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Vous recherchiez le terme suivant :bretagne


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11. Mahlon ✍ L'émigration de Pascal par Mahlon Lucas Henderson

...mahlon ✍ l'émigration de pascal par mahlon lucas henderson pascal marie lucas et sa femme née marie louise lucas appartenaient à deux familles vraisemblablement distinctes, portant le même nom et habitant depuis plusieurs générations à belle-île-en-mer, dans le département du morbihan, qui faisait partie de l’ancien duché de bretagne. en 1970, la maison familiale est toujours debout, mais elle a été modernisée avec succès, sans perdre son style breton caractéristique. marie louise était également née à kernest. pascal et marielouise se marièrent à bangor le 29 novembre 1830 et eurent 9 enfants, dont l’un mourut pendant qu’ils habitaient kernest. les lucas étaient propriétaires d’une ferme qu’ils cultivaient et où ils élevaient du bétail. c’était une terre rocheuse et éventée, qui aujourd’hui encore rapporte un modeste profit en récompense d’une vie frugale et d’un travail opiniâtre. les îliens étaient habitués à travailler dur. les principales occupations de l’île étaient la pêche et l’agriculture et beaucoup de familles, alors comme aujourd’hui combinaient les deux métiers. aujourd’hui, 125 ans après le départ des lucas, le tourisme prédomine dans la vie économique de l’île, mais la pêche subsiste encore, et l’importance de l’agriculture n’est pas négligeable. les années 1850 étaient une époque troublée et la guerre qui allait éclater quelques années plus tard menaçait déjà. les fils de la famille lucas auraient bientôt à envisager une période de service militaire obligatoire dan...


12. Mahlon ✍ L'ascendance de Pascal et Marie-Louise Lucas

...mahlon ✍ l'ascendance de pascal et marie-louise lucas chapitre 1 l’ascendance de pascal et marie-louise lucas en faisant des recherches sur l'ascendance de la famille lucas, il a semblé intéressant de prendre en compte les collatéraux, puisqu’ils mènent la trace vers de nombreux cousins qui vivent encore en bretagne et qui peuvent être retrouvés par les visiteurs américains. les données furent principalement compilées par notre cousin eugène le guellec et sa famille, avec quelques additions en provenance des recherches de l’auteur. dans cette section, les collatéraux seront identifiés seulement par leur nom, d’autres informations à leur sujet étant disponibles dans le chapitre 7 : ceux qui sont restés au pays. pascal-marie lucas et marie-louise lucas étaient issus de familles qui avait vécu depuis plusieurs générations à belle-isle-en-mer, morbihan, france. bien qu’ils portaient le même nom, une recherche sur plusieurs générations en arrière n’a permis de découvrir aucun ancêtre commun. en fait, le patronyme lucas apparaît si fréquemment dans les anciens registres de la mairie de bangor à belle-isle, qu'il est souvent difficile de décider qui appartient à quelle famille. heureusement pour l'enquêteur, les familles ne se sont pas beaucoup déplacées et la majorité des naissances, des décès et des mariages sont enregistrés à bangor avec quelques-uns à le palais. le fait que les registres français notent méticuleusement la parenté, y compris avec les dates de naissance, est d'une grande aide. note de katryne - pascal lucas est bien né à bangor, mais ses ascendants sont tous du continent : guénin, plumelin grand-c...


13. Mahlon ✍ Des lettres par delà les mers

...l épistolier, est décédé en 1893. il restait encore dans la famille à grafton quelques personnes capables d'écrire en français, mais ils n'en avaient pas l'habitude. de part et d'autre de l'océan, on se souvenait qu'il y avait des parents quelque part de l'autre côté de l'eau, mais le lien était rompu. quelques temps après la fin de la guerre, un arrière-petit-fils de jean-louis victor lucas, eugène le guellec, s'est intéressé à la généalogie de sa famille. c'était un architecte prospère, qui avait grandi à belle-isle et vivait à quimper, pas bien loin de la côte bretonne. il concevait des habitations dans le style des anciennes maisons bretonnes et avait une clientèle répartie sur un large territoire. il avait développé une connaissance assez complète de ses connexions familiales en bretagne et il s'est pris de curiosité pour ceux qui avaient disparu dans les régions sauvages de l'amérique. en 1950, sa tante. elizabeth [ou isabelle] guegan naudin, connue sous le nom de "tanzabelle", examinait une boîte de vieux papiers laissée par sa mère, marie céline lucas guégan, fille de jean-louis victor, décédée vingt ans auparavant. elle y trouva quelques lettres écrites à son grand-père par pascal lucas, depuis la virginie-occidentale. se souvenant de l'intérêt de son neveu, tanzabelle a remis ces lettres à sa soeur, marie guégan le guellec, et c'est ainsi qu'elle parvinrent entre les mains d'eugène. il y avait cinq lettres écrites en 1865, 1868, 1871, 1878 et 1888, avec une série d'adresses dans le comté de taylor. ces lettres sont présentées plus loin dans ce chapitre. eugène a d'abord demandé l'av...


14. Raymond 🐍 Mélusine

... répondait à la qualité des mets. on y mangea beaucoup, on y but agréablement et tout se termina par un toast porté à la santé des jeunes époux. mélusine fort contente confia à raimondin son intention de construire ici, sur cet éperon rocheux, une forteresse si puissante qu’elle serait quasiment imprenable. les travaux commencèrent peu de temps après, ils furent poussés avec tant de diligence que tous ceux qui avaient vu ces merveilles en étaient surpris. ils furent achevés rapidement et on appela ce lieu lusignan. sur ces entrefaites, mélusine accoucha d’un fils qui reçu le prénom de guy. il avait le corps bien fait, mais son visage était large et court et il avait des oreilles prodigieusement grandes. néanmoins, mélusine lui donna une bonne nourrice et il profita beaucoup. après une expédition en bretagne d’où il sortit vainqueur, raimondin reprit le chemin de lusignan. lorsqu’il arriva, c’est à peine s'il reconnut les lieux. tout s’y était agrandi. le bourg qui était au pied de la forteresse ressemblait à une ville. il était ceint de bonnes murailles flanquées de grosses tours avec de larges fossés. il est impossible d’exprimer la joie qu’ils eurent à se revoir après une aussi longue absence. raimondin fit une narration détaillée à son épouse de tout ce qui était arrivé et qui se terminait par sa victoire. peu de temps après l’arrivée de raimondin, mélusine accoucha d’un second fils qui s’appela odon. il avait en naissant une oreille plus longue que l’autre. par ailleurs, il était bel et grand, très bien fait de sa personne. quand raimondin se fut un peu reposé des f...


15. Louis Auguste À l'origine de la quête

...etrouvé, dans de vieux papiers de famille, 5 lettres envoyées au pays par nos émigrants bellilois de 1854 depuis la virginie de l’ouest. ce passionné de généalogie a donc exploré les registres bellilois pour connecter les auteurs des lettres à notre famille. puis il a mené l’enquête pour retrouver les cousins d’amérique contemporains. et ils les a retrouvés après plus de 100 ans de séparation.mais ce n’était pas tout. en déroulant les fils de la généalogie belliloise, entre 1950 et 1970, à une époque où ce n’était pas encore la mode, eugène avait exposé la descendance belliloise des colons acadiens déportés en 1755. ce devenait passionnant, romantique parce que tragique. et nous pouvions remonter encore jusqu’aux pionniers du nouveau monde.nous avions des dates, nous avions des noms, nous avions des histoires et de l’histoire. avec gildas, il ne nous restait plus qu’à raconter. et à colmater les brèches.mais ça, c’est une histoire de bretagne, c’était juste pour expliquer comment lui et moi sommes impliqués dans la généalogie, comment nous avons travaillé ensemble (mais à distance) pendant toutes ces années. pour revenir à la généalogie normande, notre grand-père georges cadel le normand a rencontré la bretonne de belle-Île, anna samzun, à lorient après guerre, la grande guerre s'entend. c’était elle, la descendante des acadiens.notre grand-père georges est né en algérie, en 1893. son père louis-auguste y était fonctionnaire, militaire depuis 1891 : il était chef guetteur instructeur dans les sémaphoristes. sa pension lui est accordée par décret du 1er février 1913, à la veille de ses 50 ans. jouissance de la pension au 25 octobre 1912, après 39 ans 1 mois 24 jours de service. c'est l'histoire de louis-auguste que je vais raconter.en 2005, nous en savions bien peu encore, quand gil...