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Vous recherchiez le terme suivant :tranchée


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1. Recherches généalogiques 🔎 La branche Bourlaud au XIXe siècle

... même du gigot de terre neuve ... plus tard, nous avons fréquemment pensé à elle lorsque, sous l'occupation, nous étions contraints à de longues stations avant de pouvoir acheter quelques rutabagas sans ticket. elle nous disait aussi, qu'en compagnie de sa grand-mère, elle avait été un jour interpellée par des communards. nous la taquinions gentiment en critiquant ses petits travers avec une joyeuse exagération. ainsi prétendions-nous qu'elle nous donnait l'exemple d'un orgueil inqualifiable lorsqu'elle parlait avec fierté - et à juste titre d'ailleurs - de son cousin potier devenu premier président de la cour d'appel de paris ou encore du petit garçon voisin qui avait partagé les jeux de son enfance et qui avait terminé sa carrière comme amiral. de même, lorsque le professeur camille guerin était venu faire une conférence dans sa ville natale, elle n'avait pas manqué d'y assisté et lui a rappelé que la famille guerin habitait la rue de la tranchée juste en face de la maison des bourlaud. ma grand-mère éprouvait une profonde admiration pour les grands hommes, souverains ou chef d'états. elleprécisait que le président sadi carnot s'était découvert devant elle ... celui-ci était venu à poitiers aux alentours de 1890 et un certain nombre de gens de sa suite avaient été logés "chez l'habitant". c'est ainsi que la famille bourlaud avait hébergé un commandant pendant quelques jours. comme le cortège présidentiel déambulait dans les rues de la ville, marie bouchet, utilisant son instinct de parisienne et favorisée par sa petite taille, réussit à se faufiler au premier rang de la foule poussant devant elle son petit garçon, mon père. le commandant passait à cheval, précédant la calèche du président. il reconnût son hôtesse et la salua en abaissant son sabre dans la direction de celle-ci. c'était sans doute un signal convenu pour que le président puisse donner à la population l'impressi...


2. Jacques Bourlaud 🩺 Sur le chemin des écoliers

...ement si la déclaration des droits de l'homme expose largement ceux-ci, elle demeure assez pudique au sujet des devoirs qui en découlent. il a donc bien fallu que la famille s'empresse de me les rappeler, ces devoirs. d'abord courir dans la rue n'était vraiment pas apprécié. si on courait, on s'échauffait et on transpirait ; ensuite on subissait un refroidissement brutal et c'était la porte ouverte à toutes les maladies...on me citait l'histoire de mon frère louis qui était revenu du lycée en courant et en transpirant si abondamment que l'on disait qu'il était «en nage». en rentrant il s'était précipité sur un grand verre d'eau froide... résultat : une «fluxion de poitrine»... et puis, si on court, on n'a pas le temps de faire attention à son chemin ; on peut tomber mais surtout bousculer des passants ou encore descendre du trottoir sans regarder derrière soi et se faire accrocher par une bicyclette ou une auto.enfin, ne pas oublier que j'habitais «rue de la tranchée» et ne pas vouloir imiter les garnements de «la tranchée» qui, eux, ne se gênaient pas pour courir... (il me paraît utile d'expliquer qu'en ces temps où subsistaient encore quelques vestiges de l'esprit du xixe siècle, les «bourgeois» qui habitaient avant la grille d'entrée latérale du parc de blossac estimaient qu'ils étaient «rue de la tranchée», alors que les derniers numéros de la rue où s'entassaient des familles plus modestes étaient désignés sous la dénomination de «la tranchée». dans les années quatre-vingts, deux de mes enfants ont loué un appartement très agréable dans «la tranchée» ; c'était, heureusement, après la mort de leur grand-mère...). la course était tolérée sur de courtes distances pour rattraper un camarade ou si on avait peur d'être en retard. mais cette dernière éventualité n'avait aucune raison d'être puisque l'on me laissait sortir de la maison suffisamment tôt pour ne pas avoir à me presser.deuxième recomman...


3. Daniel Chauvigné ⌘ Aux origines de la famille

...iers, comme pensionnaire. tous les lundis matin, à six heures et demie nous prenons la micheline en gare de coulombiers, après avoir emprunté le raccourci, qui par une sente herbeuse serpente le long du ruisseau pour rejoindre la voie ferrée. le jeudi, nous allons chez une tante à poitiers et le samedi nous revenons dans notre petit bourg pour y passer le week-end. le lycée fut pour moi un dur apprentissage de la vie, la discipline y était très stricte et les chahuts et mauvaises notes donnaient lieu à des retenues le jeudi ou le dimanche. mon tempérament espiègle fit que pendant quatre ans, j'ai passé plus souvent ces congés hebdomadaires au bahut qu'en famille! comble de malchance, pendant les grandes vacances, la première année, je me suis coupé profondément l'index de la main gauche avec une hachette, ce qui m'a valu plusieurs points de suture et une immobilisation du bras pendant un mois. l'année suivante, je me suis blessé avec un couteau dont la lame m'a tranchée l'artère fémorale au dessus du genou. craignant me faire gronder, je me suis dirigé vers la maison, lentement en réfléchissant à ce que j'allais raconter, sans me soucier des saccades de sang qui giclaient de la blessure... - "grand-mère je me suis coupé au genou, criai-je du perron !" - "je suis dans la cuisine, viens me faire voir ce bobo" me répondit-elle. - "mais je saigne beaucoup, je vais faire des tâches partout !" alors, mon aïeule accourut, m'a fait un garrot et téléphoné au médecin. celui-ci, en tournée chez des malades, n'est arrivé qu'une heure et demie plus tard. pendant ce temps, avec une douceur infinie ma grand-mère a tenu un doigt sur ma plaie pour l'empêcher de saigner, car elle n'avait pas eu assez de force pour serrer suffisamment le garrot. après deux sutures à vif et la pose d'une attelle, je dus garder le lit pendant trois semaines. pour me consoler, jean m'a construit une petite charrette en bois et un licol de cuir pour atteler ma...


4. À la guerre ⚔️ 1914 Campagne d'Albert Delaruelle

...À la guerre ⚔️ 1914 campagne d'albert delaruelle albert delaruelle est né le 8 avril 1876 à villers-saint-frambourg, près de senlis. il est devenu paveur et tailleur de pierres à fontainebleau où il décède le 22 mars 1922. il s'est marié deux fois, d'abord avec sa cousine germaine virginie derougemont qui décédera en 1909, alors que la plus jeune de leurs 3 filles n'a que 3 ans. il se remarie avec elise leimbacher, une suisse germanophone, qui va souffrir d'une ostracisation anti-boche pendant la première guerre mondiale. appelé sous les drapeaux le 7 août 1914, albert fera campagne au 34e régiment territorial d'infanterie (de fontainebleau) du 10 août 1914 au 23 avril 1916. il semble que son décès en 1922 soit lié au gazage dans les tranchées. note : le document de cette page est au format pdf. selon votre équipement informatique, il pourra être lu intégré dans la page du site, dans un onglet séparé du navigateur, ouvert dans le lecteur de pdf local ou téléchargé. ...


5. Nos métiers 🛠 Des métiers de Bourlaud

...nos métiers 🛠 des métiers de bourlaud selon une compilation réalisée par louis bourlaud jacques giraud (né en 1764) architecte à paris joseph bartinet entrepreneur en menuiserie à paris, compagnon du tour de france pierre capillon (né en 1774) journalier à cloué (vienne) charles capillon (né en 1806) boulanger à coulombiers (vienne) charles capillon (né en 1830) représentant en produits pharmaceutiques pierre rousseliève poelier louis ferron (né en 1717) maître cordonnier à sanxay (vienne) jacques ferron (né en 1686) maître cordonnier à sanxay (vienne) jacques ferron (né en 1757) cordonnier à sanxay (vienne) auguste ferron (né en 1829) chaudronnier, ancien militaire, garde champêtre à berruges (vienne) jean fleury (né en 1764) charpentier à lusignan (vienne) jean fleury (né en 1800) delavault marchand drapier à lusignan (vienne) alphonse jean fleury (né en 1830) coutelier à niort, puis négociant en engrais marin girard cordonnier à sanxay (vienne ) en 1662 jacques rivault (né en 1770) cultivateur à cloué (vienne) jacques fauchereau (né en 1767) saunier rené bourdin jardinier à poitiers (vienne) philippe breneau (né en 1817) entrepreneur en maçonnerie et chemin de fer jean bourdin « le jeune ».( né en 1792) jardinier jean bourdin « le gentil » (né en 1814) jardinier, négociant en engrais, conseiller municipal à poitiers alfred bourdin (né en 1841) négociant en engrais philippe delavault marchand drapier à lusignan (vienne) françois bourlaud (né en 1768) maçon à moulin-garnier (vienne) françois bourlaud (né en 1797) entrepreneur en maçonnerie à marçay (vienne) françois bourlaud (né en 1830) entrepreneur en bâtiment à poitiers (a construit la maison familiale de la rue de la tranchée), président du conseil des prud’hommes de poitiers françois-charles bourlaud (né en 1881) rentier gabr...