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16. Serge Adolphovitch Chauvigné 🌴 Biographie par son fils Claude

...serge adolphovitch chauvigné 🌴 biographie par son fils claude serge adolphovitch chauvigné est né à saint-pétersbourg le 4 septembre 1899. les 5 feuilles de son acte de naissance sont reproduites ici. en 1913, il arrive à tours, chez son oncle alfred. a l'école, il dépassait tous ses camarades. il se prend d'une passion pour la radio et suit les cours d'une école technique à paris, avec son ami gabby. en 1917, le conseil de famille se réunit pour autoriser serge, alors mineur, à s'engager dans la marine française. a rochefort, il suit la formation de radio. il est affecté d'abord sur un petit patrouilleur dans le golfe, puis en mer baltique, tandis que son grand copain gabby est envoyé sur la mer noire. dans la baltique, il sert à bord du bateau amiral où il fait office de traducteur. a helsingfors (helsinki), il rencontre ses sœurs olga et xénia qui y sont réfugiées. démobilisé en 1921 ou 1922, il apprend comptabilité et langue anglaise, par lui-même et dans une école à paris pendant près d'une année où il demeura crève-la-faim. (selon claude, car louis pensait qu'il avait étudié la comptabilité pendant une année à londres) puis, il se place dans une entreprise anglaise et part pour accra fin 1923. il revient en france, est engagé par une compagnie française de plantation de palmiers et repart pour achouka. il revient en france en 1925, puis repart au gabon. cette même année, il remplace temporairement un radio malade à bord d'un baleinier. en remerciement, la compagnie (norvégienne), lui offre cette mauser 9,65 dont son fils aîné fit tant usage plus tard à carnot. de retour en france, il rencontre germaine bourlaud à joué-les-tours. il repart au gabon. revient en france pour épouser germaine en 1928. ils repartent ensemble au gabon. en 1930, ils reviennent en france avec le bébé claude.selon claude, un des frères de serge, paul est mort sur le front de bessarabie. il ne sait rien des autres, ...


17. Serge Adolphovitch Chauvigné 🌴 Biographie par son fils Daniel

...serge adolphovitch chauvigné 🌴 biographie par son fils daniel serge adolphovitch, mon père, en 1913, après la mort prématurée de sa mère, quitte seul, la russie pour rejoindre lui aussi son oncle. après avoir traversé la pologne il est arrivé en allemagne et après s’être trompé de train il s’est retrouvé à bruxelles avant de regagner paris et tours. c’est certainement ce long périple, effectué à l’âge de quatorze ans, qui lui a donné par la suite le goût des voyages et de l’aventure. alfred, lui fait suivre des cours de comptabilité qu'il perfectionne en allemagne et en angleterre. en 1917, mon père s'engage dans la marine française comme radio à bord d'une vedette de chasse anti sous-marine. en juin 1918, cette vedette marine accoste à petrograd, port à l'embouchure de la neva, anciennement st pétersbourg (et rebaptisée léningrad en 1924.) lors d'une virée à terre serge tente de retrouver les siens, mais il apprend que son père est mort pendant les représailles révolutionnaires et que ses frères georges et paul ont fui vers le caucase. il ne les a jamais revus. mon père, comme de nombreux slaves, a le don des langues. outre le russe et le français, il parle couramment l'allemand et l'anglais ; cela lui a permis de trouver une place de comptable dans une entreprise d'import-export en gold-coast. c'est donc à accra, la capitale actuelle du ghana que commence son épopée africaine. après 4 années passées dans cette colonie britannique, il est embauché comme radio sans filiste sur un baleinier qui exerce la chasse des cétacés au large des côtes gabonaises. les prises harponnées sont amenées à port-g...


18. Afrique 🌍 Lamartine Algérie

...anna, accompagnés de nos parents rené et ginette, ont séjourné plusieurs semaines dans leur famille de lamartine. la revue algérianiste a publié dans son numéro 113 de mars 2006 une histoire du village de lamartine en 1900. en voici le texte intégral, en dessous des images. note : les originaux sont reproduits à cette adresse : http://cagrenoble.fr/revue/113/images.htm source : http://alger-roi.fr/alger/lamartine/textes/1_lamartine_algerianiste113.htm lamartine, village d'algérie en 1900par edgar scotti (†) le chef-lieu de la commune mixte du chélif, créé en 1888 sur 1 445 ha, puis agrandi en 1894 sur 597 ha, s'étend dans le pittoresque défilé de l'oued fodda (la rivière de l'argent), dont le centre du même nom, se trouve à 11 km au nord. situé au sud-est d'orléansville dont il est distant de 34 km et à 197 km au sud-ouest d'alger, le village prit le nom d'un de nos grands poètes et hommes politiques, né à milly près de mâcon en 1790, mort à paris en 1869. arrosé par les eaux du massif de l'ouarsenis qui culmine à 1 985 m, lamartine, à 216 m d'altitude, bénéficie d'un bon climat avec des températures qui varient entre 14 °c en hiver et 42 °c en été. l'oued fodda, affluent du chélif, permet par des canaux de dérivation d'irriguer 200 ha de cultures diverses. l'alimentation en eau est assurée par des sources. les terres d'alluvions sont propices aux céréales. lamartine dispose d'une pépinière communale en plein rapport. le village établi sur les terres du douar harchoun, abrite le siège de la commune mixte du chélif, qui s'étend sur 192 083 ha en plaines, coteaux et montagnes. en 1900, cette commune mixte avait une population de 48 113 autochtones et 701 français, alors que lamartine avait en cette même année 333 habitants dont 253 européens. le village est desservi par la gare plm de l'oued fodda sur la ligne de chemin de fer d'alger à oran. la commune de lamartine au début du xxe siècle administ...


19. Amérique 🗽 Et si l'Amérique avait été Française ?

...lus intéressés par le nouveau monde. c'est ce qui décide henri iv. en 1603, il se laisse convaincre par un de ses anciens compagnons d'armes, gentilhomme protestant originaire de saintonge.a 45 ans, pierre dugua, sieur de mons, est un têtu aimable, courageux et un peu rêveur, un cyrano de l'atlantique. enthousiasmé par un premier voyage de pure curiosité, en 1599, à tadoussac, un comptoir situé sur le saint-laurent, il a vendu tous ses biens et engagé la dot de sa riche épouse pour se lancer dans l'aventure. henri iv lui octroie un monopole de dix ans sur le commerce des fourrures canadiennes. en contrepartie, le nouveau "lieutenant général" s'engage à fonder à ses frais une colonie de peuplement en acadie. le système ne coûte rien à l'etat mais il est soumis aux aléas du privé. les rivaux exclus crient au scandale, de même que les chapeliers parisiens et les fourreurs, tous hostiles au monopole qu'ils n'auront de cesse de casser, quitte à s'allier aux hollandais, concurrents naturels des français puisque anvers est la plaque tournante du négoce de fourrures.le saintongeais, diplomate, parvient néanmoins à fédérer au sein d'une compagnie les intérêts bretons, normands, charentais et basques. le 10 avril 1604, deux navires quittent honfleur chargés de 200 hommes. dugua a recruté, outre quelques soldats et marins, une soixantaine d'artisans, charpentiers, tailleurs de pierre, cuisinier, etc. l'expédition compte aussi un prêtre catholique et un pasteur protestant (qui en viendront aux mains et seront enterrés ensemble, par dérision), un interprète noir (c'est l'usage), ainsi qu'un mineur croate - on n'a pas tout à fait abandonné l'espoir de découvrir de l'or, ni d'ailleurs de trouver la fameuse route...


20. Amérique 🗽 Quand l'Amérique était Française

...amérique 🗽 quand l'amérique était française les premiers colons qui s'installèrent en amérique du nord le firent au nom d'henri iv. le canada - mais pas la france ! - commémore le quatrième centenaire de cette épopée ce n'est, après tout, qu'une réunion de famille. mais, comme les nord-américains donnent dans la démesure, ces retrouvailles entre cousins, à l'échelle d'un continent, font figure d'événement. le mois dernier, à l'appel du congrès mondial acadien, ils étaient près de 50 000, issus d'une centaine de lignées, à se retrouver, autour de la baie sainte-marie, dans l'est de la nouvelle-Écosse, une des provinces atlantiques du canada. venus des petits ports de la baie des chaleurs, de la moiteur des bayous de louisiane ou des banlieues de montréal et de boston, beaucoup étaient là pour célébrer, au son des violons et des accordéons, un anniversaire largement ignoré à paris, celui de la fondation, il y a tout juste quatre siècles, du premier établissement permanent français en amérique du nord. c'est aux États-unis qu'il faut aujourd'hui se rendre pour avoir une idée de ce que fut le berceau de la francophonie américaine. a la frontière entre le maine et le nouveau-brunswick, dans la baie de fundy, les archéologues ont identifié l'îlot sainte-croix, où aborda, le 26 juin 1604, le protestant pierre du gua de monts, porteur d'une commission royale reçue d'henri iv qui le nommait lieutenant-général pour «le nouveau monde» et surtout lui accordait le monopole sur la traite des fourrures. c'est sur ce caillou désolé, aujourd'hui territoire américain, privé d'eau, à 800 mètres des rives, qu'a commencé l'aventure d'où sont largement issus les 7 millions de francophones canadiens et les 8,3 millions d'américains de souche française. trois ans avant l'établissement des premiers colons anglais à jamestown (virginie), seize années avant l'arrivée, en 1620, des pèlerins du may...