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1. Recherches généalogiques 🔎 Les Acadiens, citoyens de l'Atlantique

...recherches généalogiques 🔎 les acadiens, citoyens de l'atlantique jean-marie fonteneau, ancien conservateur de la citadelle de belle-ile-en-mer, a publié en 1996 un ouvrage sur les pionniers acadiens, en particulier, ceux qui s'installèrent à belle-ile-en-mer. 1er enseignement : jean-marie fonteneau conseille de ne pas se laisser emporter par la frénésie canadienne de recherche d'ancêtres français. il s'adresse là à des français raisonnables qui n'ont pas besoin de se créer à tout prix des racines sur le vieux continent. il faut se rendre à l'évidence et constater que même avec les recherches les plus poussées et les plus modernes, il est impossible d'identifier l'origine française de la grande majorité des pionniers acadiens. a de rares exceptions près, comme des dugas, trahan ou mius d'entremont, la seule conclusion que l'on pourra en tirer, c'est que dans tel ou tel village français, il y en avait beaucoup qui portait le même nom de famille. si l'on sait en effet beaucoup de choses sur la vie, l'évolution, la descendance et le cousinage des pionniers après qu'ils aient posé le pied en terre américaine, pour remonter avant, macache coucou. 2e enseignement : il n'y a pas eu de femme occidentale en acadie avant 1636. tous les mariages et naissances antérieurs sont donc métis, et bien d'autres ensuite of course. charles de la tour, arrivé avec son père dès 1610, avait une épouse micmac à cap de sable et toute sa descendance est métisse. mathieu martin, dont les parents sont arrivés en 1636 sur le même bateau que guillaume trahan (le saint-jehan en provenance de la rochelle) est considéré comme le premier blanc 100% né sur le continent américain, puisque sa mère a pratiquement accouché dès que le bateau a touché terre. j.m. fonteneau ne donne pas d'indication sur l'état civil des indiens mariés aux blancs. ce n'était pas vraiment son propos. mais il faut prévoir que l'identification ne sera ...


2. Recherches généalogiques 🔎 Le Micmac de la Daussy

...ère épouse, pour laquelle on cite le nom de marie daussy.l’origine de cette affirmation se trouve dans l’ouvrage du père adrien bergeron "le grand arrangement des acadiens au quebec". dans son dictionnaire généalogique stephen white remonte à la source de cette erreur ; il cite un article de novia francia de 1927 dans lequel on parle d’un certain jean gaudet d’abbeville (picardie) qui avait 59 ans en 1727, donc né vers 1668 et qui était le fils de jean gaudet et marie daussy. des généalogistes ont fait le rapprochement avec le jean gaudet d’acadie. ceci est totalement impossible car en 1668, à la naissance de jean gaudet, fils de jean gaudet et marie daussy, notre jean gaudet acadien était à port royal marié avec nicole colleson. pourtant le nom daussy figure toujours dans de nombreuses généalogies acadiennes. le père bergeron lui même a avoué s’être trompé sur ce point. (article paru dans société généalogique canadienne française. vol. 40, # 4, p. 299.) certains auteurs pensent que sa première femme serait en fait d’origine micmac, ce qui n’est pas très facile à prouver. dans son ouvrage « une colonie féodale en amérique » edme rameau fait allusion dans une note à une branche métisse de cette famille. "source : rapport de desgouttins du 2 octobre 1702 et les recensements de 1686-93-98 etc (archives de la marine) ce nom s'écrit gaudet ou godet et les membres de cette famille sont très nombreux, non seulement au nouveau-brunswick, mais aussi au canada et en louisiane. il y avait aussi une branche métisse de cette famille sur...


3. Augustin Lucas ⚓ Les origines du Capitaine Augustin

...dant 40 jours à 4 nœuds pour rejoindre enfin valparaiso le 17 mars 1835, jour que choisit pour venir au monde leur seconde fille dolorès. les épreuves avaient été terribles : le bateau était couvert de glace, par moment il y avait à peine deux heures de jour qui ne permettaient pas de faire fondre la glace et ils vinrent à manquer d'eau douce. le bateau fut mis en cale sèche pour réparations. un mois plus tard, ils mettent à la voile pour arriver en france au cours de l'automne 1835. la capitaine lucas reçoit des félicitations officielles pour son sauvetage du navire au large du cap horn et son invention d'un gouvernail de secours. de l'automne 1835 à juillet 1838, augustin navigue, mais laisse sa famille à rochefort. c'est un marin réputé, il écrit plusieurs ouvrages. le candidat, par exemple, donne des conseils à ceux qui veulent faire carrière dans la marine marchande. en juillet 1838, il abandonne le commandeme...


4. Augustin Lucas ⚓ Biographie par Eugène Le Guellec

...ine lucas. en doublant le cap horn, un coup de vent s'abattit sur le "mathilde" qui perdit un mat et son gouvernail et fut couvert d'une couche de glace. le capitaine lucas imagina un gouvernail de secours et, se traînant à quatre nœuds au milieu de la tempête, le navire finit par atteindre valparaiso, où il fut mis en cale sèche pour réparations. c'est à valparaiso que naquit une deuxième fille, dolorès, le 17 mars 1835. un mois plus tard, ils mirent à nouveau à la voile pour arriver en france au cours de l'automne 1835. la capitaine lucas reçut des félicitations officielles pour son sauvetage du navire au large du cap horn et son invention d'un gouvernail de secours. le capitaine lucas resta dans la marine, mais laissa sa famille à rochefort. il devint assez réputé comme marin et auteur d'un certain nombre d'articles techniques et sur l'administration maritime. en juillet 1838, augustin abandonna le commandement d'un des meilleurs bateaux de la marine marchande française et se rendit à paris pour lancer l'idée d'un bateau-école pour officiers de la marine marchande. il n'hésita pas à proposer un voyage autour du monde avec un équipage de cadets qui recevraient leurs instructions dans toutes les phases de la manœuvre d'un navire. malgré les encouragements gouvernementaux, il lui prit plus d'une année à recruter 42 cadets français et 3 passagers, plus 13 belges portés comme passagers, mais qui étaient en réalité des cadets. le prix du voyage d'instruction de deux ans projeté était 5000 francs, ce qui n'était pas une petite somme en ce temps-là. finalement, le capitaine lucas trouva un trois-mats de 110 pieds de long et de 370 tonneaux, l'oriental, dont l'armement fut terminé pour septembre 1839. les officiers du bord comprenaient jean-françois briel, mari de sa soeur louise-augustine et un jeune frère de mme lucas faisait partie de l'équipage. au dernier moment, mme lucas et ses deux filles, ainsi que la sœur d'augustin, mm...


5. Daniel Chauvigné ⌘ Aux origines de la famille

...daniel chauvigné ⌘ aux origines de la famille en 1789, louis chauvigné, bourgeois aisé de la région tourangelle, son épouse anne et leur fils augustin, s’enfuirent au début de la révolution française en russie où ils ouvrirent un commerce de fourrures. un frère, honoré nait en 1798. en 1809, ils regagnèrent la touraine où louis et anne vécurent de leurs rentes. dix années plus tard, honoré s’engagea dans l’armée napoléonienne. lors de la campagne de russie, sa connaissance de la langue slave et son grand courage lui permirent de monter rapidement en grade et c’est avec celui de capitaine des dragons qu’il revint de cette expédition … mais également avec les pieds gelés ! il fut donc réformé. puis il fonda une famille en se mariant avec françoise belluot. sa pension et les francs or de sa légion d’honneur lui suffirent pour vivre aisément et élever son fils louis-adolphe né le 23 mai 1836. celui-ci épousa une blanchisseuse, clémence ride, née le 19 mai 1838. il s’installa avec sa femme à la riche, près de tours, comme cabaretier. le couple eut deux garçons, adolphe et alfred. louis adolphe chauvigné alfred fit des études de comptable et se maria avec eugénie, une chapelière de tours mais ils n’eurent pas de descendance. alfred était un gai luron qui se contentait de tenir la caisse et de courtiser les clientes pendant que son épouse besognait dans l’arrière boutique. grand et bel homme, il avait du succès auprès des femmes et certains disaient que s’il n’avait pas d’enfant légitime, ses bâtards étaient nombreux ! les chapeaux étaient fort prisés au xixe siècle et au fil des ans le magasin s’agrandit au point de devenir le plus célèbre de la ville. alfred acheta alors une superbe propriété sur une colline de joué-lès-tours jouissant d’une vue superbe sur tours et la vallée de la loire. il acheta également un château en bretagne pour placer ses économies. mais à quarante a...