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16. Amérique 🗽 Les premiers établissements Acadiens

...amérique 🗽 les premiers établissements acad...


17. Amérique 🗽 Évangeline par Longfellow

...e tardait pas d'ordinaire à paraître. en le voyant venir d'un pas majestueux tous les petits enfants cessaient leurs bruyants jeux, leurs courses dans les prés, leurs cris de toutes sortes et retournaient s'asseoir en rang devant les portes. arrêtant leurs fuseaux, les femmes se levaient, et, par des mots polis, toutes le saluaient. bientôt les laboureurs revenant de l'ouvrage a l'étable menaient leur pesant attelage. le soleil émaillait la pente du côteau: et ses derniers rayons, comme des filets d'eau, jusques au fond du val, glissaient de roche en roche. de sa voix argentine au même instant la cloche annonçait l'angélus et le déclin du jour. et, pardessus les toits et les monts d'alentour, on voyait la fumée en colonnes bleuâtres, comme des flots d'encens, s'échapper de ces âtres où l'on goûtait la paix, le plus divin des biens. ainsi vivaient alors les simples acadiens: leurs jours étaient nombreux et leur mort était sainte. libres de tout souci comme de toute crainte, leurs portes n'avaient point de clef ni de loquet; car dans l'ombre des nuits nul n'était inquiet; et, chez ces bonnes gens, on trouvait la demeure ouverte comme l'âme, à chacun, à toute heure. là le riche vivait avec frugalité, le pauvre n'avait point de nuits d'anxiété. sur une grande ferme attachée au village, et tout près du bassin, au milieu du feuillage, on voyait, autrefois une belle maison a l'air un peu coquet avec son blanc pignon: c'était là qu'habitait benoit bellefontaine. il avait avec lui, dans ce joli domaine, la jeune evangéline, une suave fleur. tous deux vivaient heureux. benoit avait du coeur, une haute stature, un bras fort, un front hâve, un oeil intelligent mais peut-être un peu cave, un démarche ferme et soixante-et-dix ans. avec son t...


18. Louis Auguste À l'origine de la quête

...louis auguste À l'origine de la quête je suis le conteur de la tribu nous sommes des émigrants, des pionniers, des conquérants, nous avons colonisé l’amérique. nous nous y sommes pris à trois fois, au xvi° siècle, au xix°, au xx°, même peut-être quatre si jonathan y fait souche, car chez lui vient de naître au xxi°e siècle une petite new-yorkaise. et encore, là, je ne vais pas vous conter aujourd’hui tahiti, le chili, le japon, l’algérie et le continent noir où nous avons posé nos marques. ni la diaspora du grand dérangement au xviii° siècle quand les goddams (ces maudits anglais …) nous on déportés. encore que... en fait, l’expulsion des nos aïeux acadiens et leur ré-implantation en france, à belle-isle-en-mer, la découverte de leur parcours, c’est bien ce qui a déclenché ma passion pour la généalogie. j’avais 21 ans en 1972 et je suis devenue le conteur de la tribu. toutes les tribus en ont un, et c’est ce jour là que j’en ai reçu la marque. nous étions tous autour du lit en septembre 1972 quand mon grand-père s’en est allé, ses fils, ses petits-enfants. madeleine, notre belle-grand-mère, sa seconde épouse, nous a entraînés, nous les 5 petits-enfants au rez-de-chaussée, dans le magasin : « j’ai quelque chose pour vous, c’est votre histoire, votre grand-père avait prévu de vous la confier. suivez-moi. » nous sommes descendus encore, à la cave elle nous a placés au pied de l’escalier et a remonté trois marches. chaque marche recouvrait un tiroir, chaque contre-marche avait un bouton de bois et une étiquette. madeleine ouvre le tiroir « belle-Île » et en sort un dossier. (je l’ai encore) je m’en empare, je suis l’aînée, après tout… madeleine remonte à l’étage, les trois plus jeunes ne sont pas passionnés et partent explorer les hangars. je reste avec mon cousin gildas, il a 18 ans, et nous, c’est le dossier que nous explorons. nous n’avons pas vu le temps passer, nous ...


19. Conteur de la tribu 🗺 Généa50

...conteur de la tribu 🗺 généa50 nous sommes des émigrants, des pionniers, des conquérants, nous avons colonisé l’amérique. nous nous y sommes pris à trois fois : au xvi° siècle (les pionniers d’acadie) au xix° (les lucas de belle-Île vers la virginie de l’ouest), au xx° (là, c’est mon beau-frère en 1954), même peut-être quatre si mon petit-neveu jonathan y fait souche, car chez lui vient de naître au xxi° siècle une petite new-yorkaise. et je pourrais encore vous conter tahiti, le chili, le japon, l’algérie et le continent noir où nous avons traîné nos guêtres. sans oublier saint-pétersbourg, le portugal et la diaspora du grand dérangement au xviii° siècle quand les goddams (ces maudits anglais …) nous ont déportés. en fait, l’expulsion des nos aïeux acadiens et leur ré-implantation en france, à belle-isle-en-mer, la découverte de leur parcours, c’est bien ce qui a déclenché ma passion pour la généalogie. j’avais 21 ans en 1972 et je suis devenue le conteur de la tribu. toutes les tribus en ont un, et c’est ce jour là que j’en ai reçu la marque. l'origine de la quète nous étions tous autour du lit en septembre 1972 quand mon grand-père s’en est allé, ses fils, ses petits-enfants. madeleine, notre belle-grand-mère, sa seconde épouse, nous a entraînés, nous les 5 petits-enfants, au rez-de-chaussée, dans le magasin « j’ai quelque chose pour vous, c’est votre histoire, votre grand-père avait prévu de vous la confier. suivez-moi. » nous sommes descendus encore, à la cave. elle nous a placés au pied de l’escalier, puis a remonté trois marches. chaque marche recouvrait un tiroir, chaque contre-marche avait un bouton de bois et une étiquette. madeleine a ouvert le tiroir « belle-Île » et en a sorti un dossier. (je l’ai encore) je m’en suis emparé, je suis l’aînée, après tout… madeleine est remontée à l’étage, les trois plus jeunes n'étaient pas passionnés ...


20. Les déclarations de Belle-Île 📃 Arrêt de la Cour de Rennes du 12 janvier 1767

...les déclarations de belle-Île 📃 arrêt de la cour de rennes du 12 janvier 1767 extrait de l'arrêt de la cour rendu sur les remontrances et conclusions de monsieur le procureur général du roy concernant les acadiens actuellement établis à belle-isle. une page des déclarations de belle-île du douze janvier 1767.l'avocat général du roy entré en la cour a remontré que la bonté du roy et les secours de la province ayant procuré la subsistance à une colonie acadienne, actuellement établies à belle-isle, il était nécessaire d'assurer l'état des familles qui compose cette colonie;que tous les registres mariages, baptêmes et sépultures ayant été perdus dans la persécution des anglais, on ne pouvait suppléer à cette perte, qu'en rétablissant autant qu'il était possible, les filiations de ces infortunés fugitifs.l'arrêt de règlement du 11 janvier 1746 rendu pour la paroisse de sougeal, présente un modèle que l'on propose à la cour avec confiance; l'espèce étant à peu près la même, il s'agissait de remédier à la faute énorme d'un recteur qui avait rapporté les baptêmes, mariages et sépultures sur des feuilles volantes sans prendre même aucune précaution qui eussent pu donner ancienne authenticité à cette feuille, en sorte que la paroisse de sougeal était réellement sous registre.a cette cause, le dit avocat général du roy requiert qu'il y fut pourvu dans ses conclusions, qu'il a laissé par cour, vu le rapport de monsieur besson défossés conseiller doyen de la cour, et sur le délibéré.la cour faisant droit sur les remontrances et conclusions du procureur gén&eacut...