Recherche



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :raymond


Page 1 - 5 sur un total de 10 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


1. Chroniques familiales 📖 Liste des 78 familles acadiennes installées à Belle-Île

...er. venant de falmouth et de morlaix, installés à bortémont (bangor). famille 9 : pierre granger, né la rivière-aux-canards, frère de jean, anne, marie-josèphe, marguerite et d'orphelins à charge madeleine, françois et françoise. son épouse marie thibaudault, née la rivière-aux-canards, sœur d’anne et d’élisabeth, orphelines à charge. ils ont également à charge françois granger. venant de falmouth et morlaix, installés à bortémont (bangor). famille 10 : laurent granger, né la rivière-aux-canards. son épouse marie terriot, fille de marie landry, sœur de marie-madeleine, marie-josèphe, anne gertrude et jean. sans enfant. venant de falmouth et morlaix, installés à lanno (sauzon). famille 11 : honoré leblanc, né pigiguit, veuf, père de charles, raymond, agathe. frère de marguerite, françoise, charles et simon. ses enfants paul et joseph. venant de liverpool et morlaix, installés à bordustard (le palais). famille 12 : charles leblanc, né pigiguit, fils d’honoré, frère de raymond, de paul et joseph. son épouse anne landry née la rivière-aux-canards. leurs enfants : claude-marie et marie. venant de liverpool et morlaix, installés à bordrouant (bangor). famille 13 : raymond leblanc, né pigiguit, d’honoré, frère de charles, de paul et joseph. son épouse marie terriot, née la rivière-aux-canards. venant de liverpool et morlaix, installés à bordustard (le palais). famille 14 : charles leblanc, né la grand'prée, frère de marguerite, simon, d’honoré, de françoise, père de marie-blanche, de marguerite. son épouse él...


2. Chroniques familiales 📖 L'origine des métis au Québec

...tait inversement proportionnelle au mépris qu'il ressentaient à l'égard des naturels du pays. "les contours plutôt racistes de l'histoire du canada seront accentués par ses successeurs et les principaux éléments de son récit seront repris dans les années suivantes. c'est un modèle qui sera bon pour un siècle environ. on insistera sur l'héroïsme des français, les vices des indiens païens, la menace des iroquois et la puissance "rédemptrice" de l'église catholique. "les historiens canadiens-français vont désormais suivre cette voie d'interprétation. garneau faisait l'éloge de tous les indiens alliés de la france. mais, à l'avenir, seuls les alliés, catholiques, auront droit à des éloges. (parmi ces alliés, les abénakis et les hurons). "l'histoire romantique et émouvante de l'abbé henri-raymond cagrain (1831-1904), qui était très populaire auprès du public de cette époque, aura aussi une grande influence. ses écrits ont contribué à répandre l'image du "sauvage" au québec. comme beaucoup de ses contemporains, il croyait en l'infériorité des amérindiens qui, selon lui, sont en plus féroces et paresseux. "selon l'abbé casgrain, dieu avait décimé les tribus indiennes pour les punir des traitements barbares qu'elles avaient infligés aux missionnaires et aux colons (1861). "dans le dernier tiers du 19e siècle, c'était à qui donnerait la meilleure description, la plus horrible, des tortures indiennes. "l'historien benjamin sulte, qui écrit au début des années 1880, dira : "chacun de nous compte un ancêtre enlevé, brûlé, mangé par les iroquois" [pourtant cet historien est considé...


3. Recherches généalogiques 🔎 La génération des parents de Jacques Bourlaud au XXe siècle

...nt de générosité, et tant de gentillesse, elle s'est levée pour embrasser ma soeur au moment précis où madame dreyfus faisait son entrée dans la pièce ... germaine s'est retirée discrètement en avouant qu'elle avait eu aussi un zéro en mathématique. - "ça, ce n'est pas bien !.."quelques mois plus tard, madame dreyfus et elle se sont réconciliées dans les allées du parc de blossac, chacune poussant devant elle un landau. madame dreyfus promenait son fils et germaine son jeune frère, votre serviteur.petite et décidée, germaine n'avait peur de rien. un jour, dans une rue de poitiers, elle marchait derrière un groupe où un bellâtre pérorait au milieu de deux ou trois femmes élégantes. elle reconnu un certain michel qui, quelques années plus tôt, avait assez laidement laissé tomber notre cousine raymonde biard avec qui il était presque fiancé. "oui, disait michel avec emphase, j'ai connu moi aussi une amourette ...". germaine a foncé, écartant les femmes elle a traversé le groupe en criant suffisamment fort pour être entendue de tous "goujat !" à l'oreille du beau michel tout abasourdi. bien que le moi soit haïssable, je terminerai sur deux mots qui m'ont été attribués et que j'ai entendu bien souvent répéter.ma cousine jeanne bourlaud, fille de georges et de rose bourdin, attendait un bébé et m'a posé cette question : - "serais-tu content de jouer avec un petit cousin ?" - "je préfèrerai un cheval ..."lorsque je fus admis à rendre visite au nouveau né, il y avait un cheval à roulettes près du berceau.a peu près à la même époque, une autre cousine à cherché à s'enquérir de mes d...


4. Amérique 🗽 Quand l'Amérique était Française

...té par des barbares, des ours et des castors», selon la formule de voltaire. et le premier consul, tout attaché à son rêve d'unité européenne, brade, dans l'indifférence, quarante ans plus tard, l'immense louisiane à la jeune république américaine. longtemps oubliée, la forteresse de louisbourg (île du cap-breton), le gibraltar de l'amérique du nord, fondée en 1713 par les français et conquise par les anglais en 1758, n'est restaurée, en 1928, qu'à l'initiative d'une riche américaine de boston. en 2004, la france bâtit à brouage (charente-maritime), patrie de champlain, un musée et un centre de documentation. la république a versé son écot pour la numérisation des a...


5. Europe🗼 Coulombiers selon Jacques

...és à coulombiers. je ne sais pas trop ce qui s’est passé autrefois mais je vais citer ceux auxquels j’ai pris part.d’abord des mariages.notre sœur aînée, germaine bourlaud a épousé serge chauvigne durant l’été 1928. mariage civil à poitiers et mariage religieux le lendemain à coulombiers. nous avons défilé sur la route nationale, suivant germaine au bras de son père pour nous rendre à l’église où le vieux curé, aristide bacque, les a reçus. retour à la maison au bras de son mari . nous avons été photographiés devant la maison et nous nous sommes réunis sous un «parquet» pour déjeuner . on a dansé jusqu’à une heure très avancée dans la nuit mais je me suis endormi bien avant.le mariage de notre seconde sœur, madeleine, avec raymond margnac a été beaucoup moins spectaculaire. c’était en 1941 en pleine occupation. peu de parents ont pu être présents. moi-même, étant alors à l’ecole de santé navale repliée à montpellier en zone dite libre, je n’ai pas pu venir mais j’ai été représenté par une certaine germaine girault qui, ayant été invitée, a pu faire la connaissance de la famille et recevoir sa bague de fiançailles. autres mariages dans les mêmes conditions que celui de germaine en 1978, en 2000, en 2004.en 1927 nos parents ont fêté leurs noces d’argent. j ’avais sept ans et en les voyant danser ainsi que nos oncles et tantes, j’ai pensé que ce n’était plus de leur âge... la jeunesse est sans pitié !nos noces d’argent ont eu lieu dans les mêmes conditions en septembre 1966, ...