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1. Jean-Marie et Pascaline Samzun ⎈ Les Bellilois

...jean-marie et pascaline samzun ⎈ les bellilois nos arrière-grands-parents sont nés à belle-Île-en-mer. ils y ont grandi, s'y sont mariés. leurs quatre filles y sont nées. mais ils ont préféré s'installer sur le continent pour leur assurer des études plus poussées. elles ont toutes quatre été diplômées, deux d'entre elles sont devenues sage-femmes, une autre institutrice. ce qui n'était pas très répandu à l'aube du xxe siècle, surtout pour des filles de marin. pascaline joséphine lucie hélène lucas est née le 31 mars 1866 au bourg de sauzon, que l'on appelait à l'époque port-philippe. ses parents augustin bruno lucas et anne marie granger (photo ci-contre) sont l'un et l'autre cultivateurs et tous deux aussi descendants des acadiens qui vinrent s'installer sur l'île en 1765 : 5 générations en arrière, on trouve des deux côtés charles granger (de port-royal) et françoise leblanc (de grand-pré) qui habitaient l'acadie, avant que les anglais ne les déportent. tous les autres ascendants de pascaline sont bellilois, aussi loin que l'on puisse remonter, parfois sur 7 ou 8 générations.   toussaint jean-marie samzun est un îlien pur jus ou quasi. aucun américain parmi ses ancêtres, peut-être la trace d'une bretonne continentale, en cherchant loin ... toussaint est né le 16 juillet 1862 à bortifaouen, commune de port-philippe. ses parents, charles marie samzun et jeanne marie lucas sont cultivateur et cultivatrice selon la déclaration de naissance.   pascaline et jean-marie se marient le 29 mai 1888 à sauzon. ils vont avoir 4 filles, en 1889, 1894, 1895 et 1897, toutes nées à sauzon. lors de la naissance de joséphine marie, le 20 mars 1889, le père est absent. selon l'acte, il est marin et son épouse ménagère. ils habitent au bourg de sauzon. a la naissance de notre grand-mère anna le 27 juillet 1894, c'est jean-marie, toujours marin qui fait la déclaration. la mère est indiquée sans profession. les témoins sont l'...


2. Jean-Marie et Pascaline Samzun ⎈ Le passage sur le continent

...jean-marie et pascaline samzun ⎈ le passage sur le continent on nous a raconté que l'éducation des filles était le motif du départ de la famille pour le continent. a nantes, ou peut-être saint-nazaire, jean-marie devient pilote sur la loire. peut-être lorient ensuite ? aujourd'hui, nous savons seulement qu'ils ont aussi habité lorient, au 51 de la rue amiral courbet. ils y sont morts tous deux, lui le 18 octobre 1931, elle le 30 novembre 1935, selon les archives de lorient. sur les actes de décès, il est indiqué qu'il était pilote en retraite, et elle, sans profession. ils sont enterrés au cimetière de carnel. ...


3. Amérique 🗽 Les cousins d'Amérique

...amérique 🗽 les cousins d'amérique en remontant l'arbre généalogique de notre grand-mère belliloise anna samzun, on rencontre à deux époques des américains. deux dates, deux branches : les granger et 1765, les lucas et 1854. 1765, c'est l'arrivée à belle-ile-en-mer de 78 familles acadiennes, déportées par les anglais lors du grand dérangement. les noms granger, leblanc, theriot, landry, trahan, gaudet ... sont présents dans bien des généalogies belliloises. mes 40 ans de recherches ont été facilitées par deux sources généalogiques abondamment commentées et exploitées : les recensements acadiens et les déclarations de belle-ile. 1854, c'est l'émigration vers la virginie occidentale des lucas qui échangèrent pendant 2 décennies des nouvelles avec la famille restée à belle-ile-en-mer. on a retrouvé quelques lettres de cette époque et l'un de nos cousins d'amérique, mahlon lucas henderson a publié en 1986 une histoire de cette famille bretonne en amérique qui a reconstitué après un siècle des liens par delà l'atlantique. ce sont ces deux rameaux d'acadie et de virginie, que je présenterai sous ce chap...


4. Louis Auguste À l'origine de la quête

... cousins d’amérique contemporains. et ils les a retrouvés après plus de 100 ans de séparation.mais ce n’était pas tout. en déroulant les fils de la généalogie belliloise, entre 1950 et 1970, à une époque où ce n’était pas encore la mode, eugène avait exposé la descendance belliloise des colons acadiens déportés en 1755. ce devenait passionnant, romantique parce que tragique. et nous pouvions remonter encore jusqu’aux pionniers du nouveau monde.nous avions des dates, nous avions des noms, nous avions des histoires et de l’histoire. avec gildas, il ne nous restait plus qu’à raconter. et à colmater les brèches.mais ça, c’est une histoire de bretagne, c’était juste pour expliquer comment lui et moi sommes impliqués dans la généalogie, comment nous avons travaillé ensemble (mais à distance) pendant toutes ces années. pour revenir à la généalogie normande, notre grand-père georges cadel le normand a rencontré la bretonne de belle-Île, anna samzun, à lorient après guerre, la grande guerre s'entend. c’était elle, la descendante des acadiens.notre grand-père georges est né en algérie, en 1893. son père louis-auguste y était fonctionnaire, militaire depuis 1891 : il était chef guetteur instructeur dans les sémaphoristes. sa pension lui est accordée par décret du 1er février 1913, à la veille de ses 50 ans. jouissance de la pension au 25 octobre 1912, après 39 ans 1 mois 24 jours de service. c'est l'histoire de louis-auguste que je vais raconter.en 2005, nous en savions bien peu encore, quand gil...


5. Conteur de la tribu 🗺 Généa50

...éposé. mais ce n’était pas tout. en déroulant les fils de la généalogie belliloise, entre 1950 et 1970, à une époque où l’acadie n’était pas encore un atout marketing pour le tourisme de l’île, eugène avait exposé la descendance belliloise des colons acadiens déportés en 1755. ce devenait passionnant, romantique parce que tragique. et nous pouvions remonter encore dans l'arbre, jusqu’aux pionniers du nouveau monde.nous avions des dates, nous avions des noms, nous avions des histoires et de l’histoire. avec gildas, il ne nous restait plus qu’à raconter. je sais bien que ça, c’est une histoire de bretagne, c’était juste pour expliquer comment lui et moi nous nous sommes impliqués dans la généalogie, comment nous sommes tombés dedans, comment nous avons travaillé ensemble (mais à distance) pendant des années. pour revenir à la généalogie normande, notre grand-père georges cadel le normand avait rencontré la bretonne de belle-Île, anna samzun, à lorient en 1919. c’était elle, la descendante des acadiens. mais bien que je vous sente passionnés, si si si, je ne vais pas vous assommer avec un énième arbre des familles. par contre, je pourrais vous conter une kyrielle de rencontres avec mes aïeux, ou parfois leurs collatéraux, j’ai dans mon sac de marin des tas d’histoires de la mer. avec des normands, et des bretons, et des acadiens. et des bateaux. les coureurs des mers il y a d’abord eu grand-tonton augustin lucas, le capitaine au long cours, un frère de mon aïeul, né à belle-Île en 1804. (voir une courte biographie en annexe)puis le jeune frère de mon arrière-grand-mère, Émile pilard, né en mer, mort en mer (comme dans la chanson d’alan stivell).leur père aurèle pilard, maître voilier, qui participa à l’ère meiji à la modernisation du japon. il y fut envoyé par la france pour contribuer à la création d’une marine de guerre. il y est mort.encore un grand-tonton, frère de mon a...