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1. Recherches généalogiques 🔎 La branche Bourlaud au XIXe siècle

..., mort assez jeune, fut élu du roi louis-philippe sergent fourrier de la garde nationale. ce qui prouve qu'il savait au moins lire et écrire et qu'il jouissait d'une certaine considération de la part de ses compatriotes de marçay. le troisième eut beaucoup plus de chance et vécût jusqu'en 1903. son enfance fut assez pénible. orphelin de père à sept ans et de mère à douze, il fut élevé dans une petite maison - aujourd'hui en ruine - à moulin-garnier, près de marçay, par sa sÅ“ur, à peine plus âgée que lui et qui, si je m'en rapporte à ce qui m'a été dit, ne devait pas avoir un caractère très agréable. suivant la tradition familiale, il se fit maçon; ce qui lui permit de vivre tant bien que mal. mais, beau garçon, il eut le bonheur de plaire à madeleine capillon. madeleine capillon était une jolie fille portant fièrement la coiffe de coulombiers où son père exerçait la profession de boulanger. la boulangère a des écus, dit la chanson. la dot de madeleine apporta donc un sérieux appui à l'ardeur au travail, à la compétence et à l'esprit d'organisation de françois. abandonnant son activité d'artisan villageois, il fonda en association avec son jeune frère louis - qui avait lui aussi épousé une fille de boulanger - une entreprise à poitiers qui devint, au bout de quelques années, une des plus importante de la ville. ceux de ma génération, même les plus âgés, n'ont pas pu connaître leur arrière-grand-père. en revanche, ils ont beaucoup entendu parler de lui par marie bouchet, sa belle fille, gabriel bourlaud, mon père, ainsi qu'yvonne et jeanne, mes deux tantes. leurs témoignages étaient concordants; ils ne parlaient de françois qu'avec amour filial, beaucoup de respect et même de vénération. il a laissé une réputation d'homme intègre. ses ouvriers le regardaient avec déférence et ses collègues ont eu suffisamment de considération à son égard pour l'élire prÃ...


2. Jacques Bourlaud 🩺 Prépa à Rochefort

...e ce genre : « monsieur x. de la façon dont vous tenez votre bistouri, vous auriez dû depuis longtemps couper le nerf cubital ! donc je le coupe et je vous note en conséquence… » encore une ou deux heures de cours pour terminer la journée et nous n’avions plus qu’à rentrer dans nos chambres pour entreprendre l’assimilation laborieuse de tout ce que nous avions ingurgité. des facéties estudiantines venaient cependant égayer ce programme austère. d’abord des brimades assez édulcorées. en effet le concours d’entrée à l’École de santé navale offrait rarement plus de cinquante places chaque année ; il était donc peu fréquent d’être admis du premier coup, aussi ceux qui « en voulaient » redoublaient-ils volontairement leur première année de médecine pour pouvoir se présenter une seconde fois au concours avec un plus grand nombre de chance. il y avait ainsi une assez forte proportion d’anciens qui contraignaient les nouveaux à chanter des chansons grivoises ou à raconter des histoires plus ou moins croustillantes. les récalcitrants se trouvaient très rapidement allégés de leurs vêtements superflus et même nécessaires. le premier mai, nous nous procurions des canotiers (couvre-chefs qui étaient déjà démodés depuis quinze ans) et nous circulions à travers les rues de rochefort en chantant tout le répertoire de salle de garde jusqu’à ce que la police vienne mettre fin à nos ébats. mais comme à cette époque les rapports entre flics et étudiants n’étaient pas encore trop envenimés, on nous laissait quelques minutes pour nous faire photographier sur les escaliers de la poste avant la dislocation du monôme. enfin si, par hasard, des chansonniers de second ordre venaient à rochefort y présenter un spectacle de « variétés », nous trouvions toujours le moyen d’y ajouter un numéro de notre crû plus ou moins apprécié du public. ce qui m’amène à signaler la pauvreté des distractions que ...


3. Jacques Bourlaud 🩺 En guise de conclusion

...jacques bourlaud 🩺 en guise de conclusion quarante années se sont donc écoulées à vagabonder d’un bout à l’autre de la planète dans le but de "porter la science au pays des bantous", comme dit la chanson de l’école de santé navale ; c’est à dire en essayant le plus honnêtement possible d’accomplir son métier de médecin sous toutes les latitudes. je pense qu’il est superflu de s’appesantir sur les sentiments nostalgiques qui remontent par moments à la surface mais qu’il vaut mieux considérer qu’un chapitre nouveau s’est ouvert devant nous où il y a encore à découvrir beaucoup de choses qui éveillent notre curiosité ou alimentent notre amour. coulombiers : juin 1983 kerstran en brec’h : mai 2003 jacques bourlaud nous a quittés le 14 juillet 20...


4. Amérique 🗽 Enfin retrouvés ...

...amérique 🗽 enfin retrouvés ... une chanson de daniel léger pour les rencontres 2009 du congrès mondial acadie...


5. Amérique 🗽 Évangeline par Longfellow

...r le vallon dans la paix sans oser cependant y descendre jamais. c'est là qu'apparaissaient, charmantes et coquettes, les maisons du hameau qui toutes étaient faites avec du bois de chêne, ou d'orme ou de noyer. comme le paysan bâtissait son foyer, dans la terre normande, alors que sur le trône s'asseyaient les henri. un chaume frais et jaune arrangé par faisceaux, recouvrait tous les toits; des lucarnes laissaient, par les châssis étroits, pénétrer le soleil jusqu'au fond des mansardes. lorsque tournant au vent, les girouettes criardes s'illuminaient des feux d'un beau soleil couchant, dans les beaux soirs d'été, lorsque l'herbe du champ exhalait son arôme et tremblait à la brise, sur le seuil de la porte avec leur jupe grise, leur blanche capeline et leur mantelet noir, les femmes du hameau venaient gaiement s'asseoir, et filaient leur quenouille; et les brunes fillettes unissaient leurs chansons au bruit clair des navettes tournant sur les métiers leurs essieux de roseau, au joyeux ronflement du rapide fuseau. le pasteur du village, humble et vénéré prêtre, alors ne tardait pas d'ordinaire à paraître. en le voyant venir d'un pas majestueux tous les petits enfants cessaient leurs bruyants jeux, leurs courses dans les prés, leurs cris de toutes sortes et retournaient s'asseoir en rang devant les portes. arrêtant leurs fuseaux, les femmes se levaient, et, par des mots polis, toutes le saluaient. bientôt les laboureurs revenant de l'ouvrage a l'étable menaient leur pesant attelage. le soleil émaillait la pente du côteau: et ses derniers rayons, comme des filets d'eau, jusques au fond du val, glissaient de roche en roche. de sa voix argentine au même instant la cloche annonçait l'angélus et le déclin du jour. et, pardessus les toits et les monts d'alentour, on voyai...