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1. Recherches généalogiques 🔎 Les Acadiens, citoyens de l'Atlantique

...le continent américain, puisque sa mère a pratiquement accouché dès que le bateau a touché terre. j.m. fonteneau ne donne pas d'indication sur l'état civil des indiens mariés aux blancs. ce n'était pas vraiment son propos. mais il faut prévoir que l'identification ne sera pas simple, vu que selon la coutume, les indiens n'ont pas de nom de famille et que leur prénom peut changer. pas facile de les pister, ces coureurs des bois ! 3e enseignement : les anglais ne sont pas toujours les méchants qu'on croit. certes, les conditions du grand dérangement n'ont rien à envier aux rafles du 3e reich, mais ce fut certainement dû à la hargne de l'officier charles lawrence, qui était par ailleurs peu apprécié de ses pairs. certains de ses subordonnés ont essayé de contrevenir à des ordres dans le sens de plus d'humanité, tandis qu'il faisait l'objet de plaintes auprès du roi d'angleterre de la part des gouverneurs des colonies britanniques. pour nos futurs bellilois prisonniers à falmouth, liverpool et bristol, la couronne britannique versait une pension dont ils se trouvaient bien satisfaits, car elle dépassait (9 à 10 livres par an) la rémunération des ouvriers anglais de l'époque (5 à 6 livres). les acadiens trouvaient généralement qu'ils avaient été bien accueillis et bien traités sur le sol britannique. le grande hécatombe qu'ont subie le lot d'acadiens retenus 7 ans en angleterre (pour la plupart : ceux initialement destinés à la virginie par lawrence et refusés par la colonie) était due a une épidémie de variole contractée avant le départ d'amérique, vu qu'elle a fait des victimes sur les passagers des 3 bateaux arrivés en 3 endroits différents d'angleterre. je crois que jean-marie fonteneau a raison et qu'au-delà de 3 ou 4 actes sur les ancêtres premiers, on ne doit plus espérer trouver autre chose de nouveau, sauf peut-être du côté des indiens. il pourrait être possible, par contre, de co...


2. Recherches généalogiques 🔎 Laurent Granger

... voulez, tant que l'on n'aura pas plus d'éléments probants.jacques nerrou écrit ceci en août 2009 dans racines et rameaux français d'acadie n°46. les origines de laurent granger. cette page est un peu une mise au point car beaucoup d’acadiens tant au canada qu’en france ont pour ancêtre laurent granger. aujourd’hui, certains sites sur internet nous donnent même les noms et prénoms des parents’. cette dernière affirmation n’est pas fiable du tout, tant que les preuves en actes ou documents officiels de l’époque ne sont pas trouvés. le recensement de 1671 du père molin nous donne : matelot - laurent grange aagé de 34 ans, sa femme marie landry aagée de 24 ansleurs enfans deux, margueritte aagée de 3 ans, pierre aagé de neuf mois, leurs bestes a cornes cinq etsix brebis, leurs terres labourables quattre arpans. ancêtre de nombreux bellilois, les origines de laurent granger ne sont pas connues. il serait né vers 1643 à plymouth. aujourd'hui rien ne permet de dire que ses parents étaient anglais. à l’époque ce patronyme est très répandu, on le trouve en bretagne, en normandie, dans le poitou, dans la drôme, le gard, dans la haute-garonne. vers 1600, un granger marchand de toulouse fait affaire à la rochelle. laurent granger est probablement d'origine française son père faisait-il partie des français ayant rejoint l'angleterre après le siège de la rochelle, accompagnant les pesselet, dont l’origine champenoise est aujourd'tui connue, ou comme pierre melanson dit la verdure qui avait épousé une anglaise, priscilla mallinson ? il y a quelques années l’un de ses descendants américains avait écrit au prêtre de la cathédrale catholique de plymouth parce qu’i...


3. Jean-Marie et Pascaline Samzun ⎈ Les Bellilois

...jean-marie et pascaline samzun ⎈ les bellilois nos arrière-grands-parents sont nés à belle-Île-en-mer. ils y ont grandi, s'y sont mariés. leurs quatre filles y sont nées. mais ils ont préféré s'installer sur le continent pour leur assurer des études plus poussées. elles ont toutes quatre été diplômées, deux d'entre elles sont devenues sage-femmes, une autre institutrice. ce qui n'était pas très répandu à l'aube du xxe siècle, surtout pour des filles de marin. pascaline joséphine lucie hélène lucas est née le 31 mars 1866 au bourg de sauzon, que l'on appelait à l'époque port-philippe. ses parents augustin bruno lucas et anne marie granger (photo ci-contre) sont l'un et l'autre cultivateurs et tous deux aussi descendants des acadiens qui vinrent s'installer sur l'île en 1765 : 5 générations en arrière, on trouve des deux côtés charles granger (de port-royal) et françoise leblanc (de grand-pré) qui habitaient l'acadie, avant que les anglais ne les déportent. tous les autres ascendants de pascaline sont bellilois, aussi loin que l'on puisse remonter, parfois sur 7 ou 8 générations.   toussaint jean-marie samzun est un îlien pur jus ou quasi. aucun américain parmi ses ancêtres, peut-être la trace d'une bretonne continentale, en cherchant loin ... toussaint est né le 16 juillet 1862 à bortifaouen, commune de port-philippe. ses parents, charles marie samzun et jeanne marie lucas sont cultivateur et cultivatrice selon la déclaration de naissance.   pascaline et jean-marie se marient le 29 mai 1888 à sauzon. ils vont avoir 4 filles, en 1889, 1894, 1895 et 1897, toutes nées à sauzon. lors de la naissance de joséphine marie, le 20 mars 1889, le père est absent. selon l'acte, il est marin et son épouse ménagère. ils habitent au bourg de sauzon. a la naissance de notre grand-mère anna le 27 juillet 1894, c'est jean-marie, toujours marin qui fait la déclaration. la mère est indiquée sans profession. les témoins sont l'...


4. Évangeline Soyer 🌏 Traces d'Évangeline

...Évangeline soyer 🌏 traces d'Évangeline on trouve plusieurs traces d'Évangeline sur la toile. plusieurs biographes de son grand-père augustin lucas font référence à sa "courte autobiographie" reproduite dans l'article précédent. ce document avait été remis par eugène guellec à mon oncle andré qui m'en a donné une copie (comme à tous les enfants de la famille) en 1972. c'était un des élément du dossier constitué par notre cousin bellilois sur notre famille américaine qui avait émigré aux États-unis en 1854. rupert derek wood cite ma publication de cette autobiographie d'Évangeline (à son ancienne adresse) dans son étude sur la contribution d'augustin lucas à l'histoire de la photographie : the voyage of captain lucas and the daguerreotype to sydney . puis, on trouve des traces d'Évangeline dans 4 recensements américains. toujours notée comme célibataire, elle a habité successivement : 1900 à tygart district, wood, west-virginia (il est précisé qu'elle a immigré en 1877) 1910 à steele, wood, west-virginia 1930 à tygart, wood, west-virginia 1940 à south parkersburg, wood, west-virginia elle est enregistrée aussi pour avoir traversé de france vers l'amérique à l'âge de 12 ans. elle traverse de new-york à brest sur le ville de paris (départ de new york le 7 octobre 1871, selon le new york tribune du 9 octobre 1871) elle est encore en vie le 29 octobre 1951, lorsqu'elle déclare le décès de sa sœur marie. elle décède le 1er décembre 1953 à parkersburg, wood, west virginia...


5. Amérique 🗽 Cousine indienne à Belle-Ile

...amérique 🗽 cousine indienne à belle-ile de notre envoyée spéciale. madame legac, maryvonne de son petit nom, aurait du sang indien dans les veines. un métissage lointain qu’elle dévoile en chuchotant, de peur de faire sourire les deux chiens de faïence, assis sur la cheminée de son salon empire. l’incongruité de sa révélation l’indiffère : la petite mercière du palais croit dur comme fer en son ascendance indienne et ses yeux gris, bridés à la mode bretonne, brillent d’une grande fierté.l’affaire remonte au xviiie siècle. l’un de ces ancêtres acadiens aurait fauté avec une peau-rouge de la tribu micmac. « rien n’est écrit, bien sûr, glisse rapidement la belliloise dans le fil de son récit, mais une fille naquit de cette union. o­n l’appela aidmée la sauvagesse. »a regarder maryvonne tricoter ses rideaux de dentelle dans sa petite mercerie coquette du palais, le gros bourg de belle-ile, o­n a peine à déceler son origine indienne. « pensez donc, justifie-t-elle, les rapatriés d’acadie se sont mariés aux bellilois à peine deux ans après leur arrivée, à l’automne 1765. o­n est très métissés ici. yves brien, par exemple, celui qui fait les légumes à port guen, il est de mère réfugiée espagnole et de père d’origine acadienne. » et oui, belle-ile l’insulaire, la fortifiée, dont les hautes murailles vauban côté continent et les falaises à pic du versant atlantique se dressent comme des boucliers de pierre, a de tout temps accueilli l’étranger. en 1765, elle cède 780 arpents de terre à 78 familles rapatriées d’acadie. deux siècles ...