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Vous recherchiez le terme suivant :poitou


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1. Recherches généalogiques 🔎 Laurent Granger

...1647 et 1650, que laurent a quitté cette terre avant sa femme. mais quand : selon les recensements, est veuve dès 1698, mais son mari ressuscite pour celui de 1700. allez savoir …les descendants de belle-isle pensaient que laurent et marie étaient tous deux morts à port-royal. nous possédons en tous cas l’acte de décès de marie landry « mère de granger » : elle a été enterrée le 26 octobre 1719, âgée de « presque 70 ans » (ce qui recoupe sa date de naissance de 1650). (sources : registres de la paroisse de saint-jean-baptiste, port-royal) d’autres recherches évoquent l’hypothèse d’un laurent granger venu de la colonie américaine de plymouth (où se trouvaient des granger à l’époque) ou même d’un laurent granger protestant, mais poitevin, car sur la liste des protestants fugitifs du poitou, dressée par le pasteur jean rivière, se trouvaient des granger, comme des landry d’ailleurs … on peut donc en déduire ... ce que vous voulez, tant que l'on n'aura pas plus d'éléments probants.jacques nerrou écrit ceci en août 2009 dans racines et rameaux français d'acadie n°46. les origines de laurent granger. cette page est un peu une mise au point car beaucoup d’acadiens tant au canada qu’en france ont pour ancêtre laurent granger. aujourd’hui, certains sites sur internet nous donnent même les noms et prénoms des parents’. cette dernière affirmation n’est pas fiable du tout, tant que les preuves en actes ou documents officiels de l’époque ne sont pas trouvés. le recensement de 1671 du père molin nous donne : matelot - laurent grange aagé de 34 ans, sa femme marie landry aagée de 24 ansleurs enfans deux, margueri...


2. Recherches généalogiques 🔎 Nos Bourlaud jusqu'au XVIIIe siècle

...nous est connu que par un acte notarié mentionnant qu'il avait acheté en 1637, près de l'église de son village, une maison qui tient encore debout. philippe delavault, un marchand drapier à lusignan, nous a laissé un livre journalier de comptes étalés sur deux ou trois années aux alentours de 1770. avec un peu d'imagination, il est possible de cerner sa personnalité et de faire revivre son activité professionnelle. mais, à ma connaissance, aucun de ses descendants n'a transmis de détails précis ni d'anecdotes à son sujet. il faut attendre 1789 - une date dont on parle de temps en temps pour voir la tradition familiale une aïeule en marge d'un événement historique. marie laguillon était parisienne. j'ai déjà dit que les garçons, autrefois, épousaient des filles de leur région. françois bouchet, mon arrière-grand-père, est justement "l'exception qui confirme la règle". compagnon menuisier, il avait quitté son village natal de châtain - aux confins du poitou et du limousin - pour entreprendre son tour de france. ce qui l'avait mené à paris où il avait fondé, sous le second empire, une entreprise de menuiserie rue saint paul et fondé également une famille en épousant rosine bartinet. ainsi, sur mes huit arrière-grands-parents, y eût-il sept poitevins et une parisienne. rosine bartinet était la petite fille de marie laguillon. or, le 5 octobre 1789, marie laguillon se trouvait dans la rue. on peut se représenter la jeune femme avec la coiffe blanche de l’Île-de-france et le caraco bien ajusté. peut-être s'était-elle drapée dans une grande mante noire pour dissimuler un peu ses rondeurs ? car marie laguillon, qui avait épousé jacques giraud, était enceinte. pourquoi était-elle sortie de sa maison ce jour là ? sans doute pour assurer le ravitaillement de sa famille. ce n'était pas chose aisée en cette fin de saison, à cette époque incertaine où bien des usages avaient été bouleversés sans que l'on sache co...


3. Recherches généalogiques 🔎 La génération des parents de Jacques Bourlaud au XXe siècle

... a cette époque, la circulation dans une ville comme poitiers n'était pas telle qu'il eût fallu user de ces précautions. en réalité, il était occupé à résoudre un problème d'échecs - jeu où il était de première force - et il ne savait plus très bien où il devait se rendre. des mauvaises langues m'ont dit un jour que l'oncle camille avait bien su monter à cheval, mais qu'il ne parvenait pas à descendre de sa monture. comme il avait été mobilisé en qualité de sous-lieutenant d'artillerie, j'ai pensé qu'il s'était mis en selle le 2 août 1914 et n'avait remis pied à terre que le 11 novembre 1918; mais il parait que ce n'est pas vrai ... aussi loin que nous pouvons remonter dans le passé, nous constatons que notre famille, à quelques exceptions près, reste localisée dans le poitou. la dispersion commence avec la génération de mes parents. mon oncle camille bourdin est allé se fixer à tours. ma tante janne bourlaud, à la suite de son mari roger biard, a connu de fréquents changements de résidence avant de terminer sa vie en bretagne. le phénomène n'a fait que s'accentuer avec ma génération. du côté de mon père, nous étions huit cousins germains ; deux seulement sont demeurés dans la région. après une quinzaine d'années en afrique équatoriale, ma sœur aînée est revenue à coulombiers pour y mourir. et moi-même, c'est au bout de quarante ans d'errance que j'ai retrouvé le poitou. du côté de ma mère, la situation est comparable. si bien que je n'ai pratiquement rien à dire au sujet de mes cousins et cousines.peu de choses au sujet de ma sœur madeleine, ...


4. Recherches généalogiques 🔎 La famille de Germaine Girault

...recherches généalogiques 🔎 la famille de germaine girault mon mariage avec germaine girault me fit entrer, il y a quarante-cinq ans, dans une seconde famille avec ses traditions et ses légendes. si les girault sont de vieille souche poitevine, les couvrat-desvergnes - côté maternel - ont des origines assez disparates. a un noyau périgourdin, viennent s'adjoindre des éléments provenant de l'armagnac, du nord de la france et même d'irlande. chaque terroir apporte ses caractères spécifiques que des mariages entre cousins accentuent, formant ainsi quelques personnalités très affirmées. on retrouve ainsi chez nos enfants, à des degrés divers, à côté de l'obstination patiente et entêtée des baudets du poitou, le besoin d'activité des gens du nord, l'imagination et la prolixité languedocienne, le tout allié à un sens épicurien très périgourdin et à une irascibilité irlandaise. donc, émile girault, mon beau-père, était poitevin. sorti dans la grande botte de polytechnique, remarquablement intelligent et cultivé, il faisait preuve d'une grande bonté et d'une grande compréhension. sa mère était de bressuire - ou des environs -. élevée dans un milieu très attaché à la foi catholique où l'on rappelait l'existence de parents, pas tellement éloignés, qui avaient pris part aux guerres de vendée, du côté des blancs bien entendu. alors que le père d'émile était né dans un village situé entre saint-maixant et melle, en plein pays protestant. sa famille était, elle aussi, très attachée à sa foi et si quelques ancêtres avaient pris part aux guerres de vendée, c'était du côt&e...


5. Jacques Bourlaud 🩺 Jeunes années

...jacques bourlaud 🩺 jeunes années la rue de la tranchée est une des plus anciennes rues de poitiers. elle tire son nom de l’existence à l’époque gallo-romaine (et sans doute bien avant) d’un fossé creusé de main d’homme qui reliait la vallée de la boivre à celle du clain et complétait ainsi le système de défenses naturelles formé par la confluence de ces deux rivières qui ont entaillé profondément le plateau calcaire. bien sûr le tracé et l’aspect de cette rue a beaucoup évolué au cours du temps, mais son apparence actuelle date de la fin du xviii° siècle lorsque le comte de blossac, intendant du poitou, a fait aménager le parc qui porte son nom et surtout du xix°, correspondant à l’essor d‘une bourgeoisie active et aisée. les deux premiers tiers de la rue offrent une succession de maisons hautes et massives dont la façade austère laisse une impression de solidité et de respectabilité. aspect heureusement égayé par la présence de deux ou trois petits hôtels particuliers évoquant les fastes frivoles d’une époque sans souci (du moins pour certains). mais au delà de la grille de blossac la rue prend un autre visage. elle est en pente, nettement moins large, avec des trottoirs plus étroits, parfois même inexistants. les maisons sont beaucoup plus basses, plus vieilles et ne respectent pas toujours l’alignement. on voit un peu partout s’ouvrir des boutiques de petits commerçants ou des ateliers d’artisans. très net autrefois, le contraste entre les deux parties a tendance à s’estomper du fait de la création récente d’immeubles et aussi d’une certaine évolution sociale. mais dans mon enfance, l...