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1. Chroniques familiales 📖 L'origine des métis au Québec

... drouin, situé à montréal. il a produit en 2004 une étude généalogique relative à un groupe de personnes originaires de l'ancienne acadie qui révolutionne tous les lieux communs depuis une centaine d'années sur l'origine des acadiens. pour dresser le tableau des femmes métisses ou liées aux métis en acadie en 1691, publié sur le site internet de la corporation, il a passé en revue les travaux de bona arsenault, adrien bergeron, florian bernard, jean-baptiste chiasson, azarie couillard-després, patrice gallant, caroline martin-hamelin, archange godbout, janet jehn, léonce jore, clarence lebreton, paschal poirier, edmé rameau de saint-père, marc-adélard tremblay et stephen white. il a ensuite repris l'étude généalogique de l'institut drouin sur l'origine des acadiens effectuée durant les années 1940. cette étude maison jamais publiée fait la démonstration de l'absence totale de documents d'époque soutenant la thèse voulant que, sous le régime anglais de sir william temple, des français et des françaises se sont installés à port royal (indianapolis royal, nouvelle-écosse) entre 1656 et 1671, au moment où l'angleterre dirigeait les colons qui s'y trouvaient. elle conclut que si des hommes et des femmes d'origine inconnue sont présents au recensement de port-royal de 1671, on ne peut pour autant conclure qu'en l'absence d'actes de l'état civil, elle sont toutes d'origine strictement française, sous seul prétexte qu'elles ont des noms à consonance française, d'autant plus que cela signifierait qu'elles seraient débarquées en acadie sous occupation anglaise, entre 1654 et 1670, chose improbable, voire impossible, puisque la france en cette époque n'envoyait pas de...


2. Recherches généalogiques 🔎 Nos Bourlaud jusqu'au XVIIIe siècle

...recherches généalogiques 🔎 nos bourlaud jusqu'au xviiie siècle par jacques bourlaudgrâce à l'etat civil il est relativement facile de remonter le cours de sa lignée jusqu'à la révolution. au delà de cette période, c'est beaucoup plus délicat. cependant, avec un peu de méthode, beaucoup de patience, du temps et le concours de certains hasards heureux, on parvient à identifier quelques personnes ayant vécu au xviii° ou au xvii° siècle. mais ces "résurrections" n'apportent pas grand chose au folklore familial. tout juste un nom et une date; et encore, bien souvent, celle-ci ne correspond ni à la naissance, ni à la mort. parfois, l'indication d'un métier exercé apparaît, ce qui apporte une toute petite lueur. gaudin, époux de gilette dupuis, maître cordonnier à sanxay et contemporain de louis xiii ne nous est connu que par un acte notarié mentionnant qu'il avait acheté en 1637, près de l'église de son village, une maison qui tient encore debout. philippe delavault, un marchand drapier à lusignan, nous a laissé un livre journalier de comptes étalés sur deux ou trois années aux alentours de 1770. avec un peu d'imagination, il est possible de cerner sa personnalité et de faire revivre son activité professionnelle. mais, à ma connaissance, aucun de ses descendants n'a transmis de détails précis ni d'anecdotes à son sujet. il faut attendre 1789 - une date dont on parle de temps en temps pour voir la tradition familiale une aïeule en marge d'un événement historique. marie laguillon était parisienne. j'ai déjà dit que les garçons, autrefois, épousaient des filles de leur région. françois bouchet, mon arrière-grand-père, est justement "l'exception qui confirme la règle". compagnon menuisier, il avait quitté son village natal de châtain - aux confins du poitou et du limousin - pour entreprendre son tour de france. ce qui l'avait mené à paris où il avait fondé, sous le second empire, une entreprise de menuiseri...


3. Recherches généalogiques 🔎 La branche Bourlaud au XIXe siècle

...s pour lequel ils étaient réputés. c'est bien connu et claude perrault a écrit qu'il n'avaient eu qu'à embaucher quelques limousins pour édifier la colonnade du louvre. les bourlaud n'avaient pas eu cet avantage ni cette prétention mais ils avaient épousé des poitevines et s'étaient fixés dans leur région depuis au moins un siècle, probablement deux. du premier françois, il nous restait une armoire louis xiii d'époque en noyer à pointes de diamant. les cambrioleurs l'ont trouvée à leur goût, il y a quelques années ... le second, mort assez jeune, fut élu du roi louis-philippe sergent fourrier de la garde nationale. ce qui prouve qu'il savait au moins lire et écrire et qu'il jouissait d'une certaine considération de la part de ses compatriotes de marçay. le troisième eut beaucoup plus de chance et vécût jusqu'en 1903. son enfance fut assez pénible. orphelin de père à sept ans et de mère à douze, il fut élevé dans une petite maison - aujourd'hui en ruine - à moulin-garnier, près de marçay, par sa sœur, à peine plus âgée que lui et qui, si je m'en rapporte à ce qui m'a été dit, ne devait pas avoir un caractère très agréable. suivant la tradition familiale, il se fit maçon; ce qui lui permit de vivre tant bien que mal. mais, beau garçon, il eut le bonheur de plaire à madeleine capillon. madeleine capillon était une jolie fille portant fièrement la coiffe de coulombiers où son père exerçait la profession de boulanger. la boulangère a des écus, dit la chanson. la dot de madeleine apporta donc un sérieux appui à l'ardeur au travail, à la compétence et à l'esprit d'organisation de françois. abandonnant son activité d'artisan villageois, il fonda en association avec son jeune frère louis - qui avait lui aussi épousé une fille de boulanger - une entreprise à poitiers qui devint, au bout de quelques années, une des plus importante de la ville. ceux de ma génér...


4. Recherches généalogiques 🔎 La lignée des Bourdin

...ix-sept ans. elle a connu des difficultés financières jusqu'à ce que survienne l'héritage de la tante bresseau. les bresseau avaient eu le malheur de perdre leurs deux enfants dans des circonstances dramatiques. leur fortune, confortable, revint ainsi moitié à ma grand-mère, moitié à jacques dassys, célibataire et neveu de philippe bresseau. le mariage, de raison ou d'inclination, des deux héritiers mit alphonsine définitivement à l'abri du besoin et jacques eut l'heureuse inspiration de placer toutes les liquidités du ménage dans les emprunts russes ... sur les photographies de la belle epoque, alphonsine fleury se montre plutôt svelte et même assez coquette. elle avait accompagné son mari dans de longs voyages touristiques en suisse, en italie ou ailleurs. mais je n'ai connu qu'une femme à la taille épaissie qui ne sortait presque jamais de sa maison. foncièrement bonne, elle était capable fréquemment d'intentions ou d'actions très délicates qu'elle accomplissait avec discrétion pudique, laissant croire qu'elle était passive et indifférente à tout. sentimentale, elle avait la larme à l'oeil à la lecture des faits divers dans le journal et elle raffolait des romans à l'eau de rose ou des mélodrames palpitants. étant, de loin, le plus jeune de ses petits-enfants, elle avait incontestablement une prédilection pour moi et une de ses grandes joies était de me regarder passer dans la rue lorsque je revenais du lycée. grâce à elle, en compagnie de mes soeurs ou de cousines, j'ai bénéficié de deux séjours d'un mois à royan à une époque où les "bains de mer" n'étaient pas encore dévalorisés. je lui dois mes plus beaux jouets tant...


5. Recherches généalogiques 🔎 La génération des parents de Jacques Bourlaud au XXe siècle

...l'index; gabriel, à dix pas, prenait sa carabine, visait, tirait et transperçait l'oeuf ... jane voulut en faire autant et réussit ... mais mon père, prudent, avait préféré suspendre l'oeuf au bout d'un fil ... il m'a raconté cette histoire alors que j'étais déjà grand pour m'indiquer ce qu'il ne fallait jamais faire ... il nous a aussi souvent parlé de ses démêlés avec le chat de la tante marrot, car gabriel n'aimait pas les chats en général et celui de sa grand-tante en particulier. ne trouva-t-il pas, un jour en entrant dans sa chambre, le matou confortablement installé sur son lit !.. ayant refermé la porte avec fracas, il se dirigea vers le lit avec un air tellement menaçant, tellement terrifiant que le pauvre chat n'eut que la ressource de sauter par la fenêtre. seulement la chambre se trouvait au troisième étage de la maison - douze mètres ...-. mon père vaguement inquiet, s'est penché sur l'appui de la fenêtre pour voir le chat tourbillonner dans l'espace, atterrir sur ses quatre pattes, s'ébrouer quelques instants et aller se réfugier à l'abri d'un buisson pour se remettre de ses émotions ... dieu merci ! l'héritage de la tante était préservé ... au collège des frères de la grand-maison, il s'était surtout montré très doué en gymnastique. grimpé tout en haut de la corde, il avait comme tant d'autres, écrit son nom à la craie sur la poutre qui supportait les agrès. or le lycée de jeunes filles s'est logé plus tard dans ce collège désaffecté. la salle de gymnastique avait conservé ses fonctions et mes sœurs avaient la fierté, en levant les yeux, de voir le nom de gabriel bourlaud qui s'étal...