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Vous recherchiez le terme suivant :menuisier


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1. Recherches généalogiques 🔎 Nos Bourlaud jusqu'au XVIIIe siècle

...tte dupuis, maître cordonnier à sanxay et contemporain de louis xiii ne nous est connu que par un acte notarié mentionnant qu'il avait acheté en 1637, près de l'église de son village, une maison qui tient encore debout. philippe delavault, un marchand drapier à lusignan, nous a laissé un livre journalier de comptes étalés sur deux ou trois années aux alentours de 1770. avec un peu d'imagination, il est possible de cerner sa personnalité et de faire revivre son activité professionnelle. mais, à ma connaissance, aucun de ses descendants n'a transmis de détails précis ni d'anecdotes à son sujet. il faut attendre 1789 - une date dont on parle de temps en temps pour voir la tradition familiale une aïeule en marge d'un événement historique. marie laguillon était parisienne. j'ai déjà dit que les garçons, autrefois, épousaient des filles de leur région. françois bouchet, mon arrière-grand-père, est justement "l'exception qui confirme la règle". compagnon menuisier, il avait quitté son village natal de châtain - aux confins du poitou et du limousin - pour entreprendre son tour de france. ce qui l'avait mené à paris où il avait fondé, sous le second empire, une entreprise de menuiserie rue saint paul et fondé également une famille en épousant rosine bartinet. ainsi, sur mes huit arrière-grands-parents, y eût-il sept poitevins et une parisienne. rosine bartinet était la petite fille de marie laguillon. or, le 5 octobre 1789, marie laguillon se trouvait dans la rue. on peut se représenter la jeune femme avec la coiffe blanche de l’Île-de-france et le caraco bien ajusté. peut-être s'était-elle drapée dans une grande mante noire pour dissimuler un peu ses rondeurs ? car marie laguillon, qui avait épousé jacques giraud, était enceinte. pourquoi était-elle sortie de sa maison ce jour là ? sans doute pour assurer le ravitaillement de sa famille. ce n'était pas chose aisée en cette fin de saison, à cette époque incert...


2. Louis et Maria Cadel ⛯ Ligne du temps

...et léon moururent enfants en algérie, et edmond, appartenant au 3e mixte de zouaves, fut tué au front (dans le pas de calais) en novembre 1914. la famille vers 1900 ils finirent leur carrière militaire à lorient où louis auguste commandait les sémaphores de l’arrondissement. ils vécurent au pied de la tour de la découverte, bien connue des lorientais, dans l’enceinte de l’arsenal. georges, notre grand père, fut un familier de cette tour. nous en reparlerons. quelques photos rappellent cette période où georges et anna, nos grands parents, étaient entourés de leurs propres parents. maria a ainsi pu peindre edmond, notre oncle tôt décédé. lors de leur retraite ils reprirent le chemin de l’algérie où les attendaient émilienne, qui avait épousé joseph bagur, un colon, et marie, femme de louis pons (menuisier). ils résidèrent à alger. au décès de louis auguste, inhumé à saint-eugène (notre-dame d’afrique) à alger, maria s’établit chez sa fille émilienne et son mari, joseph bagur, à lamartine. elle y faisait de la couture, lisait beaucoup et s’occupait de ses petits enfants. elle mourut vers 1948. elle est inhumée à lamartine (algérie). gildas cadel , le 23 avril 2005 la famille vers 1915 note de catherine le 9 octobre 2015 : nous avons découvert que notre arrière-grand-père louis auguste est décédé à alger le 15 décembre 1924. nous avons l'annonce nécrologique dans l'écho d'alger du 16 décembre qui annonce les obsèques pour le jour même. et la copie de son acte de décès. louis et maria demeuraient alors 2 rue malakoff à alger. on apprend aussi q...


3. Daniel Chauvigné ⌘ Premier métier : menuisier ébéniste

...daniel chauvigné ⌘ premier métier : menuisier ébéniste l'atelier d'ébénisterie bien que vaste et fonctionnel, possède peu de machines-outils, alors que l'atelier de menuiserie en a beaucoup. en effet, traditionnellement, les ébénistes travaillent manuellement, car c’est un travail noble. tous les bois exotiques nécessaires à la fabrication sont empilés sur des entretoises afin de pouvoir sécher sans déformation, dans des hangars bien aérés, pendant plusieurs années avant d'être utilisés. le chef d'atelier, monsieur sörg, est un géant blond, très jovial mais très pointilleux sur la qualité du travail. après m'avoir appris à reconnaître l'essence des différents bois et le sens de leur fil, il m'a incité à acheter à crédit les différents outils qui me seront nécessaires pour l'exécution des travaux. ce sont de très beaux outils dont l'acier suédois est de renommée mondiale. il m'apprit d'abord à les affûter, car leur coupe parfaite est garante d'une grande partie de la qualité du travail. ensuite, j'ai dû apprendre à exécuter le plan coté et détaillé d'une caisse à couvercle et à séparation où chaque outil avait sa place. enfin le grand jour est arrivé, j'ai commencé la fabrication de ma caisse à outils. le tracé du bois, la découpe et l'assemblage m'ont pris huit jours. j'étais fier de mon œuvre, mais monsieur sörg m'a démontré qu'elle n'était pas parfaite : - "tu as un défaut d'équerrage ici, une mauvaise jointure là, un manque de colle sur le couvercle, la teinture de teinte inégale..." j'étais d'autant plus consterné ...


4. Mahlon ✍ L'émigration de Pascal par Mahlon Lucas Henderson

...e; de preston, en virginie occidentale, semblait prospérer. les rapports encourageants sur la vie dans son nouveau pays, qu’il envoyait à la maison, contribuèrent sans aucun doute à faire songer aussi son beau-frère à l’émigration. pour ces diverses raisons, l’idée de l’émigration finit par s’imposer et en 1854 françois lucas, le fils aîné de pascal et julien alot (=julius elliot), fiancé d’anne marie, fille aînée de pascal, commencèrent leur aventure en compagnie d’un frère de marie louis. ils s’embarquèrent au havre à bord du « mountaineer » qui les débarqua à new-york le 17 août 1854. ils furent inscrits comme suit sur la liste des passagers. nom de l'émigrant age sexe pays d'origine destination profession remarques lucas françois 19 m france new york menuisier 1 malle alot julien 22 m france new york menuisier 1 sac lucas françois 19 m france new york menuisier 1 malle (la double inscription de françois lucas, 19 ans, est probablement une erreur de plume. marie louise avait bien un frère plus âgé appelé françois, mais il était mort en 1848. il s’agit vraisemblablement de victor lucas, âgé alors de 48 ans. il habitait à bangor et entretint plus tard une correspondance avec pascal et marie louise.) les détails de leurs voyages à partir de newyork se perdent dans la nuit des événements oubliés de l’histoire, mais on sait qu’ils se rendirent d’abord à cincinnati, probablement pour rendre visite à la famille du capitaine augustin lucas, frère de marie louise. ils allèrent ensuite à wheeling, en virginie occidentale, et de là parcoururent une distance de ...