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11. Recherches généalogiques 🔎 La génération des parents de Jacques Bourlaud au XXe siècle

...ramasser furtivement, tremblant d'être découverte ... puis vint le grand jour du mariage de georges et de rose où les amoureux, pour échanger des pensées plus intimes et - pourquoi pas ? - un baiser, avaient cru bon de se dissimuler derrière un paravent ... seulement, ils ne s'étaient pas aperçus que le paravent ne descendait pas jusqu'au sol ... si bien que toute la noce pouvait s'offrir le spectacle du bas du pantalon de gabriel en contact prolongé avec le bas de la robe de jeanne ... scandale ... mais éclats de rire et pour finir fiançailles officielles ! pour sceller cet accord, les deux familles sont montées à paris visiter l'exposition universelle. gabriel et jeanne auraient bien voulu bénéficier de quelques instants de liberté pour goûter à deux le charme de cette ville qu'ils découvraient. mais les mères n'étaient pas de cet avis. marie bouchet se montrait d'autant plus stricte qu'elle avait amené ses deux filles et que deux jeunes poitevins, tournant plus ou moins discrètement autour de ces demoiselles, s'étaient, comme par hasard au même moment, trouvés très attirés par l'exposition. mais un jour où tout le monde devait se rendre à versailles, ils virent que l'omnibus était déjà en marche. agiles, gabriel et jeanne l'ont rattrapé à la course et ont pu sauter sur la plateforme arrière, laissant sur place tout le reste de la famille, qui d'ailleurs les a rejoint par la voiture suivante. il y eut ensuite le mariage avec la grande photo de famille et une autre, plus petite, montrant les jeunes mariés seuls et où ma mère, surprise par l'éclair du magnésium, louche d'une façon abominable ... et ce fut une suite de jours heureux et insouciants, interrompu par le service mil...


12. Jacques Bourlaud 🩺 Sur le chemin des écoliers

...e son magasin, je voyais presque toujours madame bourrinet, la marchande de chaussures qui connaissait très exactement les pointures de toute la famille. donc, salutations.a partir de cet endroit, j'avais la chance - si l'on peut dire - de croiser des personnalités marquantes du lycée. monsieur chauvin, le proviseur, passait souvent par là l'après-midi ; avec sa barbiche grise, pointue et frisée, la canne à la main, il allait tranquillement faire un petit tour à blossac ou, plus prosaïquement se faire soigner les dents chez mon oncle. je soulevais mon béret et descendais du trottoir, persuadé qu'il me reconnaissait parmi les quatre ou cinq cents élèves dont il avait la charge. mais ne venait-t-il pas régulièrement dans les petites classes écouter la lecture des résultats des dernières compositions et distribuer des images aux plus méritants ?il y avait aussi parfois le censeur, monsieur garaud avec ses cheveux roux. je crois maintenant que c'était le père de marie-france garaud, bien connue dans les milieux politiques.le surveillant général, monsieur amboise, me connaissait très bien car ses filles étaient très amies avec mes sœurs. c'était un homme grand dont l'aspect bourru et la grosse voix cachaient un cœur d'or que mes camarades pensionnaires avaient vite fait de découvrir. ils appréciaient en lui le personnage «réglo» mais juste. ce triumvirat était gratifié de surnoms. mon cousin pierre rat, de sept ans plus âgé que moi, n'avait pas manqué de m'initier à ce sujet. le proviseur était appelé «le patron». le surveillant général, «le pote», sans doute en raison de son prénom, jules, qui dans l'imagination populaire désignait un ustensile ménager à usage très précis. quant au censeur, c'était «le zinc». pourquoi ? je ne l'ai appris que beaucoup plus tard : le professeur qui nous enseignait les lettres classiques en première avait été pensionnaire au lycée pendant la guerre 1914-1918 et le censeur de cett...


13. Louis et Maria Cadel ⛯ Ligne du temps

...et d’état civil ) pour écrire une partie de la vie de nos arrières-grands-parents. je remercie alfred dupouvoir, membre du centre généalogique de la manche qui, très gentiment et très gracieusement, a fait les recherches qui nous ont permis d’avancer. louis auguste cadel est né à varouville en 1863 de l’union d’auguste et de caroline fleury. il fut novice au commerce ( pêche ) de 1880 à 1883, date à laquelle il rejoignit la marine nationale. patron en 1888, il devient guetteur sémaphorique en 1889 à cherbourg. il rejoint flamanville en 1890. nommé guetteur de 2e classe à/c. du 01.07.1889, il est appelé à continuer ses services en algérie par dépêche du 2.12.1890. (son dossier et son état général des services est adressé aux commissariat aux revues à alger le 16 mars 1891) maria ( marie léonie ) est née à cherbourg en 1864. elle était la fille d’alfred pilard né en 1832 à carteret, et de jeanne rosalie fleury née en 1837 à matignon (côtes-d'armor). les pilard étaient originaires de réville. alfred pilard appartenait à la marine nationale. il rejoint en 1866, en tant que maître voilier, yokoska (à proximité de yokohama dans la baie de tokyo). en effet, le japon souhaitait se moderniser (ère meiji) et les français entreprirent dès cette date de construire l’arsenal de yokoska (aujourd’hui le plus important port militaire du sud est asiatique à la disposition de l’us navy). lors du voyage vers yokohama, le 18 juin 1866, naquit émile. selon maria, son petit frère était "né en mer, mort en mer". on trouve la trace du mariage d'émile en 1888 à barneville-carteret. une petite...


14. Jean-Marie et Pascaline Samzun ⎈ Les Bellilois

...jean-marie et pascaline samzun ⎈ les bellilois nos arrière-grands-parents sont nés à belle-Île-en-mer. ils y ont grandi, s'y sont mariés. leurs quatre filles y sont nées. mais ils ont préféré s'installer sur le continent pour leur assurer des études plus poussées. elles ont toutes quatre été diplômées, deux d'entre elles sont devenues sage-femmes, une autre institutrice. ce qui n'était pas très répandu à l'aube du xxe siècle, surtout pour des filles de marin. pascaline joséphine lucie hélène lucas est née le 31 mars 1866 au bourg de sauzon, que l'on appelait à l'époque port-philippe. ses parents augustin bruno lucas et anne marie granger (photo ci-contre) sont l'un et l'autre cultivateurs et tous deux aussi descendants des acadiens qui vinrent s'installer sur l'île en 1765 : 5 générations en arrière, on trouve des deux côtés charles granger (de port-royal) et françoise leblanc (de grand-pré) qui habitaient l'acadie, avant que les anglais ne les déportent. tous les autres ascendants de pascaline sont bellilois, aussi loin que l'on puisse remonter, parfois sur 7 ou 8 générations.   toussaint jean-marie samzun est un îlien pur jus ou quasi. aucun américain parmi ses ancêtres, peut-être la trace d'une bretonne continentale, en cherchant loin ... toussaint est né le 16 juillet 1862 à bortifaouen, commune de port-philippe. ses parents, charles marie samzun et jeanne marie lucas sont cultivateur et cultivatrice selon la déclaration de naissance.   pascaline et jean-marie se marient le 29 mai 1888 à sauzon. ils vont avoir 4 filles, en 1889, 1894, 1895 et 1897, toutes nées à sauzon. lors de la naissance de joséphine marie, le 20 mars 1889, le père est absent. selon l'acte, il est marin et son épouse ménagère. ils habitent au bourg de sauzon. a la naissance de notre grand-mère anna le 27 juillet 1894, c'est jean-marie, toujours marin qui fait la déclaration. la mère est indiquée sans profession. les témoins sont l'...


15. Jean-Marie et Pascaline Samzun ⎈ Le passage sur le continent

...jean-marie et pascaline samzun ⎈ le passage sur le continent on nous a raconté que l'éducation des filles était le motif du départ de la famille pour le continent. a nantes, ou peut-être saint-nazaire, jean-marie devient pilote sur la loire. peut-être lorient ensuite ? aujourd'hui, nous savons seulement qu'ils ont aussi habité lorient, au 51 de la rue amiral courbet. ils y sont morts tous deux, lui le 18 octobre 1931, elle le 30 novembre 1935, selon les archives de lorient. sur les actes de décès, il est indiqué qu'il était pilote en retraite, et elle, sans profession. ils sont enterrés au cimetière de carnel. ...