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1. Chroniques familiales 📖 Liste des 78 familles acadiennes installées à Belle-Île

...marie-brigitte. vit avec cette famille, jean-baptiste, frère de joseph. venant de falmouth et morlaix, installés à kergoyet (le palais). famille 5 : mathurin granger, né la rivière-aux-canards, frère de joseph et jean-baptiste. son épouse marie-geneviève terriot, née la rivière-aux-canards, sœur de marie-josèphe, marie-madeleine, marguerite-marie, élisabeth, marie-blanche et jean-baptiste. leurs enfants : élisabeth-geneviève walburge et marie-modeste. venant de falmouth et morlaix, installés à kergoyet (le palais). famille 6 : charles granger, né la rivière-aux-canards, fils de françoise leblanc et frère de marie. son épouse marie-madeleine daigre, née la rivière-aux-canards. leurs enfants : jean-baptiste, joseph, pierre-mathurin. venant de falmouth et morlaix, installés à tinéué (bangor). famille 7 : françoise le blanc, veuve de charles granger née la grand'prée, mère de charles et marie, sœur d’honoré, charles, simon et marguerite. leur enfants : jean-jacques, anne, françoise. venant de falmouth et morlaix, installés à kernest (bangor). famille 8 : jean granger, né la rivière-aux-canards, frère de pierre, d'anne, marie-josèphe, marguerite, madeleine et françoise, orphelines à charge. son épouse marie-blanche terriot née la rivière-aux-canards, sœur de marie-josèphe, marie-madeleine, marguerite-marie, élisabeth, marie-geneviève et jean-baptiste. leurs enfants: simon-françois, anne-marie et une orpheline à charge madeleine granger. venant de falmouth et de morlaix, installés à bortémont (bangor). famille 9 : pierre granger, né la rivière-aux-canards, ...


2. Augustin Lucas ⚓ Biographie par Eugène Le Guellec

...augustin lucas ⚓ biographie par eugène le guellec bien qu'augustin lucas ne soit pas dans la ligne directe des descendants de pascal et de marie louise lucas, puisqu'il était le frère aîné de cette dernière, son histoire est intimement liée à celle de la famille de pascal. il semble donc approprié et intéressant de faire un résumé de sa vie mouvementée, basé sur un certain nombre de sources. le premier et le plus personnel document qui nous soit parvenu fut l'autobiographie de sa petite fille Évangeline soyer, datée du 29 mai 1941. cependant, son nom apparaissait si souvent dans d'autres documents qu'on en venait à se demander s'il s'agissait d'un seul homme ou de plusieurs. quand les pièces du puzzle furent ordonnées, on obtint le tableau d'un homme aux activités innombrables, qui n'avait pas eu le temps de s'ennuyer beaucoup dans la vie. augustin marie lucas est né à bangor, ou plus probablement au village de kernest, à belle-ile, le 6 mars 1804. il est l'aîné des huit enfants de jean-marie lucas et de marie-anne seveno, frère aîné de marie-louise lucas et de jean louis victor, nos aïeux. il commença à aller à l'école à bangor. a cette époque, la marine prenait de plus en plus d'importance à belle-ile et une carrière de marin était toute naturelle pour un jeune îlien. c'est ainsi qu'augustin prit la mer à 18 ans, d'abord comme pêcheur, puis dans la marine marchand, où il fit trois voyages au long cours entre 1824 et 1826. il fut nommé lieutenant, puis capitaine en second pour un voyage à la guadeloupe, la martinique et la réunion. après avoir suivi des cours de navigation, à bordeaux et à l'École d'hydrographie de rochefort, il reçut son brevet de capitaine en 1831 et fut nommé capitaine au long cours le 2 juin 1832. pendant ce temps, il avait épousé zoé bellais (ndlr : ou gallais, selon les sources), fille d'un aubergiste de rochefort. le mariage eut lieu en 1830, selon melle soyer, mais la date du 2 sept...


3. Augustin Lucas ⚓ Biographie selon Louis Le Kay

...augustin lucas ⚓ biographie selon louis le kay lucas augustin capitaine au long cours, né à bangor le 6 mars 1804. se fit remarquer par son zèle pour le perfectionnement de la marine marchande. zèle auquel il sacrifia le soin de sa propre fortune. son rêve le plus cher avait toujours été de diriger sur un navire spécial l'instruction théorique et pratique de jeunes marins de commerce, en vue de leurs examens de capitaine. il réussit à armer dans ce but, à nantes en 1839, le trois-mâts l'oriental, sur lequel il embarqua avec lui, pour un voyage de circumnavigation, de nombreux élèves. le naufrage du navire à valparaiso le 23 juin 1840 vint malheureusement faire échouer l'entreprise. rappelons que le capitaine lucas inventa un gouvernail de fortune, dont l'usage fut recommandé aux navigateurs de commerce dès 1835, après examen favorable du conseil des travaux de la marine. il imagina aussi pour prendre les ris, une nouvelle méthode que le ministre décida d'expérimenter à bord d'un bâtiment de l'État, sur un avis du même conseil des travaux du 15 octobre 1835. un procédé offrant de l'analogie avec le sien, et portant le nom de mr béléguie, officier de marine, ayant prévalu, lucas réclama sans succès, auprès du ministre, l'honneur de la priorité de l'invention. mort en amérique vers 1854, augustin lucas a laissé un ouvrage intitulé "le candidat", recueil de principes et de notions pratiques pour tous les échelons de la carrière de la marine du commerce. source : l'histoire de belle-ile, par louis le kay, membre de la société polymathique du morbihan, édité à vannes chez g.de lama...


4. Daniel Chauvigné ⌘ Quatrième métier : guide de chasse

... nous sommes partis vers le nord, dans la région de n'delé, où ces animaux sont nombreux. le petit bus, conduit par jean, ouvrait la route avec les américains, le boy et sa caisse popote, ainsi que les armes fixées sur un râtelier. je suivais avec un camion contenant les tentes, le matériel de bivouac et de couchage ainsi que les pisteurs et les porteurs. ces noirs chantaient sans arrêt des mélopées dont les paroles étaient inventées sur place, selon la cause ou l'humeur du moment : - "koutoukoutou ti nound'jou a ga sioni pépé ti gueré ti ala ! (le camion du blanc nous fait avancer sans avoir mal aux pieds !) - toto ti damara a sal m'béto pépé na lé ti n'gombé ! ( le rugissement du lion ne fait pas peur à la balle du fusil !) nous avons installé le bivouac en pleine brousse sur une petite colline qui surplombe la rivière bangoran, bordée de grands arbres formant une galerie forestière. le soir, les toucans et les touracos descendent des pitons voisins pour aller nicher, la nuit, dans ces grands arbres. par centaines, ces oiseaux arrivent en un long vol plané accompagné de cris perçants qui se mêlent à ceux des singes mécontents de partager leur perchoir. le calme revenait avec la nuit qui tombe très vite et fait place à d'autres bruits nostalgiques ou inquiétants : bruissement des feuilles sous le souffle du vent, craquement des arbres dont le bois refroidit, cris et feulements des prédateurs nocturnes, coassement puissant du crapaud-buffle, pétillement du feu entretenu pour éloigner les fauves... lovés dans nos duvets sur nos lits picots dressés sous une tente, nous ne tardons pas à nous endormir car, le lendemain il faut se lever tôt. réveillés vers trois heures du ma...


5. Histoires de bateaux 🚢 La singulière histoire de l'Oriental-hydrographe

...histoires de bateaux 🚢 la singulière histoire de l'oriental-hydrographe ... notre capitaine lucas, quoique d'une famille de bangor, est né le 6 mars 1804 à palais, de jean-marie lucas, tonnelier (en barils à sardine) et de marie-anne seveno. il aurait fait ses études à l'école de m. pener, recteur de bangor. on ne le voit s'embarquer mousse qu'à 18 ans ; pêche, cabotage, trois embarquements à l'état entre 1824 et 1826. puis il s'élève rapidement, et à partir de 1826, voyage à la guadeloupe, martinique et à la réunion, comme lieutenant et second capitaine. il suit deux mois, en 1828, un cours de navigation à bordeaux. enfin,élève de l'école d'hydrographie de rochefort, il est reçu maître le 23 juin 1831 et capitaine au long cours le 2 juin 1832. il se marie à rochefort le 2 septembre. ce mariage, nous en sommes certain, le marquera. il a navigué pour un armateur ostendais, mais surtout à bordeaux. il acquiert rapidement une grande réputation. en 1834, ayant au détroit de magellan perdu son gouvernail, il en invente un de fortune qui lui vaut la notoriété. une lettre de félicitation du ministre pour l'affaire du trophée à valparaiso (1835) achève de le mettre bien en cour. m. gibouin, commissaire de l'inscription maritime à bordeaux adressera au ministre trois lettres d'éloge sur lui. de son côté, lucas, qui a la plume facile, multiplie les écrits : nouvelle méthode pour prendre des ris dans les basses voiles - moyens d'augmenter le recrutement de la marine royale - ouvrage d'instruction pour les futurs capitaines au long cours. tout cela lui monte à la tête et en juillet 1838; il abandonne le commandement de la jeune lise, "le plus beau navire de bordeaux" (et même de france, dir...