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6. Mahlon ✍ L'émigration de Pascal par Mahlon Lucas Henderson

...it la direction de la ferme de son beau-père, au nord de grafton, où sa fille mrs mary lucas warder est née et vit encore en 1970. jean (john) s’établit comme boucher à grafton. il fut marié trois fois, mais tous ses descendants qui survivent sont nés de son union avec mary ann howell. anna marie (aunt hannah) épousa julius eliot et s’installa dans une ferme attenante, au nord des terres de pascal, de l’autre côté de la montagne. émile dirigea une scierie pendant quelques années, et finalement alla habiter en illinois, où il retourna à l’agriculture. marie anne épousa isaac poe et habita d’abord « hill house », sur la montagne, auprès de « wildcat ». plus tard, ils déménagèrent à east end, grafton et vers 1889 partirent au colorado. albert fut d’abord apprenti pâtissier chez alfred soyer, gendre de son oncle augustin, et travailla quelques années dans cette profession, avant de rentrer à la maison et devenir mécanicien sur les chemins de fer. louise ne se maria pas et resta au foyer familial. peu après 1880, pascal quitta la ferme et s’installa à grafron, où louisa ouvrit une pension de famille dans latrobe street en 1882. son père, sa mère et tante isabelle habitèrent là également. en octobre 1890, émile et sa famille firent le grand voyage d’illinois à grafton avec deux voitures, six chevaux et un grand chien danois. ils restèrent jusqu’en janvier 1891. pendant cette visite, toute la famille se trouva réunie à la pension de louisa. une photographie du groupe a été conservée et il est possible d’identifier tous les présents. pascal mourut en 1892 et marie-louise mena une vie active jusqu’en 1904...


7. Mahlon ✍ Les lettres à Belle-Île

...mahlon ✍ les lettres à belle-Île les cinq lettres diffèrent par l'orthographe, le style et la calligraphie. la première, non datée mais sûrement écrite en 865, porte le nom de pascal lucas, mais fut probablement écrite par dolorès soyer, la nièce de marie-louise, qui était en visite chez eux à l'époque. les lettres de 1868 et 1888 furent écrites et signées par françois lucas. celle de 1871 présente une page écrite et signée par françois, et pour le reste, l'écriture est toujours celle de françois, mais avec une signature de pascal lucas. toutefois, le style diffère de toutes les autres, il y eut sans doute une autre influence. la lettre de 1878 est d'une main différente, qui pourrait bien être celle de mathilde soyer, avec la signature de pascal à la fin. il est évident que d'après les lettres de 1865 et 1868 pascal avait peu de facilités à écrire en français et dépendait des autres pour la communication. ce que confirme sa signature sur les actes de naissance de ses enfants, tels qu'enregistrés à la mairie de bangor, à belle-isle, c'est celle d'une personne peu habituée à écrire. même si les détails contenus dans les lettres n'ont que peu d'importance à l'heure actuelle, ils éclairent la vie de la famille à cette époque. ndlr : victor est en fait le beau-frère de pascal, c'est le frère de marie-louise. indépendance, le 15 septembre 1865 mon cher frère, tu verras par cette lettre que dolorès est avec nous. elle est venue nous surprendre il y aura lundi 15 jours. ell est ici avec ses enfants. son mari est venu l'accompagner, mais ne pouvait à cause de son commerce rester plus d'une semaine. il est reparti. ils se portent bien excepté dolorès qui a été un peu malade, à son arrivée par la fatigue du voyage. excuse, je t'en prie, victor, notre négligence qui n'est pas volontaire. nous ne pouvons t'écrire nous-mêmes et nos enfants demeurent à une distance de chez nous, telle que n'étant pas précisément lo...


8. Mahlon ✍ Augustin

...mahlon ✍ augustin bien qu'augustin-marie lucas ne s'inscrive pas dans la lignée généalogique des descendants de pascal et marie louise lucas, les fils de son histoire sont étroitement liés à ceux de la famille de pascal. il semble opportun et intéressant de suivre son histoire bigarrée, à partir de sources diverses. le premier témoignage, le plus personnel, dont nous disposons est l'autobiographie de sa petite-fille, Évangeline soyer, écrite le 29 mai 1941. cependant, son nom est récurrent dans d'autres récits, au point que l'on s'est d'abord demandé si c'était celui d'un seul homme ou de plusieurs. quand les pièces du puzzle furent ordonnées, on obtint le tableau d'un homme aux activités innombrables, qui n'avait pas eu le temps de s'ennuyer beaucoup dans la vie.augustin-marie lucas est né à bangor, ou plus probablement au village de kernest, à belle-isle-en-mer le 6 mars 1804. il est l'aîné des huit enfants de jean-marie lucas et de marie anne séveno. et est donc le frère aîné de marie-louise lucas. il a été scolarisé à bangor. a l'époque, il y avait une activité maritime florissante à belle-isle et une vie de marin était naturelle pour un fils de l'île. c'est ainsi qu'à 18 ans, il prend la mer, d'abord comme matelot, puis comme marin-pêcheur, mais très vite, il s'engage dans le service en haute mer et effectue trois voyages entre 1824 et 1826. en 1826, il est nommé lieutenant et second capitaine pour un voyage à la guadeloupe, à la martinique et à la réunion. après des cours de navigation à rordeaux et à l'École d'hydrographie de rochefort, il obtient son brevet de capitaine en 1831 et celui de capitaine au long cours le 2 juin 1832. le même jour, son frère cadet, françois lucas, obtient lui aussi son brevet de capitaine au long cours.entre temps, augustin avait épousé Élisabeth zoe bellais, fille d'un aubergiste de rochefort. la date du mariage est donnée pour 1830 par mlle soyer, et pour le 2 septembr...


9. Mathilde Lucas 🌅 L'histoire de Mathilde

...à son retour en france en 1848. on sait que zoé et ses deux filles font un séjour aux îles gambier dans le courant de 1843. tahiti était alors le refuge de tous les français chassés de nouvelle-zélande par la prise de possession britannique en février 1840. emmanuel me raconte donc que mathilde a eu une fille, camille née le 23 mai 1848 à faaa, tahiti, avec tefatua tura tefatua. ce qui n'est pas impossible, puisque mathilde a séjourné à tahiti entre 1841 et 1848. emmanuel pensait que mathilde était restée auprès de sa fille. mais j'ai trouvé une trace d'elle en mai 1851, lorsqu'elle émigre aux États-unis avec ses parents et sa sœur. mathilde a 18 ans. la trace suivante de mathilde est un recensement de 1860 à cincinnati. mathilde y vit seule avec sa mère zoé qui est couturière. son père est mort en 1857 (selon la déclaration de zoé quand elle se remarie en 1868.) dolorès s'est mariée à cincinnati en 1858. mathilde a 27 ans. dolorès et son mari alfred soyer quittent cincinnati au moment de la guerre de sécession vers 1861 et s'installent à toronto. c'est là que meurt dolorès en 1868. elle aura eu 4 enfants, un garçon mort jeune et 3 filles. dans ses mémoires, Évangeline raconte que son père a épousé sa tante en 1877 (44 ans). en fait, ils se sont mariés à parkersburg le 3 avril 1877.mais mathilde fait déjà partie de la maisonnée d'alfred soyer en 1871 (38 ans) au recensement de toronto, lors d'une traversée vers la france le 7 octobre 1771 et une autre traversée vers l'amérique le 23 septembre 1875 (42 ans). Évangeline raconte que sa tante et belle-mère est morte en 1923 (90 ans) et son père alfred soyer à 100 ans en 1928.une petite exploration du site find a grave m'a fait trouver la plaque de sa tombe qui indique qu'elle est morte à parkersburg le 24 septembre 1923. et qu'elle repose au cimetière de parkersburg memorial gardens, où se trouvent aussi son mari alfred et ses nièces adrienne et Évangeline.emma...