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1. Augustin Lucas ⚓ Biographie selon Louis Le Kay

...augustin lucas ⚓ biographie selon louis le kay lucas augustin capitaine au long cours, né à bangor le 6 mars 1804. se fit remarquer par son zèle pour le perfectionnement de la marine marchande. zèle auquel il sacrifia le soin de sa propre fortune. son rêve le plus cher avait toujours été de diriger sur un navire spécial l'instruction théorique et pratique de jeunes marins de commerce, en vue de leurs examens de capitaine. il réussit à armer dans ce but, à nantes en 1839, le trois-mâts l'oriental, sur lequel il embarqua avec lui, pour un voyage de circumnavigation, de nombreux élèves. le naufrage du navire à valparaiso le 23 juin 1840 vint malheureusement faire échouer l'entreprise. rappelons que le capitaine lucas inventa un gouvernail de fortune, dont l'usage fut recommandé aux navigateurs de commerce dès 1835, après examen favorable du conseil des travaux de la marine. il imagina aussi pour prendre les ris, une nouvelle méthode que le ministre décida d'expérimenter à bord d'un bâtiment de l'État, sur un avis du même conseil des travaux du 15 octobre 1835. un procédé offrant de l'analogie avec le sien, et portant le nom de mr béléguie, officier de marine, ayant prévalu, lucas réclama sans succès, auprès du ministre, l'honneur de la priorité de l'invention. mort en amérique vers 1854, augustin lucas a laissé un ouvrage intitulé "le candidat", recueil de principes et de notions pratiques pour tous les échelons de la carrière de la marine du commerce. source : l'histoire de belle-ile, par louis le kay, membre de la société polymathique du morbihan, édité à vannes chez g.de lama...


2. Claude Chauvigné 🎤 Interview (vidéo et texte)

...ayed in the same village? chauvigne: oh yes, same village, same house. interviewer: would you mind spelling the names of those cities that you mentioned? (this was done) chauvigne: speaking of narcay (the village spoken of at the beginning of this interview), another incident by the way. we had a man in the village, in every village in france, you had a man who went around the country road and filled up the potholes and so on, and this man had a little dog (laughter). i remember that, one day, he was a veteran of world war i, and he had some, i don't know, he had been injured in world war i, anyway, that little dog, he would say, "churchill" and the little dog would stand up like that, "bow wow wow". and he would say "hitler" and the little dog would become furious (laughter). interviewer: that you remember. chauvigne: ya, that's how people treated the whole thing. interviewer: all right, if you've told us everything... chauvigne: oh yes, i think that is enough. interviewer: okay, this is going to conclude the interview of claude chauvigne who was a french national during world war ii. the time is 11:26 on the 12th of ju...


3. Daniel Chauvigné ⌘ Premier métier : menuisier ébéniste

...istiques de claude lui ont permis de trouver un emploi dans une société d’import-export à bangui. j’ai trouvé aussi du travail comme chef d’équipe dans une entreprise de bâtiment. mon rôle consiste à surveiller le chargement et le déchargement du sable que les manœuvres noirs puisent sur les bancs au milieu de la rivière. le sable est chargé dans d’énormes pirogues, dont je contrôle le va-et-vient dans une petite pirogue manœuvrée par un jeune africain de mon âge. lors de ces déplacements, tous les piroguiers chantent une mélopée itérative scandée par le mouvement des pagaies « o mound’jou, mou na b’bi guinza. ah ! ah !…(o blanc donne moi de l’argent ah ! ah !… avec mes premières économies, j’ai acheté du bois pour construire la carcasse d’un kayak que j’ai recouverte d’un drap enduit de goudron. la pagaie double a étonné mes manœuvres qui n’ont que des pagaies simples. cet esquif, insubmersible grâce aux caissons étanches placés à l’avant et à l’arrière, est très léger et se manœuvre très facilement. je me suis servi de lui pour mon travail et, le soir, j’emmène souvent mon petit frère bernard voguer sur le fleuve. le courant au milieu de l’oubangui est très fort, ce qui m’oblige à remonter le long de la berge lorsque je suis déporté en aval. un soir, le fonder était arrimé contre la berge et la largeur du bateau créait contre son flanc un courant que je n’ai pas pu remonter malgré une heure d’efforts. nous avons été obligés de débarquer et de porter notre embarcation pour la remettr...