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11. À la guerre ⚔️ 1793 Jean-Jacques Granger et la Révolution française

...À la guerre ⚔️ 1793 jean-jacques granger et la révolution française analyse de l'histoire des girondins de bordeaux par chatpdf. bonjour et bienvenue dans ce pdf qui raconte l'histoire des girondins emprisonnés pendant la révolution française ! découvrez comment ces hommes politiques ont été arrêtés et envoyés à la prison de libourne, ainsi que leur destinée tragique. selon chatpdf qui analyse un texte de 60 pages, "nouvelles recherches sur les girondins de bordeaux" par r. brouillard, étude en 3 parties parue en 1912-1913 dans la revue historique de bordeaux et du département de la gironde.nb : vous noterez que le robot de chat a peut-être confondu le nom du brick commandé par le capitaine granger. Était ce le félicité ou l'industrie ? qui étaient les girondins et quel était leur rôle politique avant leur arrestation ? les girondins étaient un groupe de députés de l'assemblée législative française pendant la révolution française. ils étaient principalement issus de la région de la gironde et étaient connus pour leur opposition à la montée en puissance des jacobins, un autre groupe politique influent à l'époque. les girondins ont joué un rôle important dans l'élaboration de la constitution française de 1791 et ont soutenu la guerre contre les monarchies européennes. cependant, leur influence a commencé à décliner après l'exécution du roi louis xvi en janvier 1793, et beaucoup d'entre eux ont été arrêtés et emprisonnés peu après. comment ont-ils été arrêtés et pourquoi ont-ils été envoyés à libourne ? les girondins ont été arrêtés en juin 1793, après que les événements de juin ont exacerbé l'exaspération populaire. le conseil général du département a convoqué une assemblée de délégués de tous les corps constitués de la gironde qui, le 9 juin 1793, s'est érigée en commission populaire de salut public. les girondins ont été accusés d'être des ennemis du peuple et ont é...


12. À la guerre ⚔️ 1940 La campagne des Flandres du lieutenant Louis Bourlaud

...aissé leur vie ou ont été blessés ; mon brave ordonnance midou un gentil garçon de 20 ans si dévoué a été tué. j'indiquerai à la fin de ce compte rendu la liste des tués, blessés et disparus de la 14e batterie au cours de mai à juin 1940 que j'ai établie sans pouvoir cependant affirmer, faute de vérification, qu'elle ne comporte pas d'erreurs ou d'omission. le 212e rald, dont l'effectif est très diminué en raison des tués et blessés, effectue un ré-embarquement vers 22h direction savenay et nantes où il stationne un certain temps ce qui me donne le temps d'aller dîner et de prendre un bain chez mon oncle et ma tante biard le 18 juin 1940. mercredi 19 juin 1940 – samedi 22 juin 1940 départ du train vers 2h45 pour la roche-sur-yon, la rochelle, rochefort-sur-mer, sainte, angoulême pour arriver à bordeaux, d'où nous repartirons le 22 juin 1940 à 5h15. a bordeaux, il y avait près de notre train d'autres trains de troupes et un train de marchandises que des troupes étrangères à notre régiment étaient en train de piller. le capitaine morel de la 15e batterie du 212e rald était dans des wagons de marchandises en train de disperser les pillards à l'aide d'une canne, je suis arrivé à temps pour lui éviter de recevoir sur la tête un casier à bouteilles qu'un sous-officier derrière lui s’apprêtait à lui assener. a ma vue ce voyou a pris la fuite et le capitaine morel n'a jamais su que je lui avait sauvé la vie. départ à 7h le 22 juin par orthez, pau et arrivé à coarraze-nay à 18h15. dimanche 23 juin 1940 départ de la 14e batterie pour angaïs à 6h, 7km. a 18h15 signature de l'armistice avec l'all...


13. Histoires de bateaux 🚢 La singulière histoire de l'Oriental-hydrographe

...histoires de bateaux 🚢 la singulière histoire de l'oriental-hydrographe ... notre capitaine lucas, quoique d'une famille de bangor, est né le 6 mars 1804 à palais, de jean-marie lucas, tonnelier (en barils à sardine) et de marie-anne seveno. il aurait fait ses études à l'école de m. pener, recteur de bangor. on ne le voit s'embarquer mousse qu'à 18 ans ; pêche, cabotage, trois embarquements à l'État entre 1824 et 1826. puis il s'élève rapidement, et à partir de 1826, voyage à la guadeloupe, martinique et à la réunion, comme lieutenant et second capitaine. il suit deux mois, en 1828, un cours de navigation à bordeaux. enfin,élève de l'École d'hydrographie de rochefort, il est reçu maître le 23 juin 1831 et capitaine au long cours le 2 juin 1832. il se marie à rochefort le 2 septembre. ce mariage, nous en sommes certain, le marquera. il a navigué pour un armateur ostendais, mais surtout à bordeaux. il acquiert rapidement une grande réputation. en 1834, ayant au détroit de magellan perdu son gouvernail, il en invente un de fortune qui lui vaut la notoriété. une lettre de félicitation du ministre pour l'affaire du trophée à valparaiso (1835) achève de le mettre bien en cour. m. gibouin, commissaire de l'inscription maritime à bordeaux adressera au ministre trois lettres d'éloge sur lui. de son côté, lucas, qui a la plume facile, multiplie les écrits : nouvelle méthode pour prendre des ris dans les basses voiles - moyens d'augmenter le recrutement de la marine royale - ouvrage d'instruction pour les futurs capitaines au long cours. tout cela lui monte à la tête et en juillet 1838; il abandonne le commandement de la jeune lise, "le plus beau navire de bordeaux" (et même de france, dira-t-il) pour lancer une entreprise très novatrice : créer un navire École flottante. (en cours de transcription) source : la singulière histoire de l'oriental-hydrographe, par le médecin général adrien carré, in bulletin n°2 de 1970 du ...


14. Claude 🎓 Monsieur Maurice

..., celui-là vers sa chambre. s'ils se séparaient à l'octroi, maurice reitel prenait le tram jusqu'à la place d'armes et descendait la rue victor hugo puis celle de verdun pour rentrer chez lui. évidemment, s'ils se séparaient à la gare, en quelque pas l'alsacien était à son appartement. un petit appartement au quatrième étage d'une grande maison attenant ou presque à la banque de france. il était constitué d'une chambre à coucher, d'une cuisine réduite qui avait dû être ajoutée après coup et d'un placard assez profond où il avait installé des étagères pour des livres, des chaussures et autres effets ainsi qu'une tringle en bois pour y suspendre ses habits. ce n'était pas vraiment le grand luxe mais les deux fenêtres s'ouvraient sur la vallée de la boivre où circulait le trafic ferroviaire paris-bordeaux et paris-la rochelle. la gare et les dépôts occupaient le centre de la dépression, le triage étendait ses ramifications vers le tunnel et deux passerelles enjambaient l'ensemble souvent enfumé et toujours très actif. le long de la ligne de chemin de fer et de la gare passait la route nationale, la r.n. 10, qui, selon la déclaration un tant soit peu grandiloquente mais juste sans doute du colonel de la varendière était "la clé du sud-ouest de la france. le verrou, messieurs, le verrou !". déclaration que les clients serrés autour du militaire avaient approuvée mais qui faisait un peu sourire maurice reitel. toujours était-il que cet appartement lui plaisait beaucoup. il pouvait s'asseoir à la fenêtre et, observant ces trains qui s'ébranlaient vers le sud, se laisser aller à la rêverie d'horizons lointains, tandis que les express filant vers le nord l...


15. Jacques ✎ Boivre : L'abbaye du Pin

...a parole. mes sœurs, dit-elle, sans élever le ton. hier soir, nous avons donné la sépulture dans notre cimetière à une femme étrangère qui est venue mourir chez nous après avoir mis au monde une petite fille dans le coche. cette femme s’exprimait assez bien en français et, malgré sa faiblesse, m’a conté son histoire. il s’agit de la comtesse o’callaghan. son mari, gentilhomme irlandais, avait pris une part active au mouvement de révolte fomenté contre ce monsieur olivier de cromwell qui tient actuellement entre ses mains les destinées du royaume d’angleterre. l’affaire a tourné fort mal. le comte o’callaghan a été arrêté, condamné et exécuté. ses biens ont été confisqués et son épouse n’a eu que le temps de s’enfuir sur une barque de pêche qui l’a déposée en france…. elle espérait retrouver des compatriotes à nantes, mais il n’y en avait pas. elle a appris que les irlandais vivaient du côté d’angoulême ou de bordeaux ; c’est pourquoi elle s’est donc mise en route malgré son état. ainsi a-t-elle été obligée de faire halte dans notre maison. l’abbesse cessa de parler pour reprendre un peu haleine. elle promena un regard pénétrant sur son auditoire, devinant, derrière chaque voile, un visage attentif et avide d’en savoir davantage. puis elle continua : cette jeune femme emportait avec elle un grand sac de voyage dont j’ai fait dresser l’inventaire par notre notaire. ce sac contenait, outre des objets de toilette et de la lingerie fine, une bourse d’environ quinze mille livres en pièces françaises et anglaises, des bijoux de valeur et surtout des papiers, actes notariés, extraits de registres paroissiaux ou autres. certains de ces papiers étaient rédigés en latin ou en français ; quelques uns en anglais et notre médecin a eu l’obligeance de bien vouloir les traduire. d’autres enfin étaient présentés dans une langue inconnue, mais nos sœurs breton...