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1. Chroniques familiales 📖 Liste des 78 familles acadiennes installées à Belle-Île

...grave;re-aux-canards, fils de marie landry et frère de marie, marie-magdeleine, marie-josèphe et anne-gertrude son épouse marguerite granger, née la rivière-aux-canards, sœur de jean, pierre, anne, marie-josèphe, madeleine, françois. leur fils jean-baptiste. viennent de falmouth et de morlaix, installés à bortémont (bangor). famille 64 : marie landry, veuve de jean terriot, née pigiguit, mère de marie, marie-magdeleine, marie-josèphe, anne-gertrude et jean. ses enfants à charge : claude, marie-élisabeth, françoise. viennent de falmouth et morlaix, installés à bortémont (bangor). famille 65 : joseph babin, né saint-charles des mines, fils de margueritte dupuy, frère d’anne. son épouse marie leblanc, née la grand'prée. sœur de jean-baptiste. leurs enfants : joseph-nicaise, bonaventure, marie, victoire. venus de southampton et de saint-servan, installés à loqueltas (sauzon). famille 66 : margueritte dupuy, veuve claude babin, née aux mines, mère de joseph et anne. ses enfants : laurent et charles. venant de southampton et saint-servan, installés à kerlédan (sauzon). famille 67 : jean douaron, né pigiguit. frère d’alexis. son épouse anne thibaudeau née pigiguit. leurs enfants : jean-baptiste, pierre, anne-dorothée, marguerite josèphe. la famille est à saint-enogat (saint-malo) dès 1760, installés à borthéro (locmaria). famille 68 : alexis douaron, né pigiguit, frère de jean. veuf, sa 2ème épouse magdeleine-josèphe bourg. leurs enfants : grégoire et josaphat (qui ne sont jamais venus à belle-ile), jean-charles, magdeleine, marie-roze. ils viennent de saint-enogat (saint-malo), où il r...


2. Recherches généalogiques 🔎 La famille de Germaine Girault

...uvrat-desvergnes, issue de la petite noblesse rurale périgourdine, rappelle avec quelque fierté les liens qui la rattachent à certains personnage historiques. alain de solminihac, évêque de cahors sous le règne de louis xiii, béatifié il y a trois ou quatre ans. deux siècles plus tard, il y eut le maréchal bugeaud et plus près de nous, dans la branche irlandaise, mac swiney de clonar, héros et martyr de l'indépendance de son pays. seuls de ces trois hommes, bugeaud a laissé un souvenir personnalisé et encore ce n'est qu'un détail. tout le monde connaît la conquête de l'algérie, le soldat-laboureur et sa casquette. l'histoire parle abondamment de ses relations équivoques avec la duchesse de berry et de la façon musclée dont il a calmée l'agitation parisienne. ce qu'on sait moins c'est qu'il a remporté dans les alpes une victoire sur une armée austro-sarde une dizaine de jours après la défaite de waterloo dont il venait juste d'apprendre la nouvelle et aussi qu'il fut le seul, en février 1848, à quitter les tuileries avec dignité traversant à cheval, au pas et en grand uniforme la foule des insurgés qui se sont rangés pour le laisser passer en dépit de la mauvaise réputation qu'il pouvait avoir auprès d'eux. mais ce que les couvrat-desvergnes savent, car ils le tiennent de leur trisaïeule philis bugeaud est l'incident suivant : philis avait élevé son frère thomas lorsque leurs parents avaient été emprisonnés sous la terreur et après la mort de ceux-ci. or, un jour, revenant de la campagne d'espagne, thomas dînait à la table de sa sœur aînée. peut-être avait-il trop fréquenté son collègue cambronne ? toujours est-...


3. Jacques Bourlaud 🩺 Prépa à Rochefort

...musique. la république s’offrait l’artère la plus animée (si l’on peut ainsi s’exprimer). des gloires militaires et monsieur thiers s’en partageaient d’autres, ainsi que les enfants prodiges de rochefort : pierre loti et quelques médecins de marine d’autrefois tels que cochon-duvivier et un autre cochon dont j’ai oublié la deuxième partie du double patronyme. (1) autour de la ville de colbert s’étalaient des quartiers neufs avec des maisons basses sans grand cachet, comme on en voit sur les côtes charentaises ou vendéennes. ainsi, dans ce décor morose, nous étions une centaine d’étudiants en première année de médecine et une dizaine de stagiaires en pharmacie. la plupart d’entre nous habitait des chambres meublées louées dans des maisons plus ou moins bourgeoises. mais d’autres fréquentaient d’honorables pensions de famille où l’on gardait avec une pieuse fierté le souvenir des anciens pensionnaires devenus navalais comme autant de victoires brodées sur un drapeau. héritière de la plus ancienne école de médecine navale, l’École annexe de rochefort nous accueillait dans une ambiance quasi-militaire sans toutefois étouffer en nous les manifestations de l’esprit carabin. chaque matin à huit heures, groupés au pied d’un perron, nous voyions surgir des profondeurs d’un édifice « grand siècle », élégant officier de marine, le médecin-résident de l’hôpital accompagné d’un premier-maître. celui-ci faisait l’appel et nous nous dispersions pour nous rendre dans les services où se déroulaient les stages hospitaliers. comme nous n’étions pas très nombreux et qu’il y avait suffisamment de malades le stage de médecine nous a été profitable . d’autant plus que le chef de service, qui nous enseignait par ailleurs la physiologie et la semeïologie, ne manquait jamais une occasion de nous poser des questions indiscrètes sur son cours que nous avions intérêt à connaître parfaitemen...


4. Daniel Chauvigné ⌘ Aux origines de la famille

...-sur-glanne ! heureusement pour nous, ces allemands n'étaient pas des ss et ils ont continué leur chemin vers poitiers dès la fin de l'embuscade. quelques jours plus tard, voyant arriver des camions avec à leur bord des militaires habillés en bleu foncé et la tête coiffée d'un béret, nous avons cru que c'étaient les libérateurs et nous nous sommes précipités pour mettre aux fenêtres du grenier les drapeaux alliés que nous avions fabriqué avec grand mère et tante malou. hélas, ces soldats étaient des miliciens français à la solde des allemands et ils ont tiré sur les maisons pavoisées, tout en continuant leur fuite vers l'est. par miracle personne n'a été touché et nous n'avons ressorti nos drapeaux qu'une fois la libération officielle du poitou. le 8 mai 1945 - date inoubliable pour tous ceux de ma génération - un camarade externe, a montré à travers les carreaux de notre classe, un journal dont toute la première page était couverte par le mot " victoire ". la nouvelle s'est propagée rapidement. ce fut du délire; élèves et professeurs ont hurlé de joie ! le soir certains camarades ont pris d'assaut le lycée de jeunes filles et ont enfermé leurs surveillantes dans un placard ! des bals populaires ont eu lieu dans les rues et sur la place d'armes et de nombreux poitevins ont dansé toute la nuit. neuf mois plus tard, nous attendions avec impatience, le retour de nos parents en métropole, lorsqu'un télégramme apprit à notre grand-mère le décès de notre père. celle-ci, avec beaucoup de tact et de gentillesse nous annonça la triste nouvelle. la mort subite de mon père a été pour moi un déchirement qui m'a tenu frustré jusqu'à l'arrivée de ma mère et de mes deux petits frères de sept ans et de huit mois, qui étaient nés pendant notre séparation. claude avait 17 ans et moi 15 ans 1/2. après neuf mois de repos en france, ma mère a décidé de repartir en afrique avec ses quatre garçons, malgré la réproba...


5. Daniel Chauvigné ⌘ Septième métier : militaire de carrière

...mon premier dépannage, mon équipe a été chercher trois véhicules qui ont été incendiés à 20 kilomètres de la ville, après être tombés dans une embuscade. presque tous les militaires de ce petit convoi ont été tués et les blessés ont été atrocement achevés par les rebelles. seul un adjudant-chef, blessé au bras, a réussi à échapper au massacre et est parvenu à doukahras où il a donné l'alarme. lorsque nous sommes arrivés près des véhicules, qui fumaient encore, les ambulanciers ramassaient les morts, affreusement mutilés et égorgés par les fellaghas. c'était horrible à voir et par-dessus la nausée que nous ressentons un sentiment de vengeance aveugle prit tous ceux qui étaient présents. c'est à la vue de telles atrocités que naissent les représailles, les prises d'otages et les tortures ! trois fléaux qui transforme la guerre en tuerie aveugle et l'homme en bête immonde !... le 11 novembre 1955, vers 21 heures, alors que nous fêtons la victoire de la grande guerre, nous avons été attaqués par un groupe de rebelles qui s'est infiltré par l'oued, partiellement asséché. les sentinelles ne se sont pas laissé surprendre et dès les premiers coups de feu, toute la section s'est précipité sur les emplacements de défense. le groupe d'intervention du 153° r.i.m. est rapidement, venu nous prêter main forte et leur radio nous annonça qu'il venait de recevoir un appel des gendarmes mobiles stationnés en contrebas à 500 mètres de nous. ils étaient sous le feu d'une arme automatique, qui tirait de notre bordj. pensant qu'un fellagha avait réussi à percer notre défense, je me suis précipité avec 2 hommes de troupe, vers le lieu désigné, pour trouver une de nos sentinelles, prise d'une crise de démence, qui tirait n'importe où avec son fusil-mitrailleur... il fallu employer la force pour désarmer le forcené, le ligoter et l'emmener à l'infirmerie. la pente boisée, qui descend sur l'oued, offre une certain...