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16. Daniel Chauvigné ⌘ Septième métier : militaire de carrière

... ; et surtout la petite localité de williamsburg, premier village à s'être rallié à l'amérique lors de la guerre d'indépendance. ce village a conservé tout son aspect et ses habitants sont toujours vêtus en costumes d'époque et même les restaurants servent les mets ancestraux dans des écuelles de bois et la boisson dans des gobelets d'étain. la circulation des véhicules y est interdite, seules des calèches tirées par des chevaux trimbalent les touristes. enfin nous sommes allés visiter les somptueux musées de washington tous plus beaux les uns que les autres, ainsi que le mausolée de lincoln, le cimetière d'arlington situé autour de la maison du général lee et où ne peuvent être enterrés que les anciens militaires qui le désirent, le capitole et la maison blanche. enfin nous avons passés quelques jours sur la côte de l'atlantique où claude et son épouse claudie possèdent un bungalow sur pilotis près de newport. c'est avec plein de photos et de bons souvenirs que nous sommes revenus en france où j'ai pris mon travail avec sérénité. le m.c.r.o. crée en 1963 a succédé à un etablissement de réserve général de matériel d'artillerie en conservant les ateliers et quelques ouvriers spécialistes en réparation de matériel d'artillerie, c'est pourquoi une mission technique y a été maintenue contrairement aux autres magasins centraux qui font également partie du service central des approvisionnements dont le siège est à versailles. en plus de la réparation des canons autotractés, les ateliers du m.c.r.o. sont chargés de réaliser la confection et la réparation d'approvisionnements au profit du s.c.a. et de la direction centrale de l'arme du matériel. ces activités très diversifiées, dont les petites séries ne justifient pas de travail à la chaîne, conduisent à une organisation très particulière de mes ateliers pour les adapter à leur mission. la multiplicité de ces réalisations et leur fréquence impliquent...


17. Serge Adolphovitch Chauvigné 🌴 Biographie par son fils Claude

...res. bizarrement, le sangho lui était assez indifférent ! par contre, il était a l’aise avec le banda (bangui-bossembala) et le gbaya-bakara (berberati-carnot). oui, son russe était resté assez solide et l’estonien aussi (durant sa toute jeune jeunesse, il passait des séjours d’été dans une riche famille russe sur la côte), mais il n’entendait pas l’allemand ! ni le polonais. son français, par contre, était un modèle de précision ; nous savons cela. avec son sourire, il était l’homme le plus engageant qui soit. a propos de langues, le sangho de maman était drôle au possible ! par contre le tien, francis, et celui de bernard, ainsi que le gbaya vous étaient totalement naturels, tant et si bien qu’il était impossible de vous différencier des camarades noirs. et, par-dessus le marché, vous pouviez même les battre au jeu de patara ! moi, évidemment, à part quelques mots de sangho, le reste est perdu. même le gbaya, ma langue favorite !! source : souvenirs de claude, 1er janvier 2009. ...


18. Serge Adolphovitch Chauvigné 🌴 Biographie par son fils Daniel

...serge il fait la connaissance d'une poitevine, germaine bourlaud, qu'il épouse et qui fut sa fidèle compagne jusqu'à la fin des ses jours. la famille bourlaud possède, et habite encore, une superbe propriété nantie d'une grande maison bourgeoise à coulombiers, petit village à 16 kilomètres au sud de poitiers. un ami colonial avait offert au père de germaine de nombreuses armes de chasse africaines qui sont exposées sur d'énormes panoplies recouvertes de toile rouge, dans le grand escalier qui mène à l'étage. il avait même donné un gros pélican empaillé qui perche sur l'armoire louis xiii du vestibule. initialement, ce volatile était destiné à armer un chapeau de la maîtresse de céans, mais il était trop lourd et disproportionné pour que ma grand-mère en fasse un accessoire vestimentaire!... ces souvenirs africains et les histoires fascinantes narrées par l'ami de la famille, à chaque retour de ses contrées lointaines, ont bercé l'enfance de ma mère et passionné toute une génération familiale. c'est donc, sans appréhension mais avec passion que germaine a suivi son colonial mari à libreville. non loin de cette capitale gabonaise, mon père a acheté un terrain à achouka, petit village proche de lambaréné, où il passe son week-end dans une grande case en bois sur pilotis, qu'il a fabriquée sur les rives de l'ogoué. il a également embauché des indigènes, qui, après avoir défriché la forêt, ont planté des palmiers à huile. le 5 juin 1929, son épouse met au monde, son 1er garçon, claude, à l'hôpital de lambaréné dirigé par le célèbre docte...


19. Amérique 🗽 Évangeline par Longfellow

... franchir les vertes haies qui bordaient la rivière auprès de la maison: il portaient en triomphe, à travers le gazon, michel, le vieux chanteur, le vieux barde rustique. dispensant aux mortels le chant et la musique; n'ayant d'autres soucis que d'égayer les coeurs; que de mêler, parfois, quelque souris aux pleurs, le vieux michel semblait un des dieux de la fable. il était renommé pour sa manière affable, pour ses cheveux d'argent et pour son violon. «vive le vieux michel, notre gai compagnon!» crièrent à la fois, en écartant les saules, les gars qui le portaient sur leurs fortes épaules. et le père félix aussitôt se levant les salua de loin et courut au devant. en tombant dans les bras du vénérable prêtre, le ménestrel sentit dans son âme renaître les transports ravissants d'un âge heureux; il se mit à pleurer. des souvenirs nombreux a ses esprits émus alors se présentèrent; et, vers les temps enfuis ses pensées remontèrent! la vierge vint baiser ses nobles cheveux blancs. il la prit dans ses bras, dans ses vieux bras tremblants, et mouilla son front pur de ses brûlantes larmes. la pauvre evangéline elle avait bien des charmes quand il la fit danser, pour la dernière fois, avec son gabriel et les gais villageois, au son du violon, sous le ciel d'acadie! il la trouvait peut-être, à présent enlaidie, car elle avait perdu les roses de son teint. et sa joue était creuse et son regard éteint; mais plus beau que jamais était son noble coeur, eprouvé longuement au creuset du malheur! les proscrit acadiens que le hasard rassemble, assis dans le jardin, s'entretiennent ensemble du bonheur qu'ils goûtaient au rivage natal, des maux qu'ils ont soufferts depuis l'arrêt fatal. ils admirent partout l...


20. Europe🗼 Coulombiers selon Jacques

...europe🗼 coulombiers selon jacques selon un texte de jacques bourlaud : coulombiers, 66 route nationale (2005) le fondateur la propriété de famille de coulombiers est pour nous un lieu mythique où six générations se sont succédées dont quatre ont accumulé des souvenirs en d’enfance et une septième commence à se pointer. charles capillon, le fondateur, était le fils de charles capillon, originaire de cloué et qui s’était fixé à coulombiers comme boulanger où il avait acquis une aisance confortable et une certaine notoriété. il avait épousé jeanne fauchereau, née elle aussi à cloué. ils ont eu trois enfants : charles (le fondateur) né en 1831 à coulombiers, pierre né en 1833 et magdeleine-clémentine née le 8 mai 1835 à coulombiers et qui devait épouser plus tard françois bourlaud.il avait beaucoup voyagé et son point d’attache était paris. il avait sillonné l’europe pour représenter la maison "vee et guy, droguerie médicinale". il y travaille comme voyageur de commerce jusqu’en 1881 et prend sa retraite en 1882. entre temps, il a fait quelques achats importants. en 1874, une grange à coulombiers, démolie depuis, et qui devait se situer à proximité du jardin bas de la prairie ainsi qu’un terrain de cinq hectares à gauche de la route poitiers-la rochelle à la sortie de coulombiers qui a été vendu beaucoup plus tard. ce devait être situé à l'emplacement du terrain de football actuel, semble-t-il. mais surtout, en avril 1879, il achète le terrain et les bâtiments d’une ancienne auberge et y fait construire la maison où il avait l’intention de se retirer. il nous reste les ...