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1. Chroniques familiales 📖 Liste des 78 familles acadiennes installées à Belle-Île

...chroniques familiales 📖 liste des 78 familles acadiennes installées à belle-Île écoutez ... l'acadiefrance inter - 9 juin 2010 votre navigateur ne supporte pas l'élément html audio implantation des acadiens à belle- belle- belle-ile) - carte réalisée par jacques nerrou source : d'après la liste établie à l'origine et les travaux de rené et marguerite daligaut et jean-marie fonteneau et publiée sur le site racines et rameaux français d'acadie les liens sur les noms mènent sur la fiche biographique de la personne, sur mon autre site, celui de généalogie. famille 1 : joseph simon granger, né la rivière-aux-canards, frère de jean-baptiste et d’armand. sa mère marguerite leblanc veuve de joseph granger, sœur de honoré, françoise, charles et simon. son épouse marie josèphe terriot, née la rivière-aux-canards, sœur de marie-madeleine, marguerite-marie, élisabeth, marie-geneviève, marie-blanche et jean-baptiste. leurs enfants : jean-baptiste, joseph-simon, pierre, augustin vital, élisabeth. venant de falmouth et morlaix, installés à antoureau (le palais). famille 2 : jean baptiste granger, né la rivière-aux-canards, frère de joseph-simon et d’amand. son épouse marie-madeleine terriot, née la rivière-aux-canards, sœur de marie-josèphe, marguerite-marie, élisabeth, marie-geneviève, marie-blanche et jean-baptiste. leurs enfants: pierre-amand, jean-joseph, marie-josèphe. venant de falmouth et morlaix, installés à andrestol (le palais). famille 3 : armand granger, né la rivière-aux-canards, frère de joseph-simon et de jean-baptiste. son épouse marguerite-marie terriot, née la rivière-aux-canard...


2. Recherches généalogiques 🔎 Les Acadiens, citoyens de l'Atlantique

...recherches généalogiques 🔎 les acadiens, citoyens de l'atlantique jean-marie fonteneau, ancien conservateur de la citadelle de belle- belle- belle- belle-ile-en-mer-en-mer-en-mer-en-mer, a publié en 1996 un ouvrage sur les pionniers acadiens, en particulier, ceux qui s'installèrent à belle- belle- belle- belle-ile-en-mer-en-mer-en-mer-en-mer. 1er enseignement : jean-marie fonteneau conseille de ne pas se laisser emporter par la frénésie canadienne de recherche d'ancêtres français. il s'adresse là à des français raisonnables qui n'ont pas besoin de se créer à tout prix des racines sur le vieux continent. il faut se rendre à l'évidence et constater que même avec les recherches les plus poussées et les plus modernes, il est impossible d'identifier l'origine française de la grande majorité des pionniers acadiens. a de rares exceptions près, comme des dugas, trahan ou mius d'entremont, la seule conclusion que l'on pourra en tirer, c'est que dans tel ou tel village français, il y en avait beaucoup qui portait le même nom de famille. si l'on sait en effet beaucoup de choses sur la vie, l'évolution, la descendance et le cousinage des pionniers après qu'ils aient posé le pied en terre américaine, pour remonter avant, macache coucou. 2e enseignement : il n'y a pas eu de femme occidentale en acadie avant 1636. tous les mariages et naissances antérieurs sont donc métis, et bien d'autres ensuite of course. charles de la tour, arrivé avec son père dès 1610, avait une épouse micmac à cap de sable et toute sa descendance est métisse. mathieu martin, dont les parents sont arrivés en 1636 sur le même bateau que guillaume trahan (le saint-jehan en provenance de la rochelle) est considéré comme le premier blanc 100% né sur le continent américain, puisque sa mère a pratiquement accouché dès que le bateau a touché terre. j.m. fonteneau ne donne pas d'indication sur l'état civil des indiens mariés aux blancs. ce n'était pas vraiment son propos. mais il faut prévoir que l'identification ne sera ...


3. Augustin Lucas ⚓ Les origines du Capitaine Augustin

...augustin lucas ⚓ les origines du capitaine augustin le patronyme lucas est le plus fréquent de notre arbre généalogique. le nom de lucas est porté par 119 personnes sur les 5023 individus référencés au 1er août 2018. augustin lucas est sans doute celui qui a fait le plus parler de lui... il n'est pas exactement dans la ligne directe de nos ancêtres. mais ses parents le sont. il nous est donc apparenté. j'ai suivi la piste tracée par notre cousin eugène le guellec et j'ai mis en ligne le texte qu'il écrivit peu de temps avant qu'il ne décède en 1970. je voudrais essayer aujourd'hui de préciser, d'enrichir, d'illustrer ces données et de les recadrer dans leur contexte historique. le nom d'augustin lucas apparaît si souvent dans de multiples documents, à commencer par les souvenirs de sa petite fille Évangeline soyer, qu'on peut se demander s'il s'agit du même homme. et pourtant ... menons l'enquête. augustin marie lucas est né à palais à belle- belle-ile, le 6 mars 1804. il est l'aîné des huit enfants de jean-marie lucas, tonnelier en barils à sardines et de marie-anne séveno. augustin est le frère aîné de marie-louise lucas l'émigrante de 1854 qui fit souche aux États-unis et de jean louis victor, notre aïeul qui resta au pays. la carrière maritime était alors naturelle pour un jeune îlien. c'est ainsi qu'augustin prit la mer à 18 ans, d'abord comme pêcheur, puis dans la marine marchande. on lui connaît trois voyages au long cours (embarquements à l'État, selon adrien carré) entre 1824 et 1826. il fut nommé lieutenant, puis capitaine en second pour un voyage à la guadeloupe, la martinique et la réunion. après avoir suivi des cours de navigation, deux mois à bordeaux en 1828, puis à l'École d'hydrographie de rochefort, il est reçu maître le 23 juin 1831 et fut nommé capitaine au long cours le 2 juin 1832. de cette époque, on trouve une lettre de février 1828. (source : http://librairie-marine.com/documents/...


4. Augustin Lucas ⚓ Biographie par Eugène Le Guellec

...augustin lucas ⚓ biographie par eugène le guellec bien qu'augustin lucas ne soit pas dans la ligne directe des descendants de pascal et de marie louise lucas, puisqu'il était le frère aîné de cette dernière, son histoire est intimement liée à celle de la famille de pascal. il semble donc approprié et intéressant de faire un résumé de sa vie mouvementée, basé sur un certain nombre de sources. le premier et le plus personnel document qui nous soit parvenu fut l'autobiographie de sa petite fille Évangeline soyer, datée du 29 mai 1941. cependant, son nom apparaissait si souvent dans d'autres documents qu'on en venait à se demander s'il s'agissait d'un seul homme ou de plusieurs. quand les pièces du puzzle furent ordonnées, on obtint le tableau d'un homme aux activités innombrables, qui n'avait pas eu le temps de s'ennuyer beaucoup dans la vie. augustin marie lucas est né à bangor, ou plus probablement au village de kernest, à belle- belle- belle-ile, le 6 mars 1804. il est l'aîné des huit enfants de jean-marie lucas et de marie-anne seveno, frère aîné de marie-louise lucas et de jean louis victor, nos aïeux. il commença à aller à l'école à bangor. a cette époque, la marine prenait de plus en plus d'importance à belle- belle- belle-ile et une carrière de marin était toute naturelle pour un jeune îlien. c'est ainsi qu'augustin prit la mer à 18 ans, d'abord comme pêcheur, puis dans la marine marchand, où il fit trois voyages au long cours entre 1824 et 1826. il fut nommé lieutenant, puis capitaine en second pour un voyage à la guadeloupe, la martinique et la réunion. après avoir suivi des cours de navigation, à bordeaux et à l'École d'hydrographie de rochefort, il reçut son brevet de capitaine en 1831 et fut nommé capitaine au long cours le 2 juin 1832. pendant ce temps, il avait épousé zoé bellais (ndlr : ou gallais, selon les sources), fille d'un aubergiste de rochefort. le mariage eut lieu en 1830, selon melle soyer, mais la date du 2 sept...


5. Augustin Lucas ⚓ Biographie selon Louis Le Kay

...augustin lucas ⚓ biographie selon louis le kay lucas augustin capitaine au long cours, né à bangor le 6 mars 1804. se fit remarquer par son zèle pour le perfectionnement de la marine marchande. zèle auquel il sacrifia le soin de sa propre fortune. son rêve le plus cher avait toujours été de diriger sur un navire spécial l'instruction théorique et pratique de jeunes marins de commerce, en vue de leurs examens de capitaine. il réussit à armer dans ce but, à nantes en 1839, le trois-mâts l'oriental, sur lequel il embarqua avec lui, pour un voyage de circumnavigation, de nombreux élèves. le naufrage du navire à valparaiso le 23 juin 1840 vint malheureusement faire échouer l'entreprise. rappelons que le capitaine lucas inventa un gouvernail de fortune, dont l'usage fut recommandé aux navigateurs de commerce dès 1835, après examen favorable du conseil des travaux de la marine. il imagina aussi pour prendre les ris, une nouvelle méthode que le ministre décida d'expérimenter à bord d'un bâtiment de l'État, sur un avis du même conseil des travaux du 15 octobre 1835. un procédé offrant de l'analogie avec le sien, et portant le nom de mr béléguie, officier de marine, ayant prévalu, lucas réclama sans succès, auprès du ministre, l'honneur de la priorité de l'invention. mort en amérique vers 1854, augustin lucas a laissé un ouvrage intitulé "le candidat", recueil de principes et de notions pratiques pour tous les échelons de la carrière de la marine du commerce. source : l'histoire de belle- belle-ile, par louis le kay, membre de la société polymathique du morbihan, édité à vannes chez g.de lamarzelle, 1ère édition 1850 - 2e édition : 1878. ...