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6. Recherches généalogiques 🔎 Laurent Granger

...recherches généalogiques 🔎 laurent granger laurent granger est le premier ancêtre-pionnier de la lignée des granger d’acadie. a port-royal, il a rencontré vers 1666 marie landry fille de rené landry et de perrine bourg. selon les dires de ses descendants dans les déclarations de belle-isle, laurent granger était « sorti de plymouth en angleterre et marié au port-royal abjuration faite à marie landry, du dit port-royal ». on en déduirait donc qu’il dut abjurer sa foi protestante pour épouser marie l’acadienne. on retrouve la trace de laurent et de marie dans les recensements acadiens 1671laurent granger 34, femme marie landry 24; enfants: marguerite 3, pierre 9 mois; 5 vaches 6 moutons. 1678laurans granger marie landry4 arpents, 6 vaches, 1 fusil4 garçons de 9, 6,4 et 2 ansnés en 1669,1672,1674, 1 fille de 11 ans née en 1667 1686matelot laurens granger 46, marie landry 36;enfants : marguerite 18, pierre 16, jacques 14, rené 10, claude 8, marie 6, anne 2;1 fusil, 3 arpents, 1693laurens grange 50, marie landry 43, jacques 21, rené 18, claude 14, anne 9, laurens 5;15 vaches, 20 moutons, 12 cochons, 2 fusils 1698marie landry (veuve de laurens granger) 42,claude granger 20; marie 17; anne 13; laurens 10;8 vaches, 15 moutons, 6 cochons, 20 arpents, 50 arbres fruitiers, 1 fusil 1700laurens granger 57; marie landry (femme) 50; claude 21; laurens 12; anne 16; 12 vaches, 21 moutons, 12 arpents, 1 fusil 1703veuve granger, 2 garçons, 2 fusils 1707veuve de granger, 1 garçon de 14 ans ou plus, 1 fille de 12 ans ou plus; 2 arpents, 7 vaches, 10 moutons, 12 cochons, 1 fusil. de là, on peut déduire que laurent, matelot, est né entre 1637 et 1643, marie entre 1647 et 1650, que laurent a quitté cette terre avant sa femme. mais quand : selon les recensements, est veuve dès 1698, mais son mari ressuscit...


7. Recherches généalogiques 🔎 Le Micmac de la Daussy

...recherches généalogiques 🔎 le micmac de la daussy le micmac de la daussy ou les épouses de jean godet. il est à peu près admis par tout le monde que jean godet a eu 2 épouses. le nom de la seconde est connue grâce aux différents recensements, il s’agit de nicole colleson qu’il épousa vers 1652. le problème est lié à la première épouse, pour laquelle on cite le nom de marie daussy.l’origine de cette affirmation se trouve dans l’ouvrage du père adrien bergeron "le grand arrangement des acadiens au quebec". dans son dictionnaire généalogique stephen white remonte à la source de cette erreur ; il cite un article de novia francia de 1927 dans lequel on parle d’un certain jean gaudet d’abbeville (picardie) qui avait 59 ans en 1727, donc né vers 1668 et qui était le fils de jean gaudet et marie daussy. des généalogistes ont fait le rapprochement avec le jean gaudet d’acadie. ceci est totalement impossible car en 1668, à la naissance de jean gaudet, fils de jean gaudet et marie daussy, notre jean gaudet acadien était à port royal marié avec nicole colleson. pourtant le nom daussy figure toujours dans de nombreuses généalogies acadiennes. le père bergeron lui même a avoué s’être trompé sur ce point. (article paru dans société généalogique canadienne française. vol. 40, # 4, p. 299.) certains auteurs pensent que sa première femme serait en fait d’origine micmac, ce qui n’est pas très facile à prouver. dans son ouvrage « une colonie féodale en amérique » edme rameau fait allusion dans une note à une branche métisse de cette famille. "source : rapport de desgouttins du 2 octobre 1702 et les recensements de 1686-93-98 etc (archives de la marine) ce nom s'écrit gaudet ou godet et les membres de cette famille sont très nombreux, non seulement au nouveau-brunswick, mais aussi au canada et en louisiane. il y avait aussi une branche métisse de cette fami...


8. Recherches généalogiques 🔎 Nos Bourlaud jusqu'au XVIIIe siècle

...tout juste un nom et une date; et encore, bien souvent, celle-ci ne correspond ni à la naissance, ni à la mort. parfois, l'indication d'un métier exercé apparaît, ce qui apporte une toute petite lueur. gaudin, époux de gilette dupuis, maître cordonnier à sanxay et contemporain de louis xiii ne nous est connu que par un acte notarié mentionnant qu'il avait acheté en 1637, près de l'église de son village, une maison qui tient encore debout. philippe delavault, un marchand drapier à lusignan, nous a laissé un livre journalier de comptes étalés sur deux ou trois années aux alentours de 1770. avec un peu d'imagination, il est possible de cerner sa personnalité et de faire revivre son activité professionnelle. mais, à ma connaissance, aucun de ses descendants n'a transmis de détails précis ni d'anecdotes à son sujet. il faut attendre 1789 - une date dont on parle de temps en temps pour voir la tradition familiale une aïeule en marge d'un événement historique. marie laguillon était parisienne. j'ai déjà dit que les garçons, autrefois, épousaient des filles de leur région. françois bouchet, mon arrière-grand-père, est justement "l'exception qui confirme la règle". compagnon menuisier, il avait quitté son village natal de châtain - aux confins du poitou et du limousin - pour entreprendre son tour de france. ce qui l'avait mené à paris où il avait fondé, sous le second empire, une entreprise de menuiserie rue saint paul et fondé également une famille en épousant rosine bartinet. ainsi, sur mes huit arrière-grands-parents, y eût-il sept poitevins et une parisienne. rosine bartinet était la petite fille de marie laguillon. or, le 5 octobre 1789, marie laguillon se trouvait dans la rue. on peut se représenter la jeune femme avec la coiffe blanche de l’Île-de-france et le caraco bien ajusté. peut-être s'était-elle drapée dans une grande mante noire pour dissimuler un peu ses rondeurs ? car marie laguillon, qui avait Ã...


9. Recherches généalogiques 🔎 La branche Bourlaud au XIXe siècle

... ce qui m'a été dit, ne devait pas avoir un caractère très agréable. suivant la tradition familiale, il se fit maçon; ce qui lui permit de vivre tant bien que mal. mais, beau garçon, il eut le bonheur de plaire à madeleine capillon. madeleine capillon était une jolie fille portant fièrement la coiffe de coulombiers où son père exerçait la profession de boulanger. la boulangère a des écus, dit la chanson. la dot de madeleine apporta donc un sérieux appui à l'ardeur au travail, à la compétence et à l'esprit d'organisation de françois. abandonnant son activité d'artisan villageois, il fonda en association avec son jeune frère louis - qui avait lui aussi épousé une fille de boulanger - une entreprise à poitiers qui devint, au bout de quelques années, une des plus importante de la ville. ceux de ma génération, même les plus âgés, n'ont pas pu connaître leur arrière-grand-père. en revanche, ils ont beaucoup entendu parler de lui par marie bouchet, sa belle fille, gabriel bourlaud, mon père, ainsi qu'yvonne et jeanne, mes deux tantes. leurs témoignages étaient concordants; ils ne parlaient de françois qu'avec amour filial, beaucoup de respect et même de vénération. il a laissé une réputation d'homme intègre. ses ouvriers le regardaient avec déférence et ses collègues ont eu suffisamment de considération à son égard pour l'élire président du conseil des prud'hommes. son sens social était assez développé pour l'époque. n'avait-il pas versé une grosse somme - tout l'argent dont il disposait, quitte à repartir à zéro - aux familles de trois terrassiers victimes d'un éboulement. il avait également acheté ou construit, à proximité de son entrepôt, des petites maisons où, moyennant un loyer très modique, il logeait son personnel. plus tard, avec l'appui de la législation, les locataires successifs, qui n'avaient plus de lien avec l'entreprise, ont bénéficié de ces a...


10. Recherches généalogiques 🔎 La lignée des Bourdin

...nse fleury et de marentine fairon. alphonse était grand et massif; les traits épais de son visage lui donnaient un air rébarbatif où se dissimulait un regard malicieux. lorsqu'il était en chemin de fer, après avoir sollicité l'accord de ses compagnons de voyage, il se plaçait avec ostentation à la portière qu'il obstruait de sa carrure impressionnante. il prenait alors sa mine la moins engageante et avait la satisfaction de voir les gens reculer pour chercher un autre compartiment. après le démarrage du train, il revenait s'asseoir, tout souriant, auprès des autres qui appréciaient le fait de voyager à leur aise plutôt que d'être obligés de s'entasser à quatre ou cinq sur la même banquette. a part cela, je ne sais pas grand chose des fleury. cultivateurs ou artisans, ils habitaient lusignan et l'un d'eux, jean, épousa en secondes noces marie-catherine boutineau, la petite fille de philippe delavault, le marchand drapier. ce fut le grand-père d'alphonse. il s'était installé à lusignan, dans la basse ville, dans une maison achetée jadis par philippe delavault. cette maison, qui existe toujours et où ma grand-mère alphonsine est née, avait été louée avant la révolution à la maréchaussée; elle porte d'ailleurs une inscription datant de cette époque. or, la gendarmerie de la première république prit la succession de la maréchaussée du roy et oublia de payer son loyer ... il nous est resté toute une correspondance à ce sujet et j'ignore si mes ancêtres ont été réellement dédommagés. peut-être l'état doit-il à leurs héritiers une somme qui, avec les intérêts, pourrait régler les problè...