par la colonie)) était due a une épidémie de variole contractée avant le départ d'amérique, vu qu'elle a fait des victimes sur les passagers des 3 bateaux arrivés en 3 endroits différents d'angleterre. je crois que jean-marie fonteneau a raison et qu'au-delà de 3 ou 4 actes sur les ancêtres premiers, on ne doit plus espérer trouver autre chose de nouveau, sauf peut-être du côté des indiens. il pourrait être possible, par contre, de collecter plus d'infos sur ceux dont on est sûr, pour donner plus d'épaisseur à leurs personnages, ainsi que sur l'essaimage des cousins. auteur : jean-marie fonteneau, ancien conservateur de la citadelle de belle-ile-en-mer, éditions ouest-france, 1996-2001...


3. Recherches généalogiques 🔎 Laurent Granger

... garçon de 14 ans ou plus, 1 fille de 12 ans ou plus; 2 arpents, 7 vaches, 10 moutons, 12 cochons, 1 fusil. de là, on peut déduire que laurent, matelot, est né entre 1637 et 1643, marie entre 1647 et 1650, que laurent a quitté cette terre avant sa femme. mais quand : selon les recensements, est veuve dès 1698, mais son mari ressuscite pour celui de 1700. allez savoir …les descendants de belle-isle pensaient que laurent et marie étaient tous deux morts à port-royal. nous possédons en tous cas l’acte de décès de marie landry « mère de granger » : elle a été enterrée le 26 octobre 1719, âgée de « presque 70 ans » (ce qui recoupe sa date de naissance de 1650). (sources : registres de la paroisse de saint-jean-baptiste, port-royal) d’autres recherches évoquent l’hypothèse d’un laurent granger venu de la colonie américaine de plymouth (où se trouvaient des granger à l’époque) ou même d’un laurent granger protestant, mais poitevin, car sur la liste des protestants fugitifs du poitou, dressée par le pasteur jean rivière, se trouvaient des granger, comme des landry d’ailleurs … on peut donc en déduire ... ce que vous voulez, tant que l'on n'aura pas plus d'éléments probants.jacques nerrou écrit ceci en août 2009 dans racines et rameaux français d'acadie n°46. les origines de laurent granger. cette page est un peu une mise au point car beaucoup d’acadiens tant au canada qu’en france ont pour ancêtre laurent granger. aujourd’hui, certains sites sur internet nous donnent même les noms et prénoms des parents’. cette dernière affirmation n’est pas fiable du tout, tant que les preuves en actes ou documents officiels de l&rsqu...


4. Recherches généalogiques 🔎 Le Micmac de la Daussy

...ns son dictionnaire généalogique stephen white remonte à la source de cette erreur ; il cite un article de novia francia de 1927 dans lequel on parle d’un certain jean gaudet d’abbeville (picardie) qui avait 59 ans en 1727, donc né vers 1668 et qui était le fils de jean gaudet et marie daussy. des généalogistes ont fait le rapprochement avec le jean gaudet d’acadie. ceci est totalement impossible car en 1668, à la naissance de jean gaudet, fils de jean gaudet et marie daussy, notre jean gaudet acadien était à port royal marié avec nicole colleson. pourtant le nom daussy figure toujours dans de nombreuses généalogies acadiennes. le père bergeron lui même a avoué s’être trompé sur ce point. (article paru dans société généalogique canadienne française. vol. 40, # 4, p. 299.) certains auteurs pensent que sa première femme serait en fait d’origine micmac, ce qui n’est pas très facile à prouver. dans son ouvrage « une colonie féodale en amérique » edme rameau fait allusion dans une note à une branche métisse de cette famille. "source : rapport de desgouttins du 2 octobre 1702 et les recensements de 1686-93-98 etc (archives de la marine) ce nom s'écrit gaudet ou godet et les membres de cette famille sont très nombreux, non seulement au nouveau-brunswick, mais aussi au canada et en louisiane. il y avait aussi une branche métisse de cette famille sur la côte de l'est qui parait dater de 1630 à 1660 (actes de port-royal) ...


5. Augustin Lucas ⚓ L'Oriental Hydrographe et la photographie - Morceaux choisis

...chemin, il séjourne au port de sydney entre le 29 mars et le 3 juin 1841. le daguerréotype était arrivé dans la ville auparavant, mais seulement par le biais de quelques notes et commentaires, avec des transcriptions de journaux londoniens dans the colonist et the australasian chronicle. ces articles suscitent la curiosité pour l'invention et un débat sur la priorité de la "découverte" parmi les habitants du lieu. arrivé à sydney sans navire, lucas se présente comme "l'ancien commandant de l'expédition de l'école navale". une fois dans la ville, il profite de la curiosité pour le daguerréotype pour annoncer la vente de son matériel dans the australasian chronicle le 13 avril 1841. outre un équipement complet pour le pratiquer, l'acheteur recevrait toutes les instructions nécessaires. le daguerréotype - les habitants de sidney auront désormais l'occasion d'observer les effets de cette invention très singulière, l'un des instruments ayant été apporté dans la colonie par le capitaine lucas, ancien commandant de l'expédition de l'école navale. grâce au daguerréotype, n'importe qui peut prendre une vue correcte de n'importe quelle localité en cinq minutes. le capitaine lucas a l'intention de céder les instruments [sic] au prix fort, et ils peuvent être vus dans l'agence de mm. joubert et murphy, macquarie-place. l'acheteur recevra des instructions complètes sur la façon de prendre les vues". en 1848, lorsque lucas revint en france, la photographie avait déjà rempli beaucoup de ses promesses et le pays connaissait de grands changements avec la fin de la monarchie de juillet, l'abolition définitive de l'esclavage, les soulèvements populaires dans les rues de paris et dans d'autres villes et l'instauration de la seconde république. on suppose qu'il se rendit ensuite aux États-unis, où il mourut alors que la france était déjà sous le second empire (1852-1870). mais ce que l'on sait concrètement, c'est qu'il a revu sa belle-ile e...