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6. Katryne 🦉 Plaidoyer pour la nuit vraie

...katryne 🦉 plaidoyer pour la nuit vraie crédit photos : © cécile cadel crédit vidéo : © phi83200 j'aime la nuit. pas la nuit blanche des noctambules, ni celle des illuminations de noël. encore que la nuit bleue-diode dont les extra-terrestres ont marqué le village revêtait un charme étrange à noël passé. non, la nuit que j'aime, c'est la nuit noire, la nuit profonde, la nuit vraie. celle des quarts en mer où l'on est seul sous les étoiles celle du lit tiré sur la terrasse les soirs d'été celle des heures passées sur le toit avec le télescope. aussi quand l'éclairage public a inondé mon chemin, je me suis battue bec et ongles contre cette invasion. j'ai argué que mon cadre de vie en était tout révolutionné : à quoi bon choisir la campagne si la nature est refoulée par un progrès indésirable ? en vain : la civilisation a donc envahi mon chemin (côté lumière, s'entend, car c'est toujours l'âge de pierre côté chaussée, égouts ou telecom) j'ai donné mon télescope, les lumières de la ville ne sont plus un émerveillement lointain au fond de la vallée, mais une réalité proche, une promiscuité agressive, un éblouissement envahissant. je dois étouffer pendant les nuits d'été derrière les volets fermés. et un supplément de dépenses personnelles pour la climatisation s'ajoute aux suppléments de dépenses mutualisées car le surcoût énergétique de l'éclairage public va peser sur les impôts communaux. et là je n'aborde même pas les arguments écologiques. je vous laisse les réciter tous seuls, vous les connaissez p...


7. Louis Auguste À l'origine de la quête

... notre famille. puis il a mené l’enquête pour retrouver les cousins d’amérique contemporains. et ils les a retrouvés après plus de 100 ans de séparation.mais ce n’était pas tout. en déroulant les fils de la généalogie belliloise, entre 1950 et 1970, à une époque où ce n’était pas encore la mode, eugène avait exposé la descendance belliloise des colons acadiens déportés en 1755. ce devenait passionnant, romantique parce que tragique. et nous pouvions remonter encore jusqu’aux pionniers du nouveau monde.nous avions des dates, nous avions des noms, nous avions des histoires et de l’histoire. avec gildas, il ne nous restait plus qu’à raconter. et à colmater les brèches.mais ça, c’est une histoire de bretagne, c’était juste pour expliquer comment lui et moi sommes impliqués dans la généalogie, comment nous avons travaillé ensemble (mais à distance) pendant toutes ces années. pour revenir à la généalogie normande, notre grand-père georges cadel le normand a rencontré la bretonne de belle-Île, anna samzun, à lorient après guerre, la grande guerre s'entend. c’était elle, la descendante des acadiens.notre grand-père georges est né en algérie, en 1893. son père louis-auguste y était fonctionnaire, militaire depuis 1891 : il était chef guetteur instructeur dans les sémaphoristes. sa pension lui est accordée par décret du 1er février 1913, à la veille de ses 50 ans. jouissance de la pension au 25 octobre 1912, après 39 ans 1 mois 24 jours de service. c'est l'histoire de louis-auguste que je vais raconter.en 2005, nous en savions bien peu encore, quand gildas s'est rapproché du cercle généalogique de la manche qui nous a procuré une copie du registre matricule de la marine pour louis auguste cadel. mias nous n'avons à ce jour trouvé que pour la normandie. ...


8. Nico 🎁 Un jour, une surprise avec Nico Cadel et Marie Épineau

...nico 🎁 un jour, une surprise avec nico cadel et marie Épineau ...


9. Nico 🎁 Deux jeunes globe-trotters créent la box « un jour, une surprise » pour faire plaisir à ses proches

...nico 🎁 deux jeunes globe-trotters créent la box « un jour, une surprise » pour faire plaisir à ses proches le jeune couple sarthois, marie epineau et nicolas cadel, allie voyage et business à travers une idée novatrice avec leur box à offrir en cadeau « un jour, une surprise ». marie epineau et nicolas cadel présentent leurs box « un jour, une surprise » avant de repartir sur les routes du monde. | ouest-france ouest-france publié le 06/04/2023 à 12h29 marie epineau et nicolas cadel, deux sarthois, sont épris de voyages. ils se sont rencontrés lors d’un covoiturage il y a huit ans, lui était dans la gestion de projets et elle, directrice artistique. « tout de suite, ça a matché entre nous et nous avons, durant trois ans, voyagé ensemble tout en mûrissant notre projet d’entreprise qui devait être compatible avec notre soif de découverte du monde. » un jour, durant une période de confinement, ils ont voulu faire un cadeau personnalisé à un proche qui pourrait durer dans le temps. ils ont eu l’idée de faire un cadeau par jour et ça a beaucoup plus. l’idée de la box « un jour, une surprise » était née. marie epineau a créé le design des boîtes, le site internet, la communication globale pendant que nicolas cadel gérait les fournisseurs, la logistique.des box toutes faites ou des box à construire sur le site, chacun peut soit choisir des box toutes faites à thème et moduler la durée, soit construire sa box de a à z (produits, durée). ainsi, le destinataire ouvre la box et découvre un cadeau par jour sur la durée choisie par ceux qui ont voulu lui faire plaisir. « on peut offrir une box à n’importe qui, quels que soient son âge...


10. Conteur de la tribu 🗺 Généa50

...nt, à la bibliothèque du congrès où un exemplaire avait été déposé. mais ce n’était pas tout. en déroulant les fils de la généalogie belliloise, entre 1950 et 1970, à une époque où l’acadie n’était pas encore un atout marketing pour le tourisme de l’île, eugène avait exposé la descendance belliloise des colons acadiens déportés en 1755. ce devenait passionnant, romantique parce que tragique. et nous pouvions remonter encore dans l'arbre, jusqu’aux pionniers du nouveau monde.nous avions des dates, nous avions des noms, nous avions des histoires et de l’histoire. avec gildas, il ne nous restait plus qu’à raconter. je sais bien que ça, c’est une histoire de bretagne, c’était juste pour expliquer comment lui et moi nous nous sommes impliqués dans la généalogie, comment nous sommes tombés dedans, comment nous avons travaillé ensemble (mais à distance) pendant des années. pour revenir à la généalogie normande, notre grand-père georges cadel le normand avait rencontré la bretonne de belle-Île, anna samzun, à lorient en 1919. c’était elle, la descendante des acadiens. mais bien que je vous sente passionnés, si si si, je ne vais pas vous assommer avec un énième arbre des familles. par contre, je pourrais vous conter une kyrielle de rencontres avec mes aïeux, ou parfois leurs collatéraux, j’ai dans mon sac de marin des tas d’histoires de la mer. avec des normands, et des bretons, et des acadiens. et des bateaux. les coureurs des mers il y a d’abord eu grand-tonton augustin lucas, le capitaine au long cours, un frère de mon aïeul, né à belle-Île en 1804. (voir une courte biographie en annexe)puis le jeune frère de mon arrière-grand-mère, Émile pilard, né en mer, mort en mer (comme dans la chanson d’alan stivell).leur père aurèle pilard, maître voilier, qui participa à l’ère meiji à la modernisation du japon. il y fut envoyé par la france pour contribuer à la création d’une mari...