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16. Amérique 🗽 Quand l'Amérique était Française

...s le traité d'utrecht, en 1713 (avec la baie d'hudson et terre-neuve), et malgré leur neutralité proclamée, les 13 000 acadiens de la nouvelle-Écosse sont finalement déportés le 28 juillet 1755 et dispersés dans toute l'amérique, et même au-delà, jusqu'en france. leurs maisons sont brûlées pour décourager tout retour. c'est le grand dérangement. certains reviendront dans les années suivantes, tous garderont le souvenir douloureux de cet arrachement au «vieux pays», au pays perdu. «nous sommes probablement le seul peuple au monde capable de célébrer une déportation, rappelle l'écrivain antonine maillet. il a fallu apporter la démonstration que nous étions bien vivants.» aujourd'hui, on estime à environ 40 000 les acadiens de la nouvelle-Écosse et de l'île du prince-edouard (soit 4% de la population). «notre projet de société, explique jean léger, directeur général de la fédération acadienne de la nouvelle-Écosse, c'est de ne pas dispara dispara paraîttretre au sein du melting-pot canadien et américain. on est le petit village gaulois, mais sans potion magique.» À la différence du nouveau-brunswick voisin, où les acadiens, forts de leur poids démographique (plus d'un tiers de la population, soit 250 000 habitants) ont obtenu, pour le français, un statut de langue officielle auprès du gouvernement provincial, les francophones de nouvelle-Écosse et de la province de l'ile-du-prince-edouard peinent à faire valoir leurs droits auprès des instances locales. sans parler de la menace d'assimilation : entre les recensements de 1996 et de 2001, par le jeu des mariages mixtes ou des départs, la communauté acadienne a perdu 1 000 de ses membres. majoritaires, les canadiens anglais des provinces maritimes n'ont pas la même perspective. À en croire la presse anglophone, 2004 ne serait rien d'autre que la commémoration de «la visite de samuel de champlain» (the nova scotian sunday herald du 2 mai 2004), le voyage ...


17. Amérique 🗽 La vie quotidienne des émigrés français en Acadie

... pour en savoir plus, veuillez vous référer aux sources et bibliographies citées dans ce document. qui sont ces acadiens ? durant le xviie siècle, une colonie française s’installe en acadie. les enfants de ces colons constituent les premiers acadiens. aujourd’hui, plusieurs millions de personnes sont les descendants de ces émigrés. port-royal, colonie française, sera restituée à l’angleterre en 1713 par le traité d’utrecht. la ville prendra le nom d’annapolis royal. port-royal, une terre riche en marais, au sol fertile la ville de port-royal, située aujourd’hui sur la côte de la baie de fundy en nouvelle-Écosse, est entourée à l’époque de marécages et de forêts. les colons constatent, après avoir défriché les terres boisées, que celles-ci ne donnent pas de bonnes récoltes. le grain est difficile à lever malgré les efforts et la ténacité de chacun. aussi, se tournent-ils vers la mer pour assécher les marais. des digues nommées abo abo abo ma abo abo aboîteauxteauxteauxtrisentteauxteauxteaux seront érigées pour repousser les limites de la mer. ce travail se réalise lorsque les marées ne sont pas trop fortes. la construction et l’entretien des abo abo abo ma abo abo aboîteauxteauxteauxtrisentteauxteauxteaux tissent un réseau de solidarité entre les habitants. Å’uvre collective, tous s’y mettent, les hommes, les femmes et les enfants. le labeur sera vite récompensé car dès la seconde année de construction d’une digue, la récolte produira de bons résultats. photo ph. léon 2003 - les aboiteaux « la levée ou digue que l’on désigne toujours sous le nom d’aboiteau consiste en un rempart en bordure des eaux pour empêcher ces dernières de monter sur la terre alluviale appelée « pré ».cette digue est percée au ras du sol, vis-à-vis des rigoles qui assèchent les terres, par des clapets qui laissent passer l’eau d’égouttement. le clapet s’ouvre à marée basse, sous la pression de l’eau venant des terres, et se referme à marée montante. [1] »la technique des digues se pratique dès ...


18. Histoires de bateaux 🚢 Le navire Ducouëdic

...pabilité du ducouëdic : 64 ans après le drame, les avis sont toujours aussi partagés. la première découverte, sur la chronique familiale d'enguerrand gourong, est un article "certifié" par robert layec, le matelot survivant du chalutier robert-marie. note : robert layec est décédé le 20 juillet 2009. chronique familiale d'enguerrand gourong le 1er janvier 1949, le chalutier "robert-marie" coule au large de penmarc'h. il fait mauvais temps. a bord, 10 hommes dont 5 de groix, 9, parmi lesquels le mousse, disparaissent. ils laissent 7 veuves et 21 orphelins. il n'y a qu'un survivant, un marin du continent, robert layec. il raconte que le chalutier, commandé par pierre raude, a coulé vers 4h30, à la suite d'une voie d'eau survenue après qu'un paquet de mer ait démoli tout l'arrière. il a réussi à s'emparer d'une bouée de sauvetage et à sauter à l'eau. il sera sauvé une demi-heure plus tard par le chalutier "ducouëdic" commandé par le patron le grel. l'affaire para paraîtt tragiquement simple et le rapport du chef de quartier de l'inscription maritime décrit les choses de cette façon. pourtant l'armateur du "robert-marie", lafitte, ne l'entend pas ainsi. il réfute le témoignage du matelot survivant. pour lui, son chalutier n'a pas pu couler de cette manière; il dû être abordé par le "ducouédic". l'équipage de ce dernier et le matelot survivant se seraient mis de connivence pour dissimuler cet abordage. une enquête conclura à l'infortune de mer. et le témoignage réitéré récemment par robert layec, toujours en vie, est très formel que cherchait l'armateur dans cette affaire qui plongea l'île dans la perplexité ? voulait-il faire accréditer la thèse de l'abordage afin que l'assurance le dédommageât de la perte de son navire ? il fut en tout cas condamné pour diffamation par la cour de cassation. que l'honneur de r. layec et des marins du "ducouëdic" soit à tout jamais lavé. l'une des veuves, l'épouse d'eugène le merlin, q...


19. Histoires de bateaux 🚢 La singulière histoire de l'Oriental-hydrographe

...histoires de bateaux 🚢 la singulière histoire de l'oriental-hydrographe ... notre capitaine lucas, quoique d'une famille de bangor, est né le 6 mars 1804 à palais, de jean-marie lucas, tonnelier (en barils à sardine) et de marie-anne seveno. il aurait fait ses études à l'école de m. pener, recteur de bangor. on ne le voit s'embarquer mousse qu'à 18 ans ; pêche, cabotage, trois embarquements à l'État entre 1824 et 1826. puis il s'élève rapidement, et à partir de 1826, voyage à la guadeloupe, martinique et à la réunion, comme lieutenant et second capitaine. il suit deux mois, en 1828, un cours de navigation à bordeaux. enfin,élève de l'École d'hydrographie de rochefort, il est reçu ma maîtretre le 23 juin 1831 et capitaine au long cours le 2 juin 1832. il se marie à rochefort le 2 septembre. ce mariage, nous en sommes certain, le marquera. il a navigué pour un armateur ostendais, mais surtout à bordeaux. il acquiert rapidement une grande réputation. en 1834, ayant au détroit de magellan perdu son gouvernail, il en invente un de fortune qui lui vaut la notoriété. une lettre de félicitation du ministre pour l'affaire du trophée à valparaiso (1835) achève de le mettre bien en cour. m. gibouin, commissaire de l'inscription maritime à bordeaux adressera au ministre trois lettres d'éloge sur lui. de son côté, lucas, qui a la plume facile, multiplie les écrits : nouvelle méthode pour prendre des ris dans les basses voiles - moyens d'augmenter le recrutement de la marine royale - ouvrage d'instruction pour les futurs capitaines au long cours. tout cela lui monte à la tête et en juillet 1838; il abandonne le commandement de la jeune lise, "le plus beau navire de bordeaux" (et même de france, dira-t-il) pour lancer une entreprise très novatrice : créer un navire École flottante. (en cours de transcription) source : la singulière histoire de l'oriental-hydrographe, par le médecin général adrien carré, in bulletin n°2 de 1970 du ...


20. Nos métiers 🛠 Des métiers de Bourlaud

...nos métiers 🛠 des métiers de bourlaud selon une compilation réalisée par louis bourlaud jacques giraud (né en 1764) architecte à paris joseph bartinet entrepreneur en menuiserie à paris, compagnon du tour de france pierre capillon (né en 1774) journalier à cloué (vienne) charles capillon (né en 1806) boulanger à coulombiers (vienne) charles capillon (né en 1830) représentant en produits pharmaceutiques pierre rousseliève poelier louis ferron (né en 1717) ma ma maîtretretre cordonnier à sanxay (vienne) jacques ferron (né en 1686) ma ma maîtretretre cordonnier à sanxay (vienne) jacques ferron (né en 1757) cordonnier à sanxay (vienne) auguste ferron (né en 1829) chaudronnier, ancien militaire, garde champêtre à berruges (vienne) jean fleury (né en 1764) charpentier à lusignan (vienne) jean fleury (né en 1800) delavault marchand drapier à lusignan (vienne) alphonse jean fleury (né en 1830) coutelier à niort, puis négociant en engrais marin girard cordonnier à sanxay (vienne ) en 1662 jacques rivault (né en 1770) cultivateur à cloué (vienne) jacques fauchereau (né en 1767) saunier rené bourdin jardinier à poitiers (vienne) philippe breneau (né en 1817) entrepreneur en maçonnerie et chemin de fer jean bourdin « le jeune ».( né en 1792) jardinier jean bourdin « le gentil » (né en 1814) jardinier, négociant en engrais, conseiller municipal à poitiers alfred bourdin (né en 1841) négociant en engrais philippe delavault marchand drapier à lusignan (vienne) françois bourlaud (né en 1768) maçon à moulin-garnier (vienne) françois bourlaud (né en 1797) entrepreneur en maçonnerie à marçay (vienne) françois bourlaud (né en 1830) entrepreneur en bâtiment à poitiers (a construit la maison familiale de la rue de la tranchée), président du conseil des prud’hommes de poitiers françois-charles bourlaud (né en 1881) rentier gabriel bourlaud (né en 1881) dépÃ...