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11. Daniel Chauvigné ⌘ Aux origines de la famille

...daniel chauvigné ⌘ aux origines de la famille en 1789, louis chauvigné, bourgeois aisé de la région tourangelle, son épouse anne et leur fils augustin, s’enfuirent au début de la révolution française en russie où ils ouvrirent un commerce de fourrures. un frère, honoré nait en 1798. en 1809, ils regagnèrent la touraine où louis et anne vécurent de leurs rentes. dix années plus tard, honoré s’engagea dans l’armée napoléonienne. lors de la campagne de russie, sa connaissance de la langue slave et son grand courage lui permirent de monter rapidement en grade et c’est avec celui de capitaine des dragons qu’il revint de cette expédition … mais également avec les pieds gelés ! il fut donc réformé. puis il fonda une famille en se mariant avec françoise belluot. sa pension et les francs or de sa légion d’honneur lui suffirent pour vivre aisément et élever son fils louis-adolphe né le 23 mai 1836. celui-ci épousa une blanchisseuse, clémence ride, née le 19 mai 1838. il s’installa avec sa femme à la riche, près de tours, comme cabaretier. le couple eut deux garçons, adolphe et alfred. louis adolphe chauvigné alfred fit des études de comptable et se maria avec eugénie, une chapelière de tours mais ils n’eurent pas de descendance. alfred était un gai luron qui se contentait de tenir la caisse et de courtiser les clientes pendant que son épouse besognait dans l’arrière boutique. grand et bel homme, il avait du succès auprès des femmes et certains disaient que s’il n’avait pas d’enfant légitime, ses bâtards étaient nombreux ! les chapeaux étaient fort prisés au xixe siècle et au fil des ans le magasin s’agrandit au point de devenir le plus célèbre de la ville. alfred acheta alors une superbe propriété sur une colline de joué-lès-tours jouissant d’une vue superbe sur tours et la vallée de la loire. il acheta également un château en bretagne pour placer ses économies. mais à quarante a...


12. Mahlon ✍ L'émigration de Pascal par Mahlon Lucas Henderson

...rd’hui, 125 ans après le départ des lucas, le tourisme prédomine dans la vie économique de l’île, mais la pêche subsiste encore, et l’importance de l’agriculture n’est pas négligeable. les années 1850 étaient une époque troublée et la guerre qui allait éclater quelques années plus tard menaçait déjà. les fils de la famille lucas auraient bientôt à envisager une période de service militaire obligatoire dans l’armée française, perspective qui n’éveillait guère d’enthousiasme chez les bretons à l’esprit indépendant. en cas de guerre, belle-île aurait peut-être à souffrir des conséquences d’une invasion, comme bien souvent dans le passé. en somme, l’avenir n’était pas très encourageant. le capitaine augustin lucas, frère aîné de marie louise, avait émigré aux états-unis en 1849 et son affaire de bois de construction dans le comté de preston, en virginie occidentale, semblait prospérer. les rapports encourageants sur la vie dans son nouveau pays, qu’il envoyait à la maison, contribuèrent sans aucun doute à faire songer aussi son beau-frère à l’émigration. pour ces diverses raisons, l’idée de l’émigration finit par s’imposer et en 1854 françois lucas, le fils aîné de pascal et julien alot (=julius elliot), fiancé d’anne marie, fille aînée de pascal, commencèrent leur aventure en compagnie d’un frère de marie louis. ils s’embarquèrent au havre à bord du « mountaineer » qui les débarqua à new-york le 17 août 1854. ils furent inscrits ...


13. Mahlon ✍ L'ascendance de Pascal et Marie-Louise Lucas

...embre 1775 à marta (à 800 mètres au nord de bangor) il est décédé le 5 octobre 1842 à kernest. marie anne séveno, née le 5 février 1778 à ty nehué (à 1 kilomètre et demie au nord-ouest de bangor). la date de son décès n'a pas été retrouvée, mais elle devait être encore en vie lors de la mort de son époux. mais comme il n'est fait aucune mention d’elle dans la correspondance que nous allons citer plus loin dans le chapitre 4, on peut en déduire qu'elle est morte avant 1865 et il n'est pas improbable que ce soit avant l'émigration de la famille en 1854. ils furent mariés à bangor le 28 avril 1802. sur leur acte de mariage, il est noté que jean est tonnelier de son métier (probablement de barils à sardines) et que marie-anne est journalière. ils ont eu des enfants, comme suit : augustin lucas jean louis victor lucas françois-marie lucas marie-louise lucas élizabeth lucas louise augustine lucas marie jacques lucas pierre jacques lucas marie andrée lucas un éclairage intéressant apparaît dans l'enregistrement des naissances de ces enfants. sur l'enregistrement pour augustin, la signature du père est celle de de "jeanmarie lucas", et pareil pour la naissance de françois. pour jean louis victor et élizabeth, il a simplement signé « lucas », mais pour marie-louise, il est noté sur le registre que le père « dit qu'il ne sait pas signer son nom ». les parents de jean-marie lucas étaient thurrien lucas et jacquette marie jeanne troadec. ils s'étaient mariés le 12 décembre 1775. les parents de thurrien lucas étaient pierre lucas, décédé le 29 février 1845 et marguerite le toussaint. les parents de...


14. Mahlon ✍ La famille de Pascal Lucas

...tait en fait constitué que d'une rangée de maisons accolées, dans le style breton. a ce jour, seules une maison ou deux ont été ajoutées. pascal et marie-louise se sont mariés à bangor le 9 novembre 1830. le certificat de mariage les liste tous deux comme cultivateurs. ils s'installèrent à kernest. il est probable que la nouvelle famille fut logée par une extension de la rangée de maisons. selon la tradition, pascal aurait habité la dernière maison de la rangée, celle avec une soupente qui permettrait de loger une future famille nombreuse. la maison est toujours debout, bien qu’elle ait été modernisée pour servir de résidence de vacances, sans toutefois avoir perdu l’essentiel de son style breton. pascal et marie-louise ont eu 9 enfants, tous nés à kernest : anne marie lucas, née le 1er novembre 1831 françois augustin victor lucas, né le 10 juillet 1834 marie anne lucas née le 18 septembre 1836 jean-marie émile lucas, né le16 janvier 1839 victor jean louis lucas, né le17 juillet 1841 marie clémentine lucas, née le 20 janvier 1844, décédée le 22 février 1845 jean marie augustin lucas, né le 11 mai 1846 eugène albert prosper lucas, né le 23 mai 1848 louise philomèna lucas, née le 22 avril 1851 à l’exception de marie clémentine, tous ont survécu pour faire le voyage vers les états-unis. la famille était propriétaire d’une ferme et l'exploitait pour les récolte et l’élevage du bétail. la terre était rocailleuse et balayée par le vent, mais avec une organisation minimale, permettait de vivre modestement au prix d’un dur labeur. les hommes et les femmes de belle-isle ne rechignaient pas au ...


15. Mahlon ✍ Les débuts américains de la famille Lucas

...mahlon ✍ les débuts américains de la famille lucas le choix d’une installation dans le comté de taylor semble provenir en ligne directe du passé de commerçant du capitaine augustin, même si ce dernier avait perdu toute illusion sur ses perspectives dans le commerce du bois de construction et avait déménagé à cincinnatti. Étant donné que les activités d'augustin avaient été localisées dans le comte attenant de preston, il avait du organiser des arrangements préliminaires, au moins pour l'installation. françois et julien devaient être dans les parages pour accueillir le reste de la famille. ils arrivèrent à grafton en hiver, et apparemment passèrent quelque temps en ville. selon une anecdote, relatée par mon grand-père john, avec quelques autres garçons, ils jouaient sur une colline du voisinage. ils grimpaient jusqu’en haut de la colline, criaient : « allez ! enfer et damnation ! allez ! », puis sautaient sur la luge et se lançaient en décollant au départ. une voisine qui avait entendu cela, vint voir marie louise : « madame lucas, savez-vous comment vos garçons parlent ? ». quand les garçons furent de retour, on leur demanda où ils avaient bien pu ramasser ce vocabulaire anglais. john répondit que c'était ce que le capitaine du navire disait quand le bavaria n'allait pas comme il le souhaitait, et qu’il avait pensé que c’étaient les mots à employer pour que les luges gagnent un peu de vitesse. on ne sait pas trop où les lucas passèrent les années qui suivirent. selon la tradition, ils habitèrent quelque temps dans la « maison de la colline », que l'on peut aujourd'hui encore identifier comme une ruine en haut de la colline au-dessus de irontown, à environ 0.3 miles (500 mètres) au nord du point ou un chemin forestier quitte la route goudronnée pour longer la piste laurel. (voir dans le chapitre : les terres des lucas). cela se situe à ½ mile de l'angle le plus proche de la parcelle de 75 acres que pasc...