Recherche



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :rade


Page 1 - 5 sur un total de 47 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


1. Chroniques familiales 📖 Recensement de l'Acadie de 1671

...te cinq ans, sa femme marie mercié aagée de 26 ans, leurs enfans cinq, marie aagée de neuf ans, charles aagé de 7 ans, vincent aagé de cinq ans, jeanne 3 ans, margueritte un an. leurs terres en labour 2 arpans, leurs bestes a cornes six paires, huict paires de brebis tant petites que grandes. laboureur olivier daigre aagé de 28 ans sa femme marie gaudet aagée de 20 ans, leurs enfans 3, jehan aagé de quattre ans, jacques deux ans, bernard un an, leurs terres en labour deux arpans, bestes a cornes six paires et six brebis. tonnelier - anthoine hebert aagé de 50 ans, sa femme geneviève lefrand aagée de 58 ans, leurs enfans 3, jehan hebert aagé de 22 ans, jehan hebert aagé de 18 ans, catherine hebert aagé de 15 ans, leurs bestiaux a cornes 18, leurs brebis sept paires. leurs terres en labour six arpans en deux places. laboureur - jehan blanchard aagé de soixante ans, sa femme radegonde lambert aagée de quarante et deux ans, leurs enfans six, 3 de mariés, martin blanchard aagé de 24 ans, magdeleine blanchard aagée de 28 ans, anne aagée de 26 ans, les non mariés guillaume aagé de 21 ans, bernard aagé de 18 ans, marie aagée de 15 ans. leurs terres en labour 5 arpans leurs bestiaux a cornes, douxe, et brebis neuf. la veufve de defunt francois guerin aagée de 26 ans, ses enfans 5, anne aagée de douxe ans, marie aagée de neuf, frivoline 7 ans, huguette aagée de 5 ans, françois 2 ans, son bétail a cornes six piéces et 3 brebis. ses terres en labour six arpans. laboureur - michel du pont (dupuis) aagé de 37 ans, sa femme marie gautrot, aagée de 34 ans, leurs enfans 4, marie potier (ou potet) aagée de 14 ans, martin du pont aagé de six ans, jeanne aagée de quatre ans, pierre aagé de 3 mois, leurs bestiaux a cornes ...


2. Recherches généalogiques 🔎 La lignée des Bourdin

...acute;tique à cinquante ans. sa fille jeanne n'avait alors que quatorze ans à peine. elle fut profondément affectée par cet événement inattendu et a gardé jusqu'à la fin de ses jours une véritable adoration pour son père. adoration exaltée sans doute par le fait qu'elle avait mal supporté que sa mère se remariât deux ou trois ans plus tard avec le neveu de philippe bresseau. alfred bourdin était l'un des adjoints au maire de poitiers et cela valu à jeanne, alors âgée de sept ou huit ans, l'occasion d'offrir une gerbe de fleurs au président sadi carnot lorsque celui-ci vint à poitiers. le grand homme l'a embrassé pour la remercier. décidément, mes parents ont été particulièrement honorés ce jour-là ... ce mandat municipal permit à alfred d'appuyer la demande du curé de sainte radegonde, sa paroisse, qui sollicitait un crédit pour faire réparer les chaises de l'église. le crédit fut accordé mais le curé, au lieu de faire procéder aux réparations, préféra acheter des chaises neuves. mon grand-père, furieux, estimant que sa bonne foi avait été trompée, décida qu'il ne mettrait plus les pieds à l'église et que sa famille irait à la messe dans la paroisse voisine. cependant, lorsqu’alfred fut atteint de la maladie qui ne devait pas tarder à l'emporter, son entourage se trouva consterné. mon grand-père refusait obstinément de recevoir le curé de la paroisse. peut-être même avait-il envisagé un enterrement civil ? il y eut sans doute une intercession de la grande sainte radegonde, si chère aux poitevins, car un mouvement de mutations eut lieu dans le clergé local quelques...


3. Jacques Bourlaud 🩺 Sur le chemin des écoliers

...ture aux enfants avant qu'ils n'aient atteint l'âge de six ans révolus n'existaient pas encore. aussi beaucoup d'entre eux, dégrossis dans leurs familles, commençaient-il leur scolarité à quatre ans et demi ou cinq ans, connaissant parfaitement les lettres de l'alphabet et assez bien leur utilisation. de plus, au lycée de poitiers - comme dans presque tous les autres lycées - on avait ouvert des «petites classes» où, de la 12ème à la 7ème, était dispensé l'enseignement primaire. on n'y préparait pas le certificat d'Études mais l'entrée en 6e. cet enseignement n'était pas gratuit aussi les élèves se recrutaient-ils dans des milieux relativement aisés (professions libérales, commerçants, fonctionnaires). en tous cas, j'étais maintenant en 8e, dans la catégorie des «grands» ... dans la classe de monsieur pucelle, un personnage grand et mince dont le sourire bienveillant et la barbe blanche faisaient penser au père noël. j'avais cru entendre dire à des camarades nettement «plus grands» qu'il portait un drôle de nom pour un homme de cinquante ans, père de famille... mais, après tout, n’était-ce pas le nom de jeanne d'arc ? alors, pourquoi tant de chuchotements à ce sujet ? c'était vraiment sans importance...considérant sans doute mon ascension dans la hiérarchie écolière, ma famille décréta un beau matin que je n'avais plus besoin d'être accompagné pour effectuer quatre fois par jour le trajet reliant la maison au lycée.c'était peut-être pour ma mère ou mes sœurs la libération d'une astreinte. mais, pour moi, c'était une consécration. enfin on reconnaissait mon âge ! j'étais presque devenu un adulte... déjà, pour l'anniversaire de mes sept ans, on m'avait expliqué que j'avais atteint l'âge de raison et que j'étais dorénavant responsable de mes paroles et de mes actes. en conséquence je ne devais plus espérer de circonstances atténuantes devant les sanctions justifiées par mon inconduite...n'ayant pas ...


4. Jacques Bourlaud 🩺 Santé navale à Bordeaux

...lisé comme lieutenant d’artillerie, aurait encore la possibilité de m’aider financièrement comme il l’avait fait depuis deux ans. la nuit était déjà tombée lorsque je suis arrivé à la maison, ruminant toujours des pensées moroses. les lampes extérieures badigeonnées en bleu, les bandes de tissu sombre clouées aux persiennes pour camoufler la lumière, tout ce que la défense passive (qui croyait à son efficacité dans les premiers jours de la guerre) avait imaginé dans l’espoir de rendre invisible les agglomérations, m’obligeaient à tâtonner dans l’obscurité afin d’atteindre la porte d’entrée. ce qui n’était pas fait pour remonter mon moral . d’autant plus que celui-ci, par ailleurs, se ressentait des libations de la nuit précédente lorsque, mes camarades et moi, nous avions pris congé les uns des autres avant de quitter rochefort. heureusement la surprise joyeuse de ceux qui ne m’attendaient pas ce soir-là et leur accueil plein de douceur souriante firent rapidement rejaillir la clarté dans mon esprit. les jours suivant j’avais trouvé à m’occuper auprès des réfugiés mosellans, profitant des quelques connaissances que j’avais acquises dans l’étude de la langue allemande pour servir d’interprète à la mairie. de temps en temps je me rendais à poitiers sous prétexte de faire des courses pour ma mère. il suffisait alors de traîner sur la place d’armes ou dans la rue gambetta pour rencontrer quelques congénères fréquentés soit au lycée, soit à la faculté, soit à l’école annexe. il y avait ceux qui avaient ét&eac...


5. Jacques Bourlaud 🩺 Médecine à Montpellier

...nts et leurs livres et travaillaient comme ils le pouvaient à la clarté d’ampoules trop faibles pour assurer un éclairage convenable. l’asile était assez éloigné de la ville, aussi les navalais n’en sortaient-ils pas très souvent et passaient quelques instants de loisir à circuler dans le parc, échangeant des propos avec certains aliénés inoffensifs. nous avons ainsi gardé le souvenir de « jeanne d’arc », une personne d’une soixantaine d’années, à la chevelure empapillottée, et qui grâce à la « t.s.f. qu’elle avait dans le sang » sauvait les navires en perdition… il y avait aussi le « colonel », coiffé d’un képi de comique-troupier, portant galons et épaulettes qui, ancien instituteur, nous posait des questions sur la géographie de la corse. un camarade a illustré cette période par une série de dessins humoristiques qui se sont répandus par la suite . en ce qui me concerne, j’avais écrit une fable que j’ai retrouvée plus tard au fond d’un tiroir et que voici : le fou , le fritz et le navalais ++++++++++++++++++++++++++++++ dans un asile de fous, un beau matin, les fridolins s’infiltrèrent partout . les belles chambres furent prises par leurs chefs valeureux et les hommes occupèrent les dortoirs spacieux . tous les jours, avec délice, ils se rendaient au pas de l’oie à l’exercice . et les fous, derrière leurs barreaux de fer, admiraient leurs habits verts. à l’asile aussi vint s’échouer, ne sachant plus où aller, les débris d’une illustre école qui avait le monopole de fournir à la marine et aux coloniaux des docteurs en médecine . les fous les regard...