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1. Amérique 🗽 Les Huguenots au Canada

...england and other european maritime powers, never accepted the pope's right to parcel up the world. france claimed rights to the western hemisphere on the basis of jacques cartier's voyages in the 1530s. preoccupied by the wars of religion, the french were not very aggressive in the colonization race. nevertheless, fishermen from normandy, brittany and the basque country were active in the sea off what is now canada for as much as three decades before cartier and in the middle of the 16th century they began to trade in furs. many of the fishermen and the fur traders sailed from ports like st. malo, dieppe, and la rochelle, areas that, as calvinism spread, became huguenot centers. furthermore, the huguenots had a virtual monopoly on the processing of beaver fur; they held a chemical formula for treating the fur that enabled them to maintain their control of the european beaver fur market even after the revocation of the edict of nantes resulted in their diaspora. if fishing took the french to the st. lawrence valley, it was the fur trade that dept them there. on november 8, 1603, de monts, who had formed a company in partnership with a number of french coastal merchants, obtained a commission from (king) henri iv authorizing him as viceroy to possess and settle that part of north america located between the fortieth and forty-sixth degrees of latitude, extending roughly from the present-day city of philadelphia, pa to north of montreal, canada and described in the commission as la cadie, canada, and other parts of new france. cartier had given the name acadia to the northern coastal area of north america, encompassing nova scotia and cape breton island, prince edward island, new brunswick and part of (the state of) maine. although often confused with the greek province, arcadia considered to represent the virtues of archaic simplicity, acadia had o classical connotations. the name was based on a micmac indian...


2. Louis Auguste À l'origine de la quête

...louis auguste À l'origine de la quête je suis le conteur de la tribu nous sommes des émigrants, des pionniers, des conquérants, nous avons colonisé l’amérique. nous nous y sommes pris à trois fois, au xvi° siècle, au xix°, au xx°, même peut-être quatre si jonathan y fait souche, car chez lui vient de naître au xxi°e siècle une petite new-yorkaise. et encore, là, je ne vais pas vous conter aujourd’hui tahiti, le chili, le japon, l’algérie et le continent noir où nous avons posé nos marques. ni la diaspora du grand dérangement au xviii° siècle quand les goddams (ces maudits anglais …) nous on déportés. encore que... en fait, l’expulsion des nos aïeux acadiens et leur ré-implantation en france, à belle-isle-en-mer, la découverte de leur parcours, c’est bien ce qui a déclenché ma passion pour la généalogie. j’avais 21 ans en 1972 et je suis devenue le conteur de la tribu. toutes les tribus en ont un, et c’est ce jour là que j’en ai reçu la marque. nous étions tous autour du lit en septembre 1972 quand mon grand-père s’en est allé, ses fils, ses petits-enfants. madeleine, notre belle-grand-mère, sa seconde épouse, nous a entraînés, nous les 5 petits-enfants au rez-de-chaussée, dans le magasin : « j’ai quelque chose pour vous, c’est votre histoire, votre grand-père avait prévu de vous la confier. suivez-moi. » nous sommes descendus encore, à la cave elle nous a placés au pied de l’escalier et a remonté trois marches. chaque marche recouvrait un tiroir, chaque contre-marche avait un bouton de bois et une étiquette. madeleine ouvre le tiroir « belle-Île » et en sort un dossier. (je l’ai encore) je m’en empare, je suis l’aînée, après tout… madeleine remonte à l’étage, les trois plus jeunes ne sont pas passionnés et partent explorer les hangars. je reste avec mon cousin gildas, il a 18 ans, et nous, c’est le dossier que nous explorons. nous n’avons pas vu le temps passer, nous ...


3. Conteur de la tribu 🗺 Généa50

...conteur de la tribu 🗺 généa50 nous sommes des émigrants, des pionniers, des conquérants, nous avons colonisé l’amérique. nous nous y sommes pris à trois fois : au xvi° siècle (les pionniers d’acadie) au xix° (les lucas de belle-Île vers la virginie de l’ouest), au xx° (là, c’est mon beau-frère en 1954), même peut-être quatre si mon petit-neveu jonathan y fait souche, car chez lui vient de naître au xxi° siècle une petite new-yorkaise. et je pourrais encore vous conter tahiti, le chili, le japon, l’algérie et le continent noir où nous avons traîné nos guêtres. sans oublier saint-pétersbourg, le portugal et la diaspora du grand dérangement au xviii° siècle quand les goddams (ces maudits anglais …) nous ont déportés. en fait, l’expulsion des nos aïeux acadiens et leur ré-implantation en france, à belle-isle-en-mer, la découverte de leur parcours, c’est bien ce qui a déclenché ma passion pour la généalogie. j’avais 21 ans en 1972 et je suis devenue le conteur de la tribu. toutes les tribus en ont un, et c’est ce jour là que j’en ai reçu la marque. l'origine de la quète nous étions tous autour du lit en septembre 1972 quand mon grand-père s’en est allé, ses fils, ses petits-enfants. madeleine, notre belle-grand-mère, sa seconde épouse, nous a entraînés, nous les 5 petits-enfants, au rez-de-chaussée, dans le magasin « j’ai quelque chose pour vous, c’est votre histoire, votre grand-père avait prévu de vous la confier. suivez-moi. » nous sommes descendus encore, à la cave. elle nous a placés au pied de l’escalier, puis a remonté trois marches. chaque marche recouvrait un tiroir, chaque contre-marche avait un bouton de bois et une étiquette. madeleine a ouvert le tiroir « belle-Île » et en a sorti un dossier. (je l’ai encore) je m’en suis emparé, je suis l’aînée, après tout… madeleine est remontée à l’étage, les trois plus jeunes n'étaient pas passionnés ...