Recherche



Résultat de la recherche

Vous recherchiez le terme suivant :chirurgie


Page 1 - 5 sur un total de 16 page(s) , résultats de la recherche classés par pertinence


1. Chroniques familiales 📖 Recensement de l'Acadie de 1671

...chroniques familiales 📖 recensement de l'acadie de 1671 "abrégé du roole des familles de l'acadie fait par sr randin, envoyé à monseigneur colbert, de québec le huie novemb. 1671." source : article recensement de l'acadie de 1671 de wikipédia en français (auteurs) contenu soumis à la licence cc-by-sa. port-royal chirurgien - jacob bourgeois agé de 50 ans, sa femme jeanne trahan aagée de 40 ans, leurs enfans 10, deux de marié un garson et une fille, jeanne, aagée de 27 ans, charles 25, germain 21, marie 19, guillaume 16, marguerite 13, françoise 12, anne 10, marie 7 ans, jeanne 4 ans, leurs terres labourables et en valeur en deux endroit environ ving arpans plus ou moins, leurs bestiaux a cornes 33, leurs brebis 24 laboureur - jehan gaudet aagé de quatre-vingt et seize ans, sa femme nicolle colleson aagée de soixante et quattre ans. leurs enfans jehan aagé 18 ans, leur terre en labour trois arpans en deux places, leurs bestes a cornes six piéces. leurs brebis trois piéces. laboureur - denis gaudet aagé de quarante six ans, sa femme martine gautier aagée de sinquante deux ans, leurs enfans cinq, deux de marié. la première anne gaudet aagée de vingt-cinq ans, la seconde marie aagée de 21 ans, pierre aagé de 20 ans, pierre aagé de 27 ans, marie aagée de quatorse ans tous cinq sans métiers excepté laboureurs. leur terre en valeur six arpens, leurs bestes a cornes neuf piéces treize brebis tant petites que grandes. laboureur - roger kriessy (kuessy) aagé de 25 ans. sa femme marie poirier aagée de 22 ans, leurs enfans une fille marie aagée de deux ans, li na point de terre en labour, leurs bestes a cornes trois piéces, leurs brebis 2 piéces. laboureur - michel de forest aagé de trente trois ans, sa femme mari...


2. Jacques Bourlaud 🩺 Sur le chemin des écoliers

...n camarade. cela l'a plutôt amusé et elle a raconté cette histoire plaisante à ma sœur germaine. donc, méfiance !dès les premières maisons de la rue d'alsace-lorraine, je devais passer sous les fenêtres de ma tante yvonne. cette chère femme, qui était la bonté personnifiée, effectuait presque toujours ses occupations dans une pièce ouverte derrière la maison sur le jardin. elle ne pouvait me voir qu'en se tenant dans son salon dont la fenêtre «donnait» sur la rue. elle ne s'y trouvait que pour recevoir des visites et ses devoirs de maîtresse de maison l'empêchaient alors de jeter un coup d'œil sur les incartades de son neveu lorsqu'il passait sur le trottoir. mais le matin, devant sa porte, je voyais souvent la mère louise qui avait été, parait-il, la nourrice de mon oncle. elle s'activait à astiquer avec énergie la plaque de cuivre. j'allais l'embrasser mais son menton était piquant....plus inquiétante était la rencontre avec l'oncle jules. celui-ci, chirurgien dentiste, avait le don, utilisant son regard professionnel, de découvrir la dent de lait oscillante dans son alvéole... - «tiens ! qu'est ce que tu as là ?» et comme dans un tour de prestidigitation, la dent se retrouvait dans le creux de sa main.... il me donnait alors une petite boite rouge en carton avec un couvercle blanc où on lisait en lettres d'or son nom et son adresse. le soir, la boite était placée sous l'oreiller et, dans la nuit, la sainte vierge y déposait cinquante centimes. la sainte vierge n'a jamais failli à cette tâche !en poursuivant mon chemin, j'arrivais à la hauteur de l'entrepôt de monsieur bourdilleau, le marchand de vin. monsieur bourdilleau avait trois enfants : une fille qui avait été en classe avec une de mes sœurs et qui aidait ses parents dans leur comptabilité, un fils qui avait été au lycée avec mon cousin pierre rat mais s'était arrêté en 3e pour prendre les rênes du chariot avec quoi il allait distribuer les barriques de v...


3. Jacques Bourlaud 🩺 Jeunes années

... magistrature ne me tentait pas du tout . mais la médecine ? mis à part deux cousins installés dans le midi et qui ne venaient que rarement à poitiers il n’y avait pas de médecin dans notre entourage immédiat pour me conseiller sur ce point . cependant l’intérêt que je portais aux sciences naturelles m’inclinait à penser que mes études pourraient en être facilitées. je serai donc médecin colonial . ma sœur et mon beau-frère m’encouragèrent vivement sur cette voie. et les années suivantes me permirent progressivement de réaliser ce projet. j’avais donc choisi une carrière pour pouvoir voyager en des pays nouveaux et aussi pour ne pas être trop écrasé par le travail et bénéficier ainsi de temps libre pour flâner et rêver… comme je me suis rapidement orienté vers la chirurgie et l’obstétrique et que j’ai été le plus souvent seul à mon poste pour exercer ces disciplines, il est facile d’imaginer le nombre de week-ends paisibles et de nuits reposantes que j’ai connus...


4. Jacques Bourlaud 🩺 Prépa à Rochefort

...’École annexe de rochefort nous accueillait dans une ambiance quasi-militaire sans toutefois étouffer en nous les manifestations de l’esprit carabin. chaque matin à huit heures, groupés au pied d’un perron, nous voyions surgir des profondeurs d’un édifice « grand siècle », élégant officier de marine, le médecin-résident de l’hôpital accompagné d’un premier-maître. celui-ci faisait l’appel et nous nous dispersions pour nous rendre dans les services où se déroulaient les stages hospitaliers. comme nous n’étions pas très nombreux et qu’il y avait suffisamment de malades le stage de médecine nous a été profitable . d’autant plus que le chef de service, qui nous enseignait par ailleurs la physiologie et la semeïologie, ne manquait jamais une occasion de nous poser des questions indiscrètes sur son cours que nous avions intérêt à connaître parfaitement si nous voulions éviter des réflexions fort désagréables à entendre. le stage de chirurgie nous paraissait plus romanesque car il nous permettait d’entrevoir le monde mystérieux du bloc opératoire. et les rares d’entre nous qui avaient eu la chance d’être désignés pour aider à opérer un phimosis sentaient leur vanité s’épanouir au soleil de cette consécration chirurgicale. quant au stage de dermato-vénérologie, à l’époque où les premiers sulfamides commençaient à faire une timide apparition, il nous a appris, entre autres choses, à considérer avec une méfiance prudente les grands chiffres lumineux qui ornaient les façades grises d’une rue mal éclairée. les stages étaient suivis de deux heures de cours dans un amphithéâtre archaïque où nous écrivions sur nos genoux, guettant l’heure où nous pourrions enfin apaiser nos estomacs affamés dans un des trois ou quatre restaurants qui nous faisaient des conditions en rapport avec nos moyens financiers. les après-midi étaient aussi bien remplis que les matinées et commençaie...


5. Jacques Bourlaud 🩺 Médecin en relève au Lager-Lazarett XVII B

...le a tiré . avec mon ami polonais koziol, nous nous sommes précipités pour essayer de faire quelque-chose . la sentinelle nous a mis en joue . nous nous sommes arrêtés et, médecins impuissants, nous n’avons pu qu’assister aux derniers instants du prisonnier américain . ce ne fut d’ailleurs pas long car il avait reçu la décharge à quelques mètres et en plein thorax . c’était en 1944 au lager-lazarett xvii b . la convention de genève stipulait que le personnel médical prisonnier de guerre avait le droit d’être relevé après un certain temps de captivité . on fit d’abord appel à des volontaires . il n’y en eut fort peu . alors on désigna des médecins militaires d’active, en choisissant en priorité les plus jeunes. on fit partir également des médecins, pharmaciens ou chirurgiens-dentistes susceptibles d’être appelés par le s.t.o., ainsi que des internes des hôpitaux. donc entre l’été 43 et les premiers mois de 44 la presque totalité du service de santé français était-il assuré par des releveurs. seul parmi une trentaine de médecins français dépendant plus ou moins du stalag xvii b françois dubuc est demeuré en captivité de juin 40 à mai 45. esprit très droit qui ne savait pas se taire et proclamait très haut ce qu’il pensait, il avait été rayé des listes de relève par les soins de l’abwehr (ou police militaire allemande). le médecin-chef allemand ne s’y était pas opposé et on disait même qu’il aurait chargé son cas . en ce qui me concerne j’étais arrivé à l’hôpital du stalag xvii b dans les prem...