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6. Claude Chauvigné 🎤 Interview (vidéo et texte)

...claude chauvigné 🎤 interview (vidéo et texte) vidéo et transcription d'une interview en anglais de claude chauvigné en juin 2000. en vidéo, seulement la première partie de l'interview est proposée. claude nous a quitté, paisiblement, ce 10 février 2018. interview of claude chauvigne votre navigateur ne peut afficher la vidéo. vous pouvez télécharger le fichier: video/mp4 video/webm http://capefearww2.uncwil.edu/voices/chauvigne031.html transcript number 031interview of claude chauvigne monday, 12 june 2000 this interview is being held at the barbee branch library, oak island, north carolina. steven heffner is interviewing mr. claude chauvigne. mr. chauvigne was not a veteran of world war ii, but he was a french national, living in france at the outbreak of the second world war and the occupation by the germans of his country. interviewer: mr. chauvigne would you please give us your full name and address. chauvigne: my name is claude chauvigne and i live on 40 deer mountain road, pittsboro, north carolina. the zip code is 27312. interviewer: and give us your date of birth please, mr. chauvigne. chauvigne: i was born the 6th of june 1929. interviewer: now you were a french national at the time of world war ii. chauvigne: yes, i was a little kid. when the war broke out, i was 10 years old. interviewer: and where were you living? chauvigne: i was living in coulombiers, a very, very small village south of poitiers, the capital of poitou in southwestern france. interviewer: and whom were you living with? chauvigne: i was living with my brother at my grandmother's house. interviewer: and where were your parents at this time? chauvigne: my parents worked in africa and we came back to france in 1938 or beginning '39 and we remained, the two of us, my brother and i, with my grandmother for the whole war. interviewer: and were you in schoo...


7. Daniel Chauvigné ⌘ Aux origines de la famille

...s, dédé et moi en arrivant près du champ qui longeait la forêt, avons été pris entre les tirs déclenchés par les allemands sur les maquisards qui ripostaient. nous nous sommes cachés derrière une meule de foin, tandis que les f.f.i. se repliaient dans le bois poursuivis par les boches. profitant de l'accalmie, nous nous sommes enfuis lorsque mon copain ressentit une vive douleur à la fesse. il venait de recevoir une balle perdue qui était restée dans la chair. il saignait peu, mais il souffrait en pédalant vers lusignan où j'allais le faire soigner par le médecin de famille. je dis au docteur boucherande que mon ami avait chuté sur une fourche. il a emmené dédé dans la salle de soins d'où il ressortit quelques minutes plus tard, me montrant une balle sanglante qu'il tenait au bout d'une pince chromée et me dit avec un sourire : - "tiens, voici le bout de la fourche que j'ai retiré de la fesse de ton camarade, garde-la en souvenir." j'ai durement ressenti l' l' d'occupation car elle a tenu éloignés mes parents en afrique et malgré la gentillesse de ma grand-mère, leur absence m'a beaucoup pesé. nous avons subi deux bombardements à poitiers, sans gravité pour ma famille et leurs biens, mais les alertes, de plus en plus fréquentes, nous ont fait descendre et remonter les six étages qui séparent les chambres de la cave du lycée. parfois nous faisions cette navette plusieurs fois par nuit. les restrictions ont été pénibles à supporter pour un " j3 " comme moi qui n'avait pas les ressources alimentaires de certains camarades, fils de paysans ou de personnes aisées, qui s'approvisionnaient au marché noir. mon oncle jacques était prisonnier en autriche et nous faisions beaucoup de soucis pour lui, bien que son emploi de médecin dans un stallag soit plus enviable que le sort réservé à d'autres détenus. nous ignorions alors le tragique destin des déportés et ne comprenions guère pourquoi nos camarades juifs, étaient affublés d...


8. Daniel Chauvigné ⌘ Premier métier : menuisier ébéniste

...sinier et un marmiton tiennent la cambuse et préparent les repas. six cabines peuvent accueillir une quinzaine de passagers. le bateau est très large et a un faible tirant d'eau, pour éviter l'ensablement sur les bas-fonds qui jonchent le fleuve. a l'arrière, mue par deux longues bielles latérales, une énorme roue à aubes propulse le navire dans un grand bruit de clapotis. tout l'avant du pont inférieur est chargé de bois, pour l'alimentation de la chaudière du moteur qui est fixé au centre du bateau. le restant du pont et l'étage intermédiaire servent à emmagasiner le fret. le poste de pilotage, les cabines et la salle à manger-salon occupent tout le pont supérieur. il faut trois semaines pour remonter le fort courant jusqu'à bangui. pour éviter les embûches causées par les bancs de sable, les troncs d'arbres flottant en surface et parfois l' l'occupation du congo ou de l’oubangui par des troupeaux d'hippopotames, on jette l'ancre, la nuit près des rives. cela permet également de dormir sans être gêné par le bruit du moteur et le clapotis de la roue à aubes. tous les trois jours, le bateau accoste près d'un petit village de pêcheurs qui, payés par la société maritime, sont chargés de couper et de stérer du bois de chauffage pour les bateaux à vapeur. le chargement effectué par les villageois et l'équipage dure deux heures, ce qui donne le temps au capitaine et aux passagers volontaires d'aller chasser des perdrix et des pintades, voire une antilope, pour améliorer l'ordinaire. la pêche à la traîne, pendant la progression du bateau, est également un passe temps agréable et nous permet de manger fréquemment du poisson frais. le fleuve congo et son affluent l'oubangui son...


9. Daniel Chauvigné ⌘ Sixième métier : conducteur d'engins

...ai assisté au dialogue entre européen et un fonctionnaire noir employé à la poste de bangui : - "bonjours, donnes moi un carnet de timbres." - "bonjours monsieur, voici votre carnet, mais à l'avenir, je vous prie de me parler à la troisième personne." - "et ta sœur !" - "ma sœur, vous pouvez la tutoyer, elle ne fait pas partie de l'administration française de postes !" les bureaucrates français et noirs ont souvent le même emploi à la mairie de bangui et les français sont logés dans des petites maisons érigés à leur intention par la municipalité, mais les indigènes n'ont pas ce privilège. leur nouveau député a donc demandé et obtenu que les employés noirs soient également logés dans des maisons du même style, ce qui a été fait pour une dizaine d'entre eux. dès leur occupation des lieux leur première action a été de clouer les volets de bois et les portes extérieures, autre que la porte d'entrée. en effet, si les cases des indigènes ne possèdent qu'une issue c'est parce que dans les croyances ancestrales existe un "esprit malin" jeteur de mauvais sort. cet esprit, qui n'agit que la nuit, est un esprit "compteur" qui jette le mauvais sort lorsqu'il a fini de compter. si l'on dort les pieds vers la porte, les orteils sont vite comptés ; alors il faut dormir la tête vers l'entrée et "l'esprit malin" n'a pas assez de temps pour compter les cheveux crépus ! ensuite, ils ont fait du feu à même le sol dans la grande pièce centrale pour éloigner les moustiques. enfin le cuisine extérieure a servi de maison à des frères et sœurs tandis que des amis ont érigé des bidonvilles sur la pelouse ! ces premiers pas vers l'&ea...


10. Amérique 🗽 Les Huguenots au Canada

...amérique 🗽 les huguenots au canada the huguenots in acadia. the year 2004 marks the 400th anniversary of the founding of acadia by pierre de gua (or gaust), comte de monts, huguenot from pons. this colony is identified by some historians as the first permanent french settlement in north america. some deny it that distinction because its occupation may have been intermittent. port royal, now called annapolis royal, the final site of the colony, was burned by the british at least five times during the 17th century, but was always rebuilt and, some say, was never completely depopulated. qu'est-ce qu'on attend pour le traduire ? pour une fois qu'il n'y a encore que la version anglaise ! et puis, si vous trouvez que je ne vais pas assez vite, vous n'avez qu'à vous y coller ! those who deny that acadia was permanent make quebec city, founded by samuel de champlain in 1608, the first permanent settlement. one author, avoiding the issue of permanence, describes acadia as the first french agricultural settlement in north america. many books tell the story of the acadian colony. those of presumably unbiased sources like the great american historian francis parkman and contributors to various encyclopedias, those of writers like john fiske apparently partial to a catholic interpretation, and those of such propagandists for the huguenots as abram elting bennett and lucian j. fosdick differ on many details, for example, the spelling of de monts' name, the number of ships and the number of clergymen and the religious affiliations of de monts' principal lieutenants. all agree, however, that it was a largely huguenot venture. that was not surprising; both of the serious french attempts at settlement in the new world in the 16th century had also been huguenot-sponsored, by gaspard de coligny- and consisted principally of huguenots. both settlements ended in disaster. the brazilian colony of 1555 was razed by the port...