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16. Afrique 🌍 Achouka Gabon

...afrique 🌍 achouka gabon [écoutons daniel raconter ces épisodes de la vie de ses parents serge et germaine chauvigné] au cours d'une escale à port-gentil, au gabon, serge chauvigné fait la connaissance du directeur d'une grosse compagnie commerciale française, la s.a.i.b.o. (société anonyme industrielle du bas ogoué). celui-ci cherche un gérant pour diriger sa société à libreville.l'expérience qu'avait acquise mon père en gold-coast et sa formation de comptable ont incité ce directeur à lui proposer cet emploi. ils sont devenus, par la suite, de très bons amis.en 1928, au cours d'un congé en france, serge fait la connaissance d'une poitevine, germaine bourlaud, qu'il épouse et qui fut sa fidèle compagne jusqu'à la fin des ses jours. c'est sans appréhension, mais avec passion que germaine a suivi son colonial mari à libreville.non loin de cette capitale gabonaise, mon père a acheté un terrain à achouka, petit village proche de lambaréné, où il passe son week-end dans une grande case en bois sur pilotis qu'il a fabriquée sur les rives de l'ogoué. il a également embauché des indigènes, qui après avoir défriché la forêt, ont planté des palmiers à huile.le 5 juin 1929, son épouse met au monde, son premier garçon, claude, à l'hôpital de lambaréné dirigé par le célèbre docteur schweitzer, mais la naissance a été enregistrée à port-gentil, cité administrative la plus proche.en 1930, la s.a.b.i.o. cessant son activité, serge et les siens sont rentrés en franc...


17. Afrique 🌍 Lamartine Algérie

...remier adjoint: m. félix aumerat; deuxième adjoint: m. marius cauquil; secrétaire: mm. albert colombaire, françois brandstaetter et françois magnon; khodja : mm. ben omar benatchi et mohammed boukandoura; garde champêtre, crieur public: m. victor gibert; instituteur: m. noël antoniotti à l'école communale de garçons; institutrice: mme brandstaetter à l'école communale de filles; médecin de colonisation : d' reisser, résidant à l'oued fodda; fanfare: les enfants de lamartine, avec m. françois magnon comme chef de musique; curé : m. l'abbé bonnefond ; cantonniers: mm. rochette et weinert. artisans et commerçants en raison de sa situation à l'extrémité d'une route desservant des douars ou fractions de douars et avec la construction du barrage " steeg" ou de lamartine sur l'oued fodda, le village abritait de nombreux représentants des professions libérales, artisans et commerçants. cafetier: m. Étienne guignard; cordonnier: m. arnaudeau; bourrelier-sellier: m. claude autissié; garde des eaux: m. raphaël bois; épiciers: mm. léon boilleau et m. hadj sadok; transport des dépêches: m. laveaux; tailleur de pierres: m. vieilledent; forgeron : m. arevoir; hôtel : m. laveaux; maçons: mm. juan lorenzo et esposito; charron: m. jean-marie artigues. agriculteurs vouée à la céréaliculture, la région située en aval du barrage s'est progressivement orientée vers des productions plus intensives dont la culture fut rendue possible par les perspectives de l'irrigation. c'est ainsi que pour remédier aux rendements insuffisants des céréales, les champs, dans les années qui suivirent la première guerre mondiale, se couvrirent des petits flocons blancs du coton. en raison de leur faible teneur en calcaire les terres étaient propices à la production de pois chiches, lentilles et autres cultures vivrières nécessitant la mise en oeuvre d'une importante main-d'oeuvre locale complétée par des apports saisonniers. parmi les agriculteurs citons le...


18. Amérique 🗽 D’émigrés à réfugiés, les Français en Acadie

...eacute;s par la suite par des artisans. entre 1632 et 1670, on dénombre 143 navires ayant quitté la rochelle pour la nouvelle-france et l’acadie. le dépouillement des minutiers nantais de 1632 à 1732 recense 6 000 engagés ; une faible portion se dirigeait vers la nouvelle-france, le reste étant pour les antilles. le trafic maritime vers la nouvelle-france démontre une régularité suscitée par les marchands rochelais agissant comme correspondants des premiers colons d’acadie et de la nouvelle-france : emmanuel leborgne, marchand catholique, originaire du nord de la france, exerçait un commerce de grains, de victuailles et de vins à destination de port-royal (acadie). de même jacques pépin, marchand protestant, ravitaillait régulièrement québec de 1656 à 1662. la compagnie de la nouvelle-france pour la côte d’acadie, dirigée par claude de razilly (1634-1641), affrétait des navires chaque année pour fournir des vivres transportant à son bord des colons pour peupler l’acadie. au cours des xviie et xviiie siècles. l’émigration française est estimée à environ 75 000 personnes pour la nouvelle-france et l’acadie. la période d’émigration la plus forte se situe entre 1684 et 1700, période qui coïncide avec les campagnes de recrutement militaire. les régions de la bretagne et du sud-ouest, comme celle du centre-ouest fourniront également des recrues. si l’on compare avec la nouvelle-france, l’acadie restait toutefois une contrée sous peuplée : en 1710, l’acadie comptait 1 700 personnes, la nouvelle-france en dénombrait 16 000. une fois arrivés sur place, quelle était la vie de ces émigrés ? nous répondrons à cette ques...


19. Amérique 🗽 Le patrimoine des émigrés français en Acadie

...rc;tes et 16 arpents de terres labourables. l’apport de ce mariage pour melanson se trouve dans la notoriété de sa belle-famille. jacob bourgeois, chirurgien militaire, 33 bêtes à cornes et 20 arpents en valeur et en labour. il quitte la rochelle sur le navire le « saint-françois » en mai 1641 en direction de l’acadie. il est nommé par le gouverneur d’aulney lieutenant à la garnison de port-royal, en plus de ses fonctions de chirurgien. il prend comme épouse jeanne trahan dont il a au moins un fils, germain bourgeois, qui sera marchand pour la colonie. pierre leblanc, 37 ans, 30 bêtes à cornes, 25 arpents labourables. pierre tibaudeau, 71 ans, 30 bêtes à cornes, une dizaine d’arpents en valeur. suivis par d’autres familles, pour n’en citer que quelques-unes : jehan labatte, laboureur, 33 ans, 26 bêtes à cornes et 15 arpents en labour. claude petitpas, laboureur, 45 ans, 26 bêtes à cornes et 30 arpents en labour. guillaume blanchard, vigneron, 25 bêtes à cornes, 20 arpents en labour. il s’embarque sur le navire le « saint-jean » en avril 1636 pour l’acadie. il s’engage pour une durée de cinq ans. au terme de cette période, il retourne en france et fait venir sa famille pour se fixer à port-royal. jean commeau, 43 ans, 25 bêtes à cornes, 10 arpents en valeur. pierre dupuy, 30 ans, 22 bêtes à cornes, 16 arpents en valeur. manuel hebert, 50 ans, 21 bêtes à cornes, 12 arpents en valeur. en regardant de près le graphique " évolution du troupeau de port-royal ", une grande partie de la population, soit 84 personnes, en 1671, possède un troupeau de faible taille (entre 1 et 10 bêtes). la propension du cheptel tend à régresser en 1701 pour les propriétaires ayant u...


20. Europe🗼 Coulombiers selon Claude

...europe🗼 coulombiers selon claude claude chauvigné évoque dans une série de nouvelles le village où il a grandi pendant l'occupation allemande. coulignan, c'est un peu de coulombiers et de lusignan aussi. les noms sont changés, c'est romancé, mais si peu et le premier chapitre, la maison de grand-mère est un bonheur qui réveille chez tous ceux qui l'ont vécu une brassée de souvenirs. chers lecteurs, ouvrez votre cœur et lisez cette histoire sans trop sourire. ou bien, souriez gentiment, aimablement. car nous autres de coulignan sommes gens simples et paisibles qui furent, bien innocemment, jetés dans une tourmente que nous ne comprenions qu'à peine et dont nous avons émergé quelques années plus tard miraculeusement sains et saufs. ou presque.que le bon dieu vint à notre secours et nous protégea ne peut faire l'ombre d'un doute. la douce vierge aussi prêta son concours et veilla sur nous. comme toujours. elle ne nous a jamais abandonnés.et puis, il convient de l'admettre, les siècles écoulés (d'aucuns diront peut-être les millénaires) nous ont appris à ne rien prendre trop au sérieux, bien que pain quotidien et toit chaud soient affaires sérieuses à ne pas négliger. notre long passé, incolore certes et sans fracas, nous a de tout temps incités à la prudence. oh, nous ne rechignons pas au labeur, ni à la douleur, puisque telle est la loi, et les saisons ne manquent point de nous rappeler à nos devoirs. mais nous logeons dans les marges et cheminons bas sur nos sillons. voyez-vous, madame l'histoire ne vit que d'actions dramatiques et ronflantes, aussi n'a-t-elle guère à faire de pièces sans intrigue et d'acteurs sans costumes.cependant, pendant l'occupation, nous étions sur scène. comme tout...