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16. Augustin Lucas ⚓ Les origines du Capitaine Augustin

...augustin lucas ⚓ les origines du capitaine augustin le patronyme lucas est le plus fréquent de notre arbre généalogique. le nom de lucas est porté par 119 personnes sur les 5023 individus référencés au 1er août 2018. augustin lucas est sans doute celui qui a fait le plus parler de lui... il n'est pas exactement dans la ligne directe de nos ancêtres. mais ses parents le sont. il nous est donc apparenté. j'ai suivi la piste tracée par notre cousin eugène le guellec et j'ai mis en ligne le texte qu'il écrivit peu de temps avant qu'il ne décède en 1970. je voudrais essayer aujourd'hui de préciser, d'enrichir, d'illustrer ces données et de les recadrer dans leur contexte historique. le nom d'augustin lucas apparaît si souvent dans de multiples documents, à commencer par les souvenirs de sa petite fille Évangeline soyer, qu'on peut se demander s'il s'agit du même homme. et pourtant ... menons l'enquête. augustin marie lucas est né à palais à belle-ile, le 6 mars 1804. il est l'aîné des huit enfants de jean-marie lucas, tonnelier en barils à sardines et de marie-anne séveno. augustin est le frère aîné de marie-louise lucas l'émigrante de 1854 qui fit souche aux États-unis et de jean louis victor, notre aïeul qui resta au pays. la carrière maritime était alors naturelle pour un jeune îlien. c'est ainsi qu'augustin prit la mer à 18 ans, d'abord comme pêcheur, puis dans la marine marchande. on lui connaît trois voyages au long cours (embarquements à l'État, selon adrien carré) entre 1824 et 1826. il fut nommé lieutenant, puis capitaine en second pour un voyage à la guadeloupe, la martinique et la réunion. après avoir suivi des cours de navigation, deux mois à bordeaux en 1828, puis à l'École d'hydrographie de rochefort, il est reçu maître le 23 juin 1831 et fut nommé capitaine au long cours le 2 juin 1832. de cette époque, on trouve une lettre de février 1828. (source : http://librairie-marine.com/documents/...


17. Augustin Lucas ⚓ Biographie par sa petite-fille Évangeline

...augustin lucas ⚓ biographie par sa petite-fille Évangeline mon grand-père maternel, auguste (augustin) lucas, époux de zoé gallais, se maria à rochefort, en france, en 1830. il était capitaine de navire armé par l'état et la plupart du temps fut employé à la mer, voyageant autour du monde. son premier enfant, mathilde, cependant naquit à rochefort. quand le baby eut environ 6 mois, elle fut laissée à ses grands-parents gallais en france et pendant 2 ans, pas un mot ne fut reçu des parents. a son retour, le grand-père lucas raconte sa dure expérience à la mer. en doublant le cap horn, une violente tempête d'hiver les surprit. pendant 40 jours, ils furent avec le résultat que le "trophée mathilde", eut le grand mat cassé et perdit son gouvernail !!! le navire entier fut couvert de glace, avec seulement 2 heures de jour, par moments, il y avait peu de temps pour la fonte de la glace. l'eau douce commença à manquer. 4 nœuds en 24 heures fut tout ce que le trophée mathilde put réaliser. finalement, en arrivant à valparaiso, au chili, ma grand-mère mit au monde dolorès lucas, ma mère. c'était le 17 mars 1835, pendant que le navire était en réparation. un mois s'écoula, puis le navire put faire route vers la france. le voyage dura 5 mois. grand-père retourna alors à la mer, laissant sa femme et ses deux enfants à rochefort. a son retour, il abandonna son commandement, mais son amour de la mer le reprit. le nouveau voyage, avec sa famille, le conduisit à papeete (tahiti). ils y séjournèrent 8 ans, fondant un "dry goods store", genre d'épicerie. le commerce était bon avec les hindous, ils mentionnent à tort les indiens. on échangeait quelquefois de l'or et quelquefois de rare...


18. Évangeline Soyer 🌏 Courte autobiographie

...Évangeline soyer 🌏 courte autobiographie on m'a souvent demandé d'écrire une courte description de ma vie et je vais donc dédier celle-ci à ma sœur adrienne. je suis née à toronto, canada, de parents français. mon enfance s'écoula au canada, où je suis allée en classe, mais pas en france. mon grand-père maternel, auguste (augustin) lucas, époux de zoé gallais, se maria à rochefort, en france, en 1830. il était capitaine de navire armé par l'état et la plupart du temps fut employé à la mer, voyageant autour du monde. son premier enfant, mathilde, cependant naquit à rochefort. quand le baby eut environ 6 mois, elle fut laissée à ses grands-parents gallais en france et pendant 2 ans, pas un mot ne fut reçu des parents. a son retour, le grand-père lucas raconte sa dure expérience à la mer. en doublant le cap horn, une violente tempête d'hiver les surprit. pendant 40 jours, ils furent avec le résultat que le "trophée mathilde", eut le grand mat cassé et perdit son gouvernail !!! le navire entier fut couvert de glace, avec seulement 2 heures de jour, par moments, il y avait peu de temps pour la fonte de la glace. l'eau douce commença à manquer. 4 nœuds en 24 heures fut tout ce que le trophée mathilde put réaliser. finalement, en arrivant à valparaiso, au chili, ma grand-mère mit au monde dolorès lucas, ma mère. c'était le 17 mars 1835, pendant que le navire était en réparation. un mois s'écoula, puis le navire put faire route vers la france. le voyage dura 5 mois. grand-père retourna alors à la mer, laissant sa femme et ses deux enfants à rochefort. a son retour, il abandonna son commandement, mais son amour de la mer le reprit. le nouveau voy...


19. Daniel Chauvigné ⌘ Aux origines de la famille

...louis et anne vécurent de leurs rentes. dix années plus tard, honoré s’engagea dans l’armée napoléonienne. lors de la campagne de russie, sa connaissance de la langue slave et son grand courage lui permirent de monter rapidement en grade et c’est avec celui de capitaine des dragons qu’il revint de cette expédition … mais également avec les pieds gelés ! il fut donc réformé. puis il fonda une famille en se mariant avec françoise belluot. sa pension et les francs or de sa légion d’honneur lui suffirent pour vivre aisément et élever son fils louis-adolphe né le 23 mai 1836. celui-ci épousa une blanchisseuse, clémence ride, née le 19 mai 1838. il s’installa avec sa femme à la riche, près de tours, comme cabaretier. le couple eut deux garçons, adolphe et alfred. louis adolphe chauvigné alfred fit des études de comptable et se maria avec eugénie, une chapelière de tours mais ils n’eurent pas de descendance. alfred était un gai luron qui se contentait de tenir la caisse et de courtiser les clientes pendant que son épouse besognait dans l’arrière boutique. grand et bel homme, il avait du succès auprès des femmes et certains disaient que s’il n’avait pas d’enfant légitime, ses bâtards étaient nombreux ! les chapeaux étaient fort prisés au xixe siècle et au fil des ans le magasin s’agrandit au point de devenir le plus célèbre de la ville. alfred acheta alors une superbe propriété sur une colline de joué-lès-tours jouissant d’une vue superbe sur tours et la vallée de la loire. il acheta également un château en bretagne pour placer ses économies. mais à quarante ans, devenu tuberculeux, il mit ce château en viager dont le loyer, très élevé, lui permit de soigner sa maladie, très grave à cette époque. alfred cependant surmonta cette épreuve et vécut de ses rentes jusqu’à l’âge de quatre-vingt-douze ans !… son frère adolphe, après un apprentissage de cuisinier, devint rapidement e...


20. Daniel Chauvigné ⌘ Deuxième métier : planteur de tabac

... et ne le vois pas dans l’assistance. - lo a quoi awé (il est mort), répondit le chef très calme. - quand ? - cette nuit en même temps que la panthère nous dit-il d’un air naturel et convainquant. - il ne pouvait plus vivre sans son cerveau, enchérit tété. a notre demande le chef nous conduit vers la case de malinga. celui-ci était bien mort, son corps nu ne porte pas de trace de coups ni de blessure et n’a pas encore la raideur cadavérique. a son chevet, sa femme pleure en silence. elle nous a expliqué que la faute commise par son mari le condamnait à ne pas être enterré avec la fête rituelle. il sera donc abandonné, nu, dans la brousse où les charognards et les hyènes se chargeront de le dépecer. - on ne peut pas enterrer un homme sans son cerveau, conclut sagement le chef du village. le lendemain, je me suis rendu à carnot raconter toute cette histoire au gendarme français. celui-ci me dit que malinga a certainement été empoisonné par un poison foudroyant afin que la crédibilité des sorciers subsiste. il n’y a sur place aucun moyen d’autopsie, il ne pouvait donc rien faire sans preuve. néanmoins, je suis resté longtemps troublé par tant de coïncidences : seul le piège du village de wansiguila avait fonctionné. c’est dans ce village que vivait le piégeur incriminé. c’est dans ce village qu’il est mort, alors que, se sachant soupçonné, il lui était possible de fuir ses détracteurs … retard des pluies, plantation en faillite la saison des pluies aurait dû commencer depuis trois semaines, doudou ne chantait pas, le ciel était serein. les plants de tabacs avaient déjà dépassés la taille idéale pour le re...