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1. Chroniques familiales 📖 L'origine des métis au Québec

...chroniques familiales 📖 l'origine des métis au québec un gros mensonge, un texte de pierre montour. ou pour le dire autrement : secouez l'arbre (généalogique) d'un québecois, il en tombera toujours des plumes. mon nom est pierre montour, je suis né au début des années 50 à montréal, province de québec. je ne suis pas un "méchant séparatiste" ni un vilain terroriste québécois voulant la séparation du québec du restant du canada, comme le veut une certaine image négative des québécois véhiculée aux états-unis. j'ai vécu une enfance normale, avec ses joies et ses peines, comme tous les gamins et gamines de montréal. je me suis intéressé à la question de mes origines indiennes vers l'âge de 12 ans, en entendant mon grand-père, hervé montour, mes oncles et mon père parler de l'existence d'une indienne dans l'arbre généalogique familial. l'idée semblait irriter mon père qui refusait obstinément d'en parler, comme la majorité des canadiens-français de l'époque niant tout métissage que ce soit. mon grand-père a alors demandé à son neveu, lionel montour, oblat, de dresser l'arbre généalogique familial. quelques temps plus tard, "linel" a livré un arbre "plein de trous", où l'on ne retrouvait que l'existence d'une indienne sokokise unie à louis couc dit montour, le frère de mon ancêtre angélique couc dite montour. en d'autres mots, mes sœurs, mon frère et moi n'avions pas ce qui était convenu d'appeler du "sang indien" coulant dans nos veines. j'en ai reparlé une fois avec mon père, plusieurs années plus tard, aux funérailles de mon grand-père. les traits de ce dernier repos...


2. Augustin Lucas ⚓ Biographie par sa petite-fille Évangeline

...es de feuilles de palmier, sur lesquelles étaient déposés les détritus, déchets ... les hindous s'asseyaient autour jusqu'au coucher du soleil avant de manger. (ils buvaient) du lait de coco dont les coques servaient de récipient. ma grand-mère ne pouvait s'occuper des travaux du ménage et dirigeait le commerce. elle employait des hindous pour faire les travaux domestiques. comme salaire, on leur cédait du savon parfumé, qu'ils appréciaient grandement. une nuit, son magasin fut pillé. les marchandises manquantes étaient justement les savons et les parfums. ceci fut rapporté à leur reine qui à son tour découvrit les coupables. elle leur ordonna d'aller dans les montagnes et d'amener suffisamment de bestiaux pour payer le dommage. ce fut à l'église que peu de temps après grand-mère vit la reine avec son mari, suivi par ses sujets en file indienne, suivant leurs rangs, venant en procession solennelle pour offrir la paix. en 1848; grand-mère et sa famille retournèrent en france. ils y restèrent une année. en 1849, ils vinrent en amérique du nord, s'établissant dans le comté de preston, virginie de l'ouest. après deux ans, ils se fixèrent à cincinnati. c'est ici que ma mère rencontra mon père, alfred soyer. il naquit le 18 octobre 1828, dans la ville de reims. il y a là une erreur, probablement, car on a ajouté compiègne, qui est en picardie. ayant quitté l'école à 12 ans, il partit à paris où il apprit son métier de confiseur, avant de devenir marchand de sucre candi. il fut appelé au service militaire, mais ayant tiré un bon numéro, fut exempté du service. il partit pour les états-unis rejoindre son père qui y était depuis plusie...


3. Évangeline Soyer 🌏 Courte autobiographie

...es de feuilles de palmier, sur lesquelles étaient déposés les détritus, déchets ... les hindous s'asseyaient autour jusqu'au coucher du soleil avant de manger. (ils buvaient) du lait de coco dont les coques servaient de récipient. ma grand-mère ne pouvait s'occuper des travaux du ménage et dirigeait le commerce. elle employait des hindous pour faire les travaux domestiques. comme salaire, on leur cédait du savon parfumé, qu'ils appréciaient grandement. une nuit, son magasin fut pillé. les marchandises manquantes étaient justement les savons et les parfums. ceci fut rapporté à leur reine qui à son tour découvrit les coupables. elle leur ordonna d'aller dans les montagnes et d'amener suffisamment de bestiaux pour payer le dommage. ce fut à l'église que peu de temps après grand-mère vit la reine avec son mari, suivi par ses sujets en file indienne, suivant leurs rangs, venant en procession solennelle pour offrir la paix. en 1848; grand-mère et sa famille retourna en france. ils y restèrent une année. en 1849, ils vinrent en amérique du nord, s'établissant dans le comté de preston, virginie de l'ouest. après deux ans, ils se fixèrent à cincinnati. c'est ici que ma mère rencontra mon père, alfred soyer. il naquit le 18 octobre 1828, dans la ville de reims. il y a là une erreur, probablement, car on a ajouté compiègne, qui est en picardie. ayant quitté l'école à 12 ans, il partit à paris où il apprit son métier de confiseur, avant de devenir marchand de sucre candi. il fut appelé au service militaire, mais ayant tiré un bon numéro, fut exempté du service. il partit pour les états-unis rejoindre son père qui y était depuis plusieurs mois. m...


4. Daniel Chauvigné ⌘ Quatrième métier : guide de chasse

...étillement du feu entretenu pour éloigner les fauves... lovés dans nos duvets sur nos lits picots dressés sous une tente, nous ne tardons pas à nous endormir car, le lendemain il faut se lever tôt. réveillés vers trois heures du matin par le tintement des gamelles et la bonne odeur du café, mêlée à celle du pain grillé, nous sortons de la tente pour faire une rapide toilette avec l'eau fraîche contenue dans des outres en peau de chèvre pendues aux branches basses d'un arbre. la température matinale est fraîche et l'on doit se couvrir chaudement avant de prendre notre petit déjeuner. on n'a pas beaucoup parlé, comme si nous étions écrasés par l'humidité ambiante ; puis après ce frugal repas, nous partons en silence, armés de nos fusils vers le territoire des lions. deux pisteurs ouvrent la marche, suivis en file indienne par jean, les schieffer, les dix porteurs et moi. la marche dans la pénombre est malaisée et l'humidité du sol a rapidement trempé nos pataugas qui font un bruit de succion à chacun de nos pas. ce n'est que vers six heures que le soleil surgit de l'horizon, rouge, flamboyant et déjà très chaud. une vapeur sort du sol en flottant sur trente centimètres ce qui nous oblige ralentir car les pisteurs perçoivent plus les traces... notre avance a déjà fait fuir quelques antilopes et phacochères et, dans le lointain nous avons entendu le rugissement puissant d'un lion... le soleil grimpe très vite, estompe rapidement la brume et sèche nos vêtements humides et nos chaussures. bientôt nous enlevons nos pulls et les remettons à nos porteurs. la marche a repris, plus lente, plus vigilante, soudain les pisteurs se sont accroupis en nous montrant des masses noires à...


5. Daniel Chauvigné ⌘ Septième métier : militaire de carrière

..., mais les fugitifs avaient réussi à rejoindre leur base en tunisie. le troisième jour, le secteur étant redevenu calme, le capitaine, commandant la batterie du 8° r.a. demanda des volontaires pour aller faire une battue au sanglier afin d'améliorer l'ordinaire. j'ai participé à cette chasse avec le capitaine et 12 sous-officiers. nous sommes partis au petit jour avec un harki comme guide, armé de fusils de chasses récupérés aux fellaghas. après une marche d'une vingtaine de kilomètres, nous venions d'entrer dans le sous-bois touffu d'une forêt, lorsqu'on entendit parler en arabe sur le sentier qui montait vers nous et longeait la forêt. nous nous sommes mis à plat ventre à l'abri du feuillage et nous avons vu arriver 3 rebelles qui discutaient calmement en marchant. nous les avons ajustés, mais le capitaine nous a fait signe de ne pas tirer. les 3 hommes sont passés à 20 mètres de nous sans déceler notre présence. c'est alors que l'on a vu surgir, en file indienne, une centaine de fells fortement armés, qui sont passés également sans nous voir. sans la présence d'esprit du capitaine, qui avait deviné que les 3 premiers étaient des éclaireurs de pointe, nous aurions engagé un combat inégal qui nous aurait été fatal ! aussitôt nous sommes partis en courant vers le camp et une opération héliportée a été immédiatement déclenchée. les rebelles, encerclés, n'ont pas pu se replier en tunisie et la bande a été entièrement décimée. dès notre retour à lamy, on me demande d'aller, sur la route du col, chercher un half-track en panne. l'automitrailleuse qui assure ma protection est partie loin devant pour faire " l'ouverture de route". mon wrecker 10 tonnes de dépannage, conduit par un chauffeur du contingent, grimpe lentement la côte. peu avant d'arriver à un virage sans visibilité, j'ai vu s'abattre la cime d'un arbre de l'autre côté du tournant. j'ai donné l'ordre à mon chauffeur de stopper immédiatement le lou...