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1. Chroniques familiales 📖 L'origine des métis au Québec

...chroniques familiales 📖 l'origine des métis au québec un gros mensonge, un texte de pierre montour. ou pour le dire autrement : secouez l'arbre (généalogique) d'un québecois, il en tombera toujours des plumes. mon nom est pierre montour, je suis né au début des années 50 à montréal, province de québec. je ne suis pas un "méchant séparatiste" ni un vilain terroriste québécois voulant la séparation du québec du restant du canada, comme le veut une certaine image négative des québécois véhiculée aux états-unis. j'ai vécu une enfance normale, avec ses joies et ses peines, comme tous les gamins et gamines de montréal. je me suis intéressé à la question de mes origines indiennes vers l'âge de 12 ans, en entendant mon grand-père, hervé montour, mes oncles et mon père parler de l'existence d'une indienne dans l'arbre généalogique familial. l'idée semblait irriter mon père qui refusait obstinément d'en parler, comme la majorité des canadiens-français de l'époque niant tout métissage que ce soit. mon grand-père a alors demandé à son neveu, lionel montour, oblat, de dresser l'arbre généalogique familial. quelques temps plus tard, "linel" a livré un arbre "plein de trous", où l'on ne retrouvait que l'existence d'une indienne sokokise unie à louis couc dit montour, le frère de mon ancêtre angélique couc dite montour. en d'autres mots, mes sœurs, mon frère et moi n'avions pas ce qui était convenu d'appeler du "sang indien" coulant dans nos veines. j'en ai reparlé une fois avec mon père, plusieurs années plus tard, aux funérailles de mon grand-père. les traits de ce dernier repos...


2. Recherches généalogiques 🔎 Laurent Granger

...ée le 26 octobre 1719, âgée de « presque 70 ans » (ce qui recoupe sa date de naissance de 1650). (sources : registres de la paroisse de saint-jean-baptiste, port-royal) d’autres recherches évoquent l’hypothèse d’un laurent granger venu de la colonie américaine de plymouth (où se trouvaient des granger à l’époque) ou même d’un laurent granger protestant, mais poitevin, car sur la liste des protestants fugitifs du poitou, dressée par le pasteur jean rivière, se trouvaient des granger, comme des landry d’ailleurs … on peut donc en déduire ... ce que vous voulez, tant que l'on n'aura pas plus d'éléments probants.jacques nerrou écrit ceci en août 2009 dans racines et rameaux français d'acadie n°46. les origines de laurent granger. cette page est un peu une mise au point car beaucoup d’acadiens tant au canada qu’en france ont pour ancêtre laurent granger. aujourd’hui, certains sites sur internet nous donnent même les noms et prénoms des parents’. cette dernière affirmation n’est pas fiable du tout, tant que les preuves en actes ou documents officiels de l’époque ne sont pas trouvés. le recensement de 1671 du père molin nous donne : matelot - laurent grange aagé de 34 ans, sa femme marie landry aagée de 24 ansleurs enfans deux, margueritte aagée de 3 ans, pierre aagé de neuf mois, leurs bestes a cornes cinq etsix brebis, leurs terres labourables quattre arpans. ancêtre de nombreux bellilois, les origines de laurent granger ne sont pas connues. il serait né vers 1643 à plymouth. aujourd'hui rien ne permet de dire que ses parents étaient anglais. à l’époque ce patronyme est très répandu, on le trouve en bretagne, en normandie,...


3. Recherches généalogiques 🔎 Le Micmac de la Daussy

...udet d’acadie. ceci est totalement impossible car en 1668, à la naissance de jean gaudet, fils de jean gaudet et marie daussy, notre jean gaudet acadien était à port royal marié avec nicole colleson. pourtant le nom daussy figure toujours dans de nombreuses généalogies acadiennes. le père bergeron lui même a avoué s’être trompé sur ce point. (article paru dans société généalogique canadienne française. vol. 40, # 4, p. 299.) certains auteurs pensent que sa première femme serait en fait d’origine micmac, ce qui n’est pas très facile à prouver. dans son ouvrage « une colonie féodale en amérique » edme rameau fait allusion dans une note à une branche métisse de cette famille. "source : rapport de desgouttins du 2 octobre 1702 et les recensements de 1686-93-98 etc (archives de la marine) ce nom s'écrit gaudet ou godet et les membres de cette famille sont très nombreux, non seulement au nouveau-brunswick, mais aussi au canada et en louisiane. il y avait aussi une branche métisse de cette famille sur...


4. Jacques Bourlaud 🩺 Saint-Pierre et Miquelon

...te;pondait plus aux exigences modernes aussi son remplacement avait-il été envisagé et un chantier avait été ouvert tout à côté . le travail ne manquait pas . nous étions quatre à l’assurer : deux médecins des troupes coloniales et deux médecins civils contractuels âgés, l’un étant en fonction à miquelon , l’autre s’occupant à saint pierre de la médecine scolaire et de l’hygiène publique . c’est là, sous le regard d’alfred salaün que je me suis réellement orienté ers la chirurgie et l’obstétrique . nous étions assez bien équipés et pouvions effectuer un travail varié . ce qui était nécessaire car les évacuations sanitaires étaient difficilement réalisables . la france était trop loin et les traitements au canada sous la dépendance d’un déblocage de devises en faveur du malade . mon intention n’est pas de décrire la pathologie propre aux saint-pierrais mais j’ai toutefois été frappé par l’aspect flambant de quelques épidémies constatées à cette époque . ce qui s’explique très bien par l’insularité établissant un barrage entre les habitants et le monde extérieur . de ce fait les défenses naturelles de l’organisme ne se constituent pas et lorsqu’un virus est introduit, il rencontre des terrains neuf et s’en donne à cœur-joie (si l’on peut s’exprimer ainsi…) . en 1949, une coqueluche s’est étendue des enfants aux adultes, faisant tousser lamentablement les solides pêcheurs de morues . en 1951, ce fut une grippe, heureusement sans gravité, qui a mis les trois-quarts de la p...


5. Évangeline Soyer 🌏 Courte autobiographie

...Évangeline soyer 🌏 courte autobiographie on m'a souvent demandé d'écrire une courte description de ma vie et je vais donc dédier celle-ci à ma sœur adrienne. je suis née à toronto, canada, de parents français. mon enfance s'écoula au canada, où je suis allée en classe, mais pas en france. mon grand-père maternel, auguste (augustin) lucas, époux de zoé gallais, se maria à rochefort, en france, en 1830. il était capitaine de navire armé par l'état et la plupart du temps fut employé à la mer, voyageant autour du monde. son premier enfant, mathilde, cependant naquit à rochefort. quand le baby eut environ 6 mois, elle fut laissée à ses grands-parents gallais en france et pendant 2 ans, pas un mot ne fut reçu des parents. a son retour, le grand-père lucas raconte sa dure expérience à la mer. en doublant le cap horn, une violente tempête d'hiver les surprit. pendant 40 jours, ils furent avec le résultat que le "trophée mathilde", eut le grand mat cassé et perdit son gouvernail !!! le navire entier fut couvert de glace, avec seulement 2 heures de jour, par moments, il y avait peu de temps pour la fonte de la glace. l'eau douce commença à manquer. 4 nœuds en 24 heures fut tout ce que le trophée mathilde put réaliser. finalement, en arrivant à valparaiso, au chili, ma grand-mère mit au monde dolorès lucas, ma mère. c'était le 17 mars 1835, pendant que le navire était en réparation. un mois s'écoula, puis le navire put faire route vers la france. le voyage dura 5 mois. grand-père retourna alors à la mer, laissant sa femme et ses deux enfants à rochefort. a son retour, il abandonna son commandement, mais son amour de la mer le reprit. le nouveau voy...