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6. Claude Chauvigné 🎤 Interview (vidéo et texte)

...t number 031interview of claude chauvigne monday, 12 june 2000 this interview is being held at the barbee branch library, oak island, north carolina. steven heffner is interviewing mr. claude chauvigne. mr. chauvigne was not a veteran of world war ii, but he was a french national, living in france at the outbreak of the second world war and the occupation by the germans of his country. interviewer: mr. chauvigne would you please give us your full name and address. chauvigne: my name is claude chauvigne and i live on 40 deer mountain road, pittsboro, north carolina. the zip code is 27312. interviewer: and give us your date of birth please, mr. chauvigne. chauvigne: i was born the 6th of june 1929. interviewer: now you were a french national at the time of world war ii. chauvigne: yes, i was a little kid. when the war broke out, i was 10 years old. interviewer: and where were you living? chauvigne: i was living in coulombiers, a very, very small village south of poitiers, the capital of poitou in southwestern france. interviewer: and whom were you living with? chauvigne: i was living with my brother at my grandmother's house. interviewer: and where were your parents at this time? chauvigne: my parents worked in africa and we came back to france in 1938 or beginning '39 and we remained, the two of us, my brother and i, with my grandmother for the whole war. interviewer: and were you in school at this time? chauvigne: yes, i was first in grade school and then very shortly after, i went to the lycee, the high school in poitiers and that's where i spent five years. almost every weekend, we would go visit my grandmother. interviewer: why were your parents in africa? chauvigne: well my father was working in mining and at the end of '38 i think, there was an epidemic of some sickness, i forgot which one and then my mother took us to france. but then, later on, the war broke out and my parents intend...


7. Daniel Chauvigné ⌘ Aux origines de la famille

...uché comme radio sans filiste sur un baleinier qui exerce la chasse des cétacés au large des côtes gabonaises. les prises harponnées sont amenées à port-gentil où est installée une usine de traitement d'huile de baleine. les escales y sont fréquentes et, au cours de l'une d'elles, il fait la connaissance du directeur d'une grosse compagnie commerciale française, la s.a.i.b.o. (société anonyme industrielle du bas ogoué). celui-ci cherche un gérant pour diriger sa société à libreville. l'expérience qu'avait acquise mon père en gold-coast et sa formation de comptable ont incité ce directeur à lui proposer cet emploi. ils sont devenus, par la suite, de très bons amis. en 1928, au cours d'un congé en france, serge il fait la connaissance d'une poitevine, germaine bourlaud, qu'il épouse et qui fut sa fidèle compagne jusqu'à la fin des ses jours. la famille bourlaud possède, et habite encore, une superbe propriété nantie d'une grande maison bourgeoise à coulombiers, petit village à 16 kilomètres au sud de poitiers. un ami colonial avait offert au père de germaine de nombreuses armes de chasse africaines qui sont exposées sur d'énormes panoplies recouvertes de toile rouge, dans le grand escalier qui mène à l'étage. il avait même donné un gros pélican empaillé qui perche sur l'armoire louis xiii du vestibule. initialement, ce volatile était destiné à armer un chapeau de la maîtresse de céans, mais il était trop lourd et disproportionné pour que ma grand-mère en fasse un accessoire vestimentaire!... ces souvenirs africains et les histoires fascinantes narrées par l'ami de la famille, à chaque retour de ses contrées lointaines, ont bercé l'enfance de ma mère et passionné toute une génération familiale. c'est donc, sans appréhension mais avec passion que germaine a suivie son colonial mari à libreville. non loin de cette capitale gabonaise, mon père a acheté un terrain à achouka, petit village proche de lamba...


8. Serge Adolphovitch Chauvigné 🌴 Biographie par son fils Daniel

...s à port-gentil où est installée une usine de traitement d'huile de baleine. les escales y sont fréquentes et, au cours de l'une d'elles, il fait la connaissance du directeur d'une grosse compagnie commerciale française, la s.a.i.b.o. (société anonyme industrielle du bas ogoué). celui-ci cherche un gérant pour diriger sa société à libreville. l'expérience qu'avait acquise mon père en gold-coast et sa formation de comptable ont incité ce directeur à lui proposer cet emploi. ils sont devenus, par la suite, de très bons amis. en 1928, au cours d'un congé en france, serge il fait la connaissance d'une poitevine, germaine bourlaud, qu'il épouse et qui fut sa fidèle compagne jusqu'à la fin des ses jours. la famille bourlaud possède, et habite encore, une superbe propriété nantie d'une grande maison bourgeoise à coulombiers, petit village à 16 kilomètres au sud de poitiers. un ami colonial avait offert au père de germaine de nombreuses armes de chasse africaines qui sont exposées sur d'énormes panoplies recouvertes de toile rouge, dans le grand escalier qui mène à l'étage. il avait même donné un gros pélican empaillé qui perche sur l'armoire louis xiii du vestibule. initialement, ce volatile était destiné à armer un chapeau de la maîtresse de céans, mais il était trop lourd et disproportionné pour que ma grand-mère en fasse un accessoire vestimentaire!... ces souvenirs africains et les histoires fascinantes narrées par l'ami de la famille, à chaque retour de ses contrées lointaines, ont bercé l'enfance de ma mère et passionné toute une génération familiale. c'est donc, sans appréhension mais avec pa...


9. Europe🗼 Coulombiers selon Jacques

...europe🗼 coulombiers selon jacques selon un texte de jacques bourlaud : coulombiers, 66 route nationale (2005) le fondateur la propriété de famille de coulombiers est pour nous un lieu mythique où six générations se sont succédées dont quatre ont accumulé des souvenirs d’enfance et une septième commence à se pointer. charles capillon, le fondateur, était le fils de charles capillon, originaire de cloué et qui s’était fixé à coulombiers comme boulanger où il avait acquis une aisance confortable et une certaine notoriété. il avait épousé jeanne fauchereau, née elle aussi à cloué. ils ont eu trois enfants : charles (le fondateur) né en 1831 à coulombiers, pierre né en 1833 et magdeleine-clémentine née le 8 mai 1835 à coulombiers et qui devait épouser plus tard françois bourlaud.il avait beaucoup voyagé et son point d’attache était paris. il avait sillonné l’europe pour représenter la maison "vee et guy, droguerie médicinale". il y travaille comme voyageur de commerce jusqu’en 1881 et prend sa retraite en 1882. entre temps, il a fait quelques achats importants. en 1874, une grange à coulombiers, démolie depuis, et qui devait se situer à proximité du jardin bas de la prairie ainsi qu’un terrain de cinq hectares à gauche de la route poitiers-la rochelle à la sortie de coulombiers qui a été vendu beaucoup plus tard. ce devait être situé à l'emplacement du terrain de football actuel, semble-t-il. mais surtout, en avril 1879, il achète le terrain et les bâtiments d’une ancienne auberge et y fait construire la maison où il avait l’intention de se retirer. il nous reste les ...


10. Europe🗼 Coulombiers selon Claude

...europe🗼 coulombiers selon claude claude chauvigné évoque dans une série de nouvelles le village où il a grandi pendant l'occupation allemande. coulignan, c'est un peu de coulombiers et de lusignan aussi. les noms sont changés, c'est romancé, mais si peu et le premier chapitre, la maison de grand-mère est un bonheur qui réveille chez tous ceux qui l'ont vécu une brassée de souvenirs. chers lecteurs, ouvrez votre cœur et lisez cette histoire sans trop sourire. ou bien, souriez gentiment, aimablement. car nous autres de coulignan sommes gens simples et paisibles qui furent, bien innocemment, jetés dans une tourmente que nous ne comprenions qu'à peine et dont nous avons émergé quelques années plus tard miraculeusement sains et saufs. ou presque.que le bon dieu vint à notre secours et nous protégea ne peut faire l'ombre d'un doute. la douce vierge aussi prêta son concours et veilla sur nous. comme toujours. elle ne nous a jamais abandonnés.et puis, il convient de l'admettre, les siècles écoulés (d'aucuns diront peut-être les millénaires) nous ont appris à ne rien prendre trop au sérieux, bien que pain quotidien et toit chaud soient affaires sérieuses à ne pas négliger. notre long passé, incolore certes et sans fracas, nous a de tout temps incités à la prudence. oh, nous ne rechignons pas au labeur, ni à la douleur, puisque telle est la loi, et les saisons ne manquent point de nous rappeler à nos devoirs. mais nous logeons dans les marges et cheminons bas sur nos sillons. voyez-vous, madame l'histoire ne vit que d'actions dramatiques et ronflantes, aussi n'a-t-elle guère à faire de pièces sans intrigue et d'acteurs sans costumes.cependant, pendant l'occupation, nous étions sur scène. comme tout...