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6. Mahlon ✍ Augustin

...éparations et passe le détroit de magellan, où il s'échoue pendant dix jours, pour finalement rejoindre valparaiso en mai 1840. l'"hémorragie" de personnel et d'argent ne s'est pas arrêtée, et avec seulement un quart du voyage autour du monde accompli, il est difficile de croire que même un optimiste comme augustin lucas puisse espérer l'achever.cependant, après un mois d'escale, le 23 juin 1840, étant maintenant le seul officier qualifié à bord, le capitaine augustin leva l'ancre apparemment pour arica, au pérou. c'était une belle journée claire et ils s'étaient éloignés de 2 milles de l'amarrage. puis, selon le récit du capitaine augustin, le vent s'est arrêté et le courant a entraîné le navire sur une plage près du phare, où il s'est solidement échoué et a dû être abandonné. tout le personnel, le journal de bord et l'argent retrouvé sont sauvés, mais c'est la fin de la croisière. aucune enquête officielle ne condamne le capitaine lucas pour ce naufrage, mais l'opinion maritime estime qu'il s'agit d'un coup monté. au même moment, un ordre est reçu de paris, annulant le reste du voyage, sur la base de rapports antérieurs, et le consul français à valparaiso confisque tout l'argent sauvé de l'épave. la plupart des membres du personnel furent laissés seuls à se débrouiller pour rentrer chez eux.le capitaine lucas et sa famille, dans cette situation catastrophique, se rendirent brièvement en nouvelle-zélande, où son jeune frère, le capitaine françois lucas, s'était lancé dans la spéculation foncière, ce qui n'aboutit à rien lorsque les anglais annexèrent la nouvelle-zélande et explusèrent les colons français. augustin, avec sa femme et ses filles, fait une apparition en 1841 dans les îles gambier, près de tahiti. ses filles, mathilde et dolorès, sont envoyées dans un pensionnat à valparaiso, où elles apprennent l'espagnol et l'anglais, ainsi que le français et la langue tahitienne, le ranaka, qu'elles c...


7. Conteur de la tribu 🗺 Généa50

...er à la création d’une marine de guerre. il y est mort.encore un grand-tonton, frère de mon arrière-arrière… (etc) grand-père, jean-jacques granger, un acadien déporté par les anglais, qui finit sur l’échafaud pendant la terreur : sur le navire dont il était capitaine, il avait transporté des girondins au moment où les jacobins de robespierre étaient aux affaires.mon arrière-grand-papa, louis auguste cadel, natif de varouville, a toujours été marin, d’abord au commerce, puis dans la royale, comme guetteur sémaphoriste, en normandie, en algérie, puis en bretagne.son fils, mon grand-père georges cadel, un normand 100 % pur jus qui n’a jamais vécu en normandie, est né en algérie, en 1893 et était déjà cap-hornier à 13 ans. marin au commerce, puis dans la royale et il a fini sa carrière sur le port de pêche de lorient, comme shipchandler industriel. rien que des marins, je vous dis. avec, plus proches de notre époque, deux drames de la mer : le naufrage du robert-marie de groix en 1949 et la tragédie des essais de bombard à la barre d’Étel en 1958. nous y étions, notre famille y était et a vécu toutes ces aventures. je suis le conteur de la tribu et moi, fille de ces pionniers, de ces aventuriers, coureurs de bois ou coureurs des mers, explorateurs ou mangeurs d’écume, comme toute femme de marin, j’attends au port. ce qui ne génère chez moi aucune nostalgie, car pour ce qui est de l’appel du large, j’ai le mal de mer sur un ponton flottant, tandis que mon frère a fait le tour du monde en voilier. comme quoi nous ne sommes pas tous égaux devant la mer, même quand nous avons la même mère. je reste donc là "le cul sur la falaise",comme disait mon père, quand il traduisait le poème nature de lucrèce - de natura rebus, vous savez bien - suave mari magno… il traduisait à coup de sabre, en vieux loup de mer plus qu’en fin latiniste. nos conceptions respectives de la version latine ont toujours const...


8. Les déclarations de Belle-Île 📃 Famille de Charles Hébert du village de Kervarigeon paroisse de Bangor

...somption au mois de février mil sept cent trente et un de charles hébert et de marie daigre de la dite paroisse, charles hébert issu de jean hébert et de magdelaine dugast, et jean hébert venu d'emmanuel hébert et d'andrée le brun, et emmanuel hébert, descendu d'estienne hébert, sorti de france ave marie gaudet sa femme, établis au port royal et morts au dit lieu, marie daigre fille de bernard daigre et de claire bourg, bernard daigre issu de jean daigre venu de france, marié à marie gaudet du port royal et tous deux morts au dit lieu, le dit charles hébert marié à memramcouk en la baie de beaubassin au mois de novembre mil sept cent cinquante et un, à marie poirier, fille de joseph poirier et de jeanne harsseneau de la baie verte au dit beau bassin marie poirier morte avec tous ses enfants sur les côtes du portugal où le navire qui les passait en europe fit naufrage au mois de décembre mil sept cent cinquante huit, le dit charles hébert marié en seconde noce en la paroisse saint servant evêché de saint malo au mois d'avril mil sept cent soixante trois à jeanne lucas fille de joseph lucas et de janne monvilain du dit lieu la dite jeanne lucas décédée au dit saint servant en l'année mil sept cent soixante quatre ayant laissé de son mariage un enfant nommée marie théothiste hébert né au dit saint servant au mois d'octobre mil sept cent soixante quatre, le dit charles hébert marié en troisième noce en la dite paroisse de saint servant au mois de juillet mil sept cent soixante cinq à marie le coq fille de jacques le coq et magdelaine coureur demeurant au dit saint servant d'où ils sont originaires, telle est la déclaration de charles hébert de laquelle lecture faite, il a dit qu'elle contenait v&e...