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11. Daniel Chauvigné ⌘ Septième métier : militaire de carrière

...it cette langue. il m'a répondu en sango que son village natal était proche de la frontière avec la république centrafricaine et qu'il parlait très bien ce dialecte. la conversation continua, il s'étonnait que je parle cette langue et je lui ai expliqué pourquoi. enfin en français je me suis adressé à moktar pour lui demander ce qu'il avait compris ce que j'avais dit au tchadien. il m'a répondu qu'il n'avait rien compris. tu vois donc, lui dis-je que je connais les noirs, car lui m'a bien compris ; d'autre part, j'ai 2 séjours en algérie et je connais également les musulmans comme toi ! tous les stagiaires se sont mis à rire et le mauritanien, déconfit, a cessé le débat. le 16 février 1972 n'acquit mon 4ième enfant, marc, alors que l'aîné a dix sept ans et demi et le 3ième neuf ans. c'est à cette période que j'ai décidé de me faire construire une villa dans un petit village à 16 kilomètres de bourges. tous mes loisirs ont alors été occupés à la construction des clôtures et à l'aménagement des 2500 m2 de mon terrain. mon métier d'instructeur me passionne de plus en plus et entre deux stages d'étrangers j'instruis des gendarmes ou des c.r.s. dont les cours sont particulièrement adaptés aux véhicules qu'ils ont à entretenir ou à réparer. cette variation des cours empêche toute monotonie et il règne toujours une très bonne ambiance entre les instructeurs. je me suis amusé à noter les " coquilles " et " perles " que je relevais sur quelques interrogations écrites et bientôt mes camarades ont noté et me les ont communiquées pour que je les mette dans mon bêtisier. le colonel directeur de l'instruction, mis au courant par mes collègues, m'a demandé d'en citer quelques-unes au cours d'un repas de corps : le carburateur alimentaire " au lieu du carburateur élémentaire ", le condensateur absorbe le courant d'infrastructure " pour absorbe l'extra courant de rupture " ainsi que le caoutchouc saint ethique ! ont bie...


12. Afrique 🌍 Wayombo Centre Afrique

...afrique 🌍 wayombo centre afrique wayombo, c'est le nid de l'aigle en baya. c'est le nom que tété, le capita, avait donné à l'endroit, quand germaine chauvigné et son fils daniel créèrent sur ce plateau une plantation de tabac vers 1947 à 10 kilomètres au nord de carnot en centre afrique. aujourd'hui, l'endroit (latitude : 5.00000, longitude : 15.86667) porte encore ce nom, même si on ne l'écrit pas toujours de la même façon : wayoumbou, ouayombo, ouayambo ... la première maison, en pisé était dressée sur le plateau dans un endroit trop venté. quand daniel se lança dans la construction d'une maison en briques de kaolin, l'emplacement choisi était plus bas, sur la route de carnot. Écoutons daniel raconter cette époque ... (sources : 7 métiers, 7 mémoires par daniel chauvigné) dou !.. dou !.. dou !.. le chant mélodieux du coq de brousse, retentit un beau matin en fin de saison sèche. les indigènes attendaient avec attendaient avec impatience le chant de ce volatile qui annonce la venue prochaine de la saison des pluies. aussitôt les tam-tams retentirent pour fêter l’événement. on pouvait dès lors semer l’arachide et repiquer le manioc. j’attendais moi aussi ces indices qui, mieux d’une météo, présagent le retour des pluies dans les trois jours à venir. on allait pouvoir repiquer les plants de tabacs qui, pendant la saison sèche, avaient été mis à forcir dans la plaine, près du marigot qui borde le domaine. la partie la plus importante de notre plantation est sur le plateau qui domaine la nana, grosse rivière poissonneuse qui, à la saison des pluies, déborde dans la plaine qu’elle transforme en marécage tout en apportant un limon très fertile. le retour de la saison des pluies - bonjour patron ! tété, mon capita (chef d’équipe) me saluait avec un bon sourire. c’est un ancien tirailleur de la guerre 1914–1918, de haute stature, il a conservé sa chéchia défraîchie e...


13. Afrique 🌍 Lamartine Algérie

...nts dont 253 européens. le village est desservi par la gare plm de l'oued fodda sur la ligne de chemin de fer d'alger à oran. la commune de lamartine au début du xxe siècle administration de la commune mixte administrateur: m. eugène pons; premier adjoint: m. félix aumerat; deuxième adjoint: m. marius cauquil; secrétaire: mm. albert colombaire, françois brandstaetter et françois magnon; khodja : mm. ben omar benatchi et mohammed boukandoura; garde champêtre, crieur public: m. victor gibert; instituteur: m. noël antoniotti à l'école communale de garçons; institutrice: mme brandstaetter à l'école communale de filles; médecin de colonisation : d' reisser, résidant à l'oued fodda; fanfare: les enfants de lamartine, avec m. françois magnon comme chef de musique; curé : m. l'abbé bonnefond ; cantonniers: mm. rochette et weinert. artisans et commerçants en raison de sa situation à l'extrémité d'une route desservant des douars ou fractions de douars et avec la construction du barrage " steeg" ou de lamartine sur l'oued fodda, le village abritait de nombreux représentants des professions libérales, artisans et commerçants. cafetier: m. Étienne guignard; cordonnier: m. arnaudeau; bourrelier-sellier: m. claude autissié; garde des eaux: m. raphaël bois; épiciers: mm. léon boilleau et m. hadj sadok; transport des dépêches: m. laveaux; tailleur de pierres: m. vieilledent; forgeron : m. arevoir; hôtel : m. laveaux; maçons: mm. juan lorenzo et esposito; charron: m. jean-marie artigues. agriculteurs vouée à la céréaliculture, la région située en aval du barrage s'est progressivement orientée vers des productions plus intensives dont la culture fut rendue possible par les perspectives de l'irrigation. c'est ainsi que pour remédier aux rendements insuffisants des céréales, les champs, dans les années qui suivirent la première guerre mondiale, se couvrirent des petits flocons blancs du coton. en raison de leur faible teneur en calcaire...


14. Amérique 🗽 La vie quotidienne des émigrés français en Acadie

...rant le xviie siècle, une colonie française s’installe en acadie. les enfants de ces colons constituent les premiers acadiens. aujourd’hui, plusieurs millions de personnes sont les descendants de ces émigrés. port-royal, colonie française, sera restituée à l’angleterre en 1713 par le traité d’utrecht. la ville prendra le nom d’annapolis royal. port-royal, une terre riche en marais, au sol fertile la ville de port-royal, située aujourd’hui sur la côte de la baie de fundy en nouvelle-Écosse, est entourée à l’époque de marécages et de forêts. les colons constatent, après avoir défriché les terres boisées, que celles-ci ne donnent pas de bonnes récoltes. le grain est difficile à lever malgré les efforts et la ténacité de chacun. aussi, se tournent-ils vers la mer pour assécher les marais. des digues nommées aboîteaux seront érigées pour repousser les limites de la mer. ce travail se réalise lorsque les marées ne sont pas trop fortes. la construction et l’entretien des aboîteaux tissent un réseau de solidarité entre les habitants. Œuvre collective, tous s’y mettent, les hommes, les femmes et les enfants. le labeur sera vite récompensé car dès la seconde année de construction d’une digue, la récolte produira de bons résultats. photo ph. léon 2003 - les aboiteaux « la levée ou digue que l’on désigne toujours sous le nom d’aboiteau consiste en un rempart en bordure des eaux pour empêcher ces dernières de monter sur la terre alluviale appelée « pré ».cette digue est percée au ras du sol, vis-à-vis des rigoles qui assèchent les terres, par des clapets qui laissent passer l’eau d’égouttement. le clapet s’ouvre à marée basse, sous la pression de l’eau venant des terres, et se referme à marée montante. [1] »la technique des digues se pratique dès 1632 en acadie. la colonie compte des sauniers originaires du poitou et des côtes de l’ouest de la france qui maîtrisent cette techniq...


15. Europe🗼 Coulombiers selon Jacques

... 1887 laissant un testament daté de 1884 où il lègue tous ses biens à sa sœur épouse de françois bourlaud à charge pour elle de verser une rente viagère à leur mère et à leur frère pierre au cas où ils lui survivraient. en fait pierre est mort en mai 1887 et leur mère en août de la même année. les origines de la propriété la propriété actuelle et constituée par plusieurs parcelles acquises successivement depuis 1879 jusqu’en 1904.le 10 avril 1879 un accord de vente a été signé entre félix laillaut et charles capillon concemant les bâtiments et les terrains attenant à l’ancienne auberge, auberge qui était située à peu près à l'emplacement de la maison actuelle. les bâtiments, trop vieux, ont été démolis sauf les constructions qui forment l’arrière de la remise actuelle et qui bordent le ruisseau : le toit aux cochons, l’écurie intérieure, la buanderie et l’autre écurie (les toitures de ces deux dernières annexes se sont effondrées il y a quelques années). par ailleurs la grange est demeurée en place ainsi que le toit aux poules. les terrains représentent la première prairie et son prolongement marécageux qui a été assaini par des plantations de peupliers, le poulailler, la vigne, le jardin haut et la première partie du bois. ces quatre lots sont désignés sur les anciens cadastres sous le nom de la pierrière. le tout s’arrêtait un petit peu plus au delà de la "mère mal aux dents".la prairie a une histoire compliquée. c’était une dépendance de la paroisse, donc des "biens ecclésiastiques" confisqués ...