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1. Louis et Maria Cadel ⛯ Ligne du temps

...e;milie et léon moururent enfants en algérie, et edmond, appartenant au 3e mixte de zouaves, fut tué au front (dans le pas de calais) en novembre 1914. la famille vers 1900 ils finirent leur carrière militaire à lorient où louis auguste commandait les sémaphores de l’arrondissement. ils vécurent au pied de la tour de la découverte, bien connue des lorientais, dans l’enceinte de l’arsenal. georges, notre grand père, fut un familier de cette tour. nous en reparlerons. quelques photos rappellent cette période où georges et anna, nos grands parents, étaient entourés de leurs propres parents. maria a ainsi pu peindre edmond, notre oncle tôt décédé. lors de leur retraite ils reprirent le chemin de l’algérie où les attendaient émilienne, qui avait épousé joseph bagur, un colon, et marie, femme de louis pons (menuisier). ils résidèrent à alger. au décès de louis auguste, inhumé à saint-eugène (notre-dame d’afrique) à alger, maria s’établit chez sa fille émilienne et son mari, joseph bagur, à lamartine. elle y faisait de la couture, lisait beaucoup et s’occupait de ses petits enfants. elle mourut vers 1948. elle est inhumée à lamartine (algérie). gildas cadel , le 23 avril 2005 la famille vers 1915 note de catherine le 9 octobre 2015 : nous avons découvert que notre arrière-grand-père louis auguste est décédé à alger le 15 décembre 1924. nous avons l'annonce nécrologique dans l'écho d'alger du 16 décembre qui annonce les obsèques pour le jour même. et la copie de son acte de décès. louis et maria demeuraient alors 2 rue malakoff à alger. on apprend...


2. Afrique 🌍 Lamartine Algérie

...is qui culmine à 1 985 m, lamartine, à 216 m d'altitude, bénéficie d'un bon climat avec des températures qui varient entre 14 °c en hiver et 42 °c en été. l'oued fodda, affluent du chélif, permet par des canaux de dérivation d'irriguer 200 ha de cultures diverses. l'alimentation en eau est assurée par des sources. les terres d'alluvions sont propices aux céréales. lamartine dispose d'une pépinière communale en plein rapport. le village établi sur les terres du douar harchoun, abrite le siège de la commune mixte du chélif, qui s'étend sur 192 083 ha en plaines, coteaux et montagnes. en 1900, cette commune mixte avait une population de 48 113 autochtones et 701 français, alors que lamartine avait en cette même année 333 habitants dont 253 européens. le village est desservi par la gare plm de l'oued fodda sur la ligne de chemin de fer d'alger à oran. la commune de lamartine au début du xxe siècle administration de la commune mixte administrateur: m. eugène pons; premier adjoint: m. félix aumerat; deuxième adjoint: m. marius cauquil; secrétaire: mm. albert colombaire, françois brandstaetter et françois magnon; khodja : mm. ben omar benatchi et mohammed boukandoura; garde champêtre, crieur public: m. victor gibert; instituteur: m. noël antoniotti à l'école communale de garçons; institutrice: mme brandstaetter à l'école communale de filles; médecin de colonisation : d' reisser, résidant à l'oued fodda; fanfare: les enfants de lamartine, avec m. françois magnon comme chef de musique; curé : m. l'abbé bonnefond ; cantonniers: mm. rochette et weinert. artisans et commerçants en raison de sa situation à l'extrémité d'une route desservant des douars ou fractions de douars et avec la construction du barrage " steeg" ou de lamartine sur l'oued fodda, le village abritait de nombreux représentants des professions libérales, artisans et commerçants. cafetier: m. Étienne guignard; cordonnier: m. arnaudeau; bourrelier-sellier: m...


3. Amérique 🗽 Les Huguenots au Canada

...amérique 🗽 les huguenots au canada the huguenots in acadia. the year 2004 marks the 400th anniversary of the founding of acadia by pierre de gua (or gaust), comte de monts, huguenot from pons. this colony is identified by some historians as the first permanent french settlement in north america. some deny it that distinction because its occupation may have been intermittent. port royal, now called annapolis royal, the final site of the colony, was burned by the british at least five times during the 17th century, but was always rebuilt and, some say, was never completely depopulated. qu'est-ce qu'on attend pour le traduire ? pour une fois qu'il n'y a encore que la version anglaise ! et puis, si vous trouvez que je ne vais pas assez vite, vous n'avez qu'à vous y coller ! those who deny that acadia was permanent make quebec city, founded by samuel de champlain in 1608, the first permanent settlement. one author, avoiding the issue of permanence, describes acadia as the first french agricultural settlement in north america. many books tell the story of the acadian colony. those of presumably unbiased sources like the great american historian francis parkman and contributors to various encyclopedias, those of writers like john fiske apparently partial to a catholic interpretation, and those of such propagandists for the huguenots as abram elting bennett and lucian j. fosdick differ on many details, for example, the spelling of de monts' name, the number of ships and the number of clergymen and the religious affiliations of de monts' principal lieutenants. all agree, however, that it was a largely huguenot venture. that was not surprising; both of the serious french attempts at settlement in the new world in the 16th century had also been huguenot-sponsored, by gaspard de coligny- and consisted principally of huguenots. both settlements ended in disaster. the brazilian colony of 1555 was razed by the port...


4. Jacques ✎ La véritable histoire de Kerguelen

...ge. au demeurans, lui avois tenu ces proupos en latin de paour que mes compagnons ne crussent que j’avois moins de souci de la santé d’iceulx corps que du comblemens de leurs maulvais désirs. or arrivasmes bientost devant la terre d’egypte où jà nostre roy estoit aux prises avec les infidèles. de loin vismes batailles rangées de gens d’armes et nobles chevaliers pourfendre mécréans. autour des lys de france et de l’oriflamme rouge de messire sainct denis lors flottoient aux quatre vents les banières des seigneurs croisés. le bruict de la meslée enjoyoit nos aureilles et nous rendoit fort avides d’en venir aux mains. déjà avoient été harnachiés nos fiers destriers. nos braves archierz avoient faict jaillir leurs dards de leurs étuis et léonard, le sire de mussel, avoit déploïé la bannière du comte qui porte sur sinople au sanglier de gueule encagé. messire lebrézounec et la plupars de ses marins estoient descendeus à terre pour nous establir ung pons afin que puissions fassilemens désembarquer nos montures.je me tenois avecque mes outilz emprès de mon seigneur pour y pancer touste navrance qu’il se risquoit à encourir. lors me fist le comte lacer son heaulme puis tira guite, sa bonne espée, en dehors du fourreau et la brandit en crians : _ tiens bon sire roy :.. arrivons à ta rescousse… ce à quoi respondismes par lecri de guerre : _ pointe, molloy !.. ce entendans, grand effroye se saisist des payens qui rompirent d’eune lance. mais le dyable les voulust secourir et fist souffler telle tempeste qu’en furent rompeus casbles retenant nostre nef au rivage et que laissans là messire yves et ses marins, nous fusmes emportés par les flots… boutés par eun vent que ryen n’auroit sceu arrester, nous passasmes le long des rives et atteignismes enfin la mer océane. note : il est bien précisé que les croisés, pour atteindre l’océan indien n’ont pas eu à changer de vaisseau. ce qui laisse supposer, à ...


5. Jacques ✎ Le princesse et le navigateur

...e que moi … mais c’est sûrement déjà fait. là-bas j’étais la première et quelque-chose me tracassait . ici je suis la dernière et mon âme est en paix… lorsque les marins apprirent que leur princesse était là, ils vinrent tous dans un élan spontané, lui apporter des fleurs. elle les accueillit avec beaucoup d’émotion et assura chacun d’eux du secours de ses prières pour les préserver des dangers du retour. la lune s’était élevée au dessus de l’estuaire jetant une traînée dorée à travers l’étendue sombre de l’eau quand le vent du laos se mit à souffler. sur leur terrasse, occupées à réciter un dernier chapelet avant d’aller se coucher, les sœurs virent un vaisseau de haut bord, aux voiles gonflées, glisser lentement en silence le long de la piste lumineuse. et celle qui avait été naguère abbesse d’un monastère mondain interrompit un instant sa prière. de grosses larmes roulèrent sur ses joues ; puis elle bredouilla les ré répons et , enfin, sa voix reprit peu à peu de l’assurance au fur et à mesure que le navire s’estompait dans l’obscurité de la nuit. dong-hoï : 27-06-1954 ...