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1. Chroniques familiales 📖 Liste des 78 familles acadiennes installées à Belle-Île

...chroniques familiales 📖 liste des 78 familles acadiennes installées à belle-Île écoutez ... l'acadiefrance inter - 9 juin 2010 votre navigateur ne supporte pas l'élément html audio implantation des acadiens à belle-ile - carte réalisée par jacques nerrou source : d'après la liste établie à l'origine et les travaux de rené et marguerite daligaut et jean-marie fonteneau et publiée sur le site racines et rameaux français d'acadie les liens sur les noms mènent sur la fiche biographique de la personne, sur mon autre site, celui de généalogie. famille 1 : joseph simon granger, né la rivière-aux-canards, frère de jean-baptiste et d’armand. sa mère marguerite leblanc veuve de joseph granger, sœur de honoré, françoise, charles et simon. son épouse marie josèphe terriot, née la rivière-aux-canards, sœur de marie-madeleine, marguerite-marie, élisabeth, marie-geneviève, marie-blanche et jean-baptiste. leurs enfants : jean-baptiste, joseph-simon, pierre, augustin vital, élisabeth. venant de falmouth et morlaix, installés à antoureau (le palais). famille 2 : jean baptiste granger, né la rivière-aux-canards, frère de joseph-simon et d’amand. son épouse marie-madeleine terriot, née la rivière-aux-canards, sœur de marie-josèphe, marguerite-marie, élisabeth, marie-geneviève, marie-blanche et jean-baptiste. leurs enfants: pierre-amand, jean-joseph, marie-josèphe. venant de falmouth et morlaix, installés à andrestol (le palais). famille 3 : armand granger, né la rivière-aux-canards, frère de joseph-simon et de jean-baptiste. son épouse marguerite-marie terriot, née la rivière-aux-canard...


2. Jacques Bourlaud 🩺 Jeunes années

... mentale. ces courtes apparitions me replongeaient, bien sûr, dans mes rêves avides de merveilleux et quelque-peu divagants mais, plus tard alors que ma décision était prise, je l’ai revu plusieurs mois avant sa mort et je lui sais gré de m’avoir encouragé et de m’avoir montré les difficultés mais aussi les grandeurs du métier que j’avais choisi. dans mon enfance je voyais aussi très souvent deux jeunes filles d’origine antillaise dont le père était fonctionnaire des douanes à dakar. amies de mes sœurs qui les avaient connues au collège, elles apportaient, rue de la tranchée, une note d’exotisme les soirs d’hiver en parlant de leur pays ensoleillé, de leur famille et de voyages en mer. mais j’avais huit ans lorsque ma sœur aînée épousa un colonial qui devait l’emmener avec lui dans une plantation de palmiers à huile dont il assurait la gérance au gabon. le gabon devint donc le sujet d’entretien de toute la famille. ma grand-mère faisait remarquer que monseigneur augouard, un poitevin, y avait vécu. cependant les esprits chagrins affirmaient que c’était-là un pays malsain et que ma sœur et son mari y contracteraient toutes « les fièvres »… pour moi, j’étais délirant. le gabon c’était le pays qui avait de si jolis timbres avec un guerrier pahouin emplumé, au visage couturé d’incisions raciales ; le pays de la forêt-vierge, des éléphants, des gorilles… justement mon beau-frère, connaissant ma curiosité pour les animaux, m’avait envoyé un magnifique crâne de gorille… je suis ainsi resté pendant deux ans dans l’attente fascinante de colis mystérie...


3. Jacques Bourlaud 🩺 Indochine

...e implantée dans l’hôpital de lang-prabang. malgré l’état de guerre qui avait duré plus de dix années et les menées subversives du pathet-lao, le laos était encore un pays charmant où nous avions l’impression de vivre sur un autre rythme. tout était prétexte à des fêtes où nous étions gentiment conviés. des images reviennent pêle-mêle à ma mémoire : le roi sur son éléphant, traversant la ville pour aller visiter les pagodes ; les bonzes tenant à la main un flambeau allumé et descendant, la nuit, les pentes du phu-si par un chemin en lacets rappelant symboliquement les ondulations du serpent qui avait, un jour en ce lieu, protégé de l’ardeur du soleil bouddha pendant sa méditation ; le confluent du mékong et de la nam-ou ; les routes de forêt ou de montagne ; les plantations de pavots avec leurs corolles d’un blanc éclatant marquées au centre d’une tache rouge-vif ; les villages méos sur les crêtes où les femmes portent de lourds colliers d’argent et où nous avons, un jour, rendu visite à un missionnaire français vivant là-haut avec sérénité dans des conditions d’isolement et d’inconfort à peine croyables. si ma famille avait pu me suivre, j’aurais sûrement été très heureux à luang-prabang. malheureusement ce n’était pas le cas et la santé de mon fils aîné, michel, qui souffrait d’une grave affection chronique, me tracassait beaucoup. j’aurais aussi voulu connaître ma nouvelle fille qui avait maintenant plus d’un an. c’est pourquoi j’ai demandé à écourter mon séjour en extrême-orient. ce qu...


4. Jacques Bourlaud 🩺 Kerguelen

...o-soviétique avec déjeuner à terre particulièrement soigné (c’était d’ailleurs le jour de la pentecôte) suivi d’une visite du bâtiment et d’un dîner à bord. d’un côté champagne, cognac et vins de france, de l’autre vodka et champagne de crimée. l’ambiance joyeuse et le souvenir de quelques cuites sensationnelles a achevé de cimenter la cohésion des habitants des kerguelen. les six premiers mois se sont donc déroulés avec une certaine sérénité. les suivants ont été, peut-être, moins heureux. d’abord nous étions devenus des anciens blasés, préoccupés surtout par le retour du « galliéni » qui devait nous reprendre. ensuite nous étions plus de cent avec un détachement du génie de l’air chargé de l’implantation d’un aéroport dont on avait rêvé en haut lieu. ce détachement logeait à l’écart dans des bâtiments qu’il avait édifiés lui-même et ne prenait pas ses repas dans la salle du restaurant devenue trop petite. enfin il y avait avec nous deux femmes. l’une était l’épouse de l’administrateur supérieur des terres australes et antarctiques qui avait suivi son mari pour lui servir de secrétaire. l’autre était l’épouse d’un capitaine du génie. celui-ci, qui avait déjà fait trois ou quatre séjours, était considéré comme un homme précieux. il n’avait accepté de revenir une fois de plus qu’à la condition d’emmener sa femme avec lui. un peu plus âgée que nous, elle était discrète et gentille, nous rendant volontiers de g...


5. Jacques Bourlaud 🩺 Madagascar

...-il que les familles malgaches de plus de dix enfants ne se comptaient même plus et que, chez les européens, il était fréquent de voir des couples étiquetés stériles depuis des années (parfois dix ou quinze ans) qui avaient la surprise de voir évoluer une grossesse . c’est donc le plus souvent « à la sauvette » que je m’accordais quelques moments de détente. cependant j’ai eu la chance de pouvoir assurer pendant quinze jours le service médical d’un camp de vacances organisé par l’armée de l’air sur une plage de nosy-bé . tout y était réuni pour laisser à la famille un souvenir enchanteur : la mer, le sable et le soleil, les palétuviers et les coquillages extravagants, les récifs coralliens où se cachaient des poissons multicolores, les pigeons verts dans les cocotiers et l’odeur des plantations de café ou d’ylang-yla...