Recherche



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :var


Page 1 - 5 sur un total de 58 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


1. Chroniques familiales 📖 Liste des 78 familles acadiennes installées à Belle-Île

...cute;e. son épouse anne boudrot, née port-toulouse (île royale). veuve, leur fils joseph et 4 mineurs à charge: pierre haché, marie haché, geneviève haché, henriette haché, enfants du premier mariage d'anne. venus de saint-malo, où ils sont dès 1763, installés à kernest (bangor). famille 53 : amable hébert, né pigiguit, fils de jean, frère d'agnès et madeleine. son épouse marie richard, fille de pierre, sœur de joseph-ignace et catherine. leurs enfants : marie-modeste, brigitte-josèphe. venant de liverpool et morlaix, installés à coty (locmaria). famille 54 : magdeleine trahan, veuve de joseph hébert, mère de marie et magdeleine-pélagie. ses enfants à charge : jean-baptiste et marguerite. venant de liverpool et morlaix cette famille n'a finalement pas été installée à kervarigeon, par suite du décès en novembre 1766, de magdeleine à sauzon. famille 55 : charles hébert, né pigiguit. veuf, sa 3ème épouse marie lecoq, née saint-servan (saint-malo). leur fille théotiste-marie. venant de saint-malo, sans être passé par l'angleterre, installés à kervarigeon (bangor). famille 56 : cyprien duon, né port-royal. oncle d’honoré, marie, élisabeth et marguerite. son épouse margueritte landry, née la rivière-aux-canards, fille de marie-rose rivet veuve landry. leurs enfants : jean-baptiste, marie et un orphelin jean vincent. venant de liverpool et morlaix, installés à calastren (bangor). famille 57 : honoré duon. fils de magdeleine vincent, frère de marie, marguerite, élisabeth. son épouse anne trahan, née pigiguit, sœur de louis, de philippe et de catherine. leurs e...


2. Chroniques familiales 📖 L'origine des métis au Québec

...s origines autochtones des québécois. ces derniers ont gardé à l'esprit l'image négative que les historiens ont projeté des indiens à partir de 1850. quand lamothe cadillac débarque en louisiane en 1713, où il est affecté avec la charge de gouverneur, il offre de cette colonie naissante une description calamiteuse : selon le proverbe, méchant païs, méchantes gens : l'on peut dire que c'est un amas de la lie de canada, gens de sac et de corde, sans subordination pour la religion (catholique romaine), et pour le gouverneur, adonné au vice, principalement aux femmes sauvages. ainsi, malgré son jugement hautain, cadillac reconnaît que les premiers colons à s'installer en louisiane se sont unis aux sauvagesses. cette situation n'est pas unique, loin s'en faut. ce qui est vrai pour la louisiane l'est aussi pour le pays d'en haut (les grands lacs), signale l'historien gilles havard, dans empire et métissages, indiens et français dans le pays d'en haut, 1660-1715, édition du septentrion, presses de l'université de paris sorbonne, 2003. en effet, selon havard, le tableau dressé par cadillac "aurait pu tout aussi bien convenir à une description du pays d'en haut". d'autre part, selon le raisonnement de cadillac, le méchant païs ou s'installe les hommes libres du continent européen avec les sauvagesses secréterait des formes de marginalité et de dégénérescence (méchantes gens, lie, vice), en partie liées à l'ensauvagement (femmes sauvages). selon l'historien havard, ce discours préfigure la théorie de la dégénérescence coloniale, en vogue à l'époque des lumières (19e siècle), selon laquelle les animaux, les individus et les institutions humaines perdent leur vitalité et dé...


3. Recherches généalogiques 🔎 Les Acadiens, citoyens de l'Atlantique

...ier aux rafles du 3e reich, mais ce fut certainement dû à la hargne de l'officier charles lawrence, qui était par ailleurs peu apprécié de ses pairs. certains de ses subordonnés ont essayé de contrevenir à des ordres dans le sens de plus d'humanité, tandis qu'il faisait l'objet de plaintes auprès du roi d'angleterre de la part des gouverneurs des colonies britanniques. pour nos futurs bellilois prisonniers à falmouth, liverpool et bristol, la couronne britannique versait une pension dont ils se trouvaient bien satisfaits, car elle dépassait (9 à 10 livres par an) la rémunération des ouvriers anglais de l'époque (5 à 6 livres). les acadiens trouvaient généralement qu'ils avaient été bien accueillis et bien traités sur le sol britannique. le grande hécatombe qu'ont subie le lot d'acadiens retenus 7 ans en angleterre (pour la plupart : ceux initialement destinés à la virginie par lawrence et refusés par la colonie) était due a une épidémie de variole contractée avant le départ d'amérique, vu qu'elle a fait des victimes sur les passagers des 3 bateaux arrivés en 3 endroits différents d'angleterre. je crois que jean-marie fonteneau a raison et qu'au-delà de 3 ou 4 actes sur les ancêtres premiers, on ne doit plus espérer trouver autre chose de nouveau, sauf peut-être du côté des indiens. il pourrait être possible, par contre, de collecter plus d'infos sur ceux dont on est sûr, pour donner plus d'épaisseur à leurs personnages, ainsi que sur l'essaimage des cousins. auteur : jean-marie ...


4. Recherches généalogiques 🔎 Souvenirs de famille par Jacques Bourlaud

...un cercle de vingt kilomètres de rayon. les enfants étaient élevés sous le regard de leurs grands-parents qui habitaient quelquefois sous le même toit; ils rencontraient fréquemment dans la rue, ou ailleurs, leurs oncles et leurs tantes; le jeudi, ils partageaient les jeux de leurs cousins. anniversaires, baptêmes, premières communions, fiançailles, mariages et même enterrements, tout était prétexte à de grandes réunions autour d'une table bien garnie. les conversations étaient très animées. il y avait les inévitables commentaires sur les intempéries avec leurs répercussions sur les jardins ou les cultures. on n'insistait pas trop sur la politique car on ne partageait pas obligatoirement les mêmes opinions. mais, avant que les messieurs ne se retirent entre eux pour parler de chasse ou de souvenirs de régiment, avant que les dames ne se mettent en cercle pour évoquer des accouchements ou les complications des derniers cas de varicelle, tout le monde prenait plaisir à rappeler des faits plus au moins anciens qui avaient défrayé la chronique familiale des années et des années. on revoyait ainsi des visages disparus. on allait plus loin encore : on faisait revivre des personnages que l'on ne pouvait pas avoir connu. a chacun se rapportait une anecdote que l'imagination des uns ou la faconde des autres enjolivaient à qui mieux mieux. il se constituait alors un véritable folklore, un éventail de légendes plus ou moins contrôlées où tous les genres de l'expression orale étaient représentés : depuis la fière réplique de l'arrière-grand-mère aux prussiens en 1870 jusqu'aux stratagèmes de l'oncle gustave pour tromper la vigilance de son adjudant en passant par les innombrables mots d'enfant qui flattaient l'orgueil des parents et les frasques du cousin gaston que l'on évoquait en termes voilés accompagnés de clins d'oeil complices. comme toutes les autres, ma f...


5. Recherches généalogiques 🔎 La branche Bourlaud au XIXe siècle

... à poitiers comme entrepreneur en menuiserie. il s'est alors souvenu de son compagnon du tour de france françois bouchet qui, lui, s'était établi à paris. sur sa recommandation, charles s'est donc présenté à la famille bouchet. marie bouchet, qui avait dix-sept ans, tomba vite amoureuse de ce beau militaire. romantique, elle se mettait à sa fenêtre les soirs d'été et contemplait avec candeur les étoiles du ciel, persuadée que monsieur charles, au fond de sa caserne, se livrait à la même occupation. finalement, elle épousa charles lorsqu'il fut libéré de ses obligations militaires; ils furent assez heureux pour avoir trois enfants. malgré ses défauts et ses faiblesses, charles a laissé le souvenir d'un bon vivant, toujours à l'affût de facéties de plus ou moins bon goût mais jamais méchantes. il aimait se promener dans le parc de blossac, à deux pas de la maison familiale, et le gardien, qui le connaissait bien, venait régulièrement bavarder avec lui. or on utilisait beaucoup à cette époque le bleu de méthylène pour combattre certaines infections. c'était présenté sous forme de pilules ou de dragées enrobées de sucre à la couleur appétissante. charles en avait justement une boite dans sa poche. l'idée lui vint alors d'offrir une dragée au garde. celui-ci l'accepta avec plaisir. mais, le lendemain, le pauvre homme montrait un visage décomposé. il se demandait avec anxiété par quel cheminement pernicieux un mal insidieux le rongeait lorsqu'il avait constaté, en soulageant sa vessie, la couleur anormale et inquiétante du jet ... en cette fin de siècle, la troisième république avait encore les jambes flageolantes. les monarchistes étaient nombreux dans les départements de l'ouest. il s avaient donc organisé, dans une salle de spectacle, une réunion où un orateur réputé devait prendre la parole. toute la bonne société de poitiers se trouvait là, sympathisante ou non. l'oncle ...