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Vous recherchiez le terme suivant :américains


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1. Évangeline Soyer 🌏 Traces d'Évangeline

...Évangeline soyer 🌏 traces d'Évangeline on trouve plusieurs traces d'Évangeline sur la toile. plusieurs biographes de son grand-père augustin lucas font référence à sa "courte autobiographie" reproduite dans l'article précédent. ce document avait été remis par eugène guellec à mon oncle andré qui m'en a donné une copie (comme à tous les enfants de la famille) en 1972. c'était un des élément du dossier constitué par notre cousin bellilois sur notre famille américaine qui avait émigré aux États-unis en 1854. rupert derek wood cite ma publication de cette autobiographie d'Évangeline (à son ancienne adresse) dans son étude sur la contribution d'augustin lucas à l'histoire de la photographie : the voyage of captain lucas and the daguerreotype to sydney . puis, on trouve des traces d'Évangeline dans 4 recensements américains. toujours notée comme célibataire, elle a habité successivement : 1900 à tygart district, wood, west-virginia (il est précisé qu'elle a immigré en 1877) 1910 à steele, wood, west-virginia 1930 à tygart, wood, west-virginia 1940 à south parkersburg, wood, west-virginia elle est enregistrée aussi pour avoir traversé de france vers l'amérique à l'âge de 12 ans. elle traverse de new-york à brest sur le ville de paris (départ de new york le 7 octobre 1871, selon le new york tribune du 9 octobre 1871) elle est encore en vie le 29 octobre 1951, lorsqu'elle déclare le décès de sa sœur marie. elle décède...


2. Daniel Chauvigné ⌘ Septième métier : militaire de carrière

...user 7,92, récupérés à l'armée allemande. je connais parfaitement cette arme dont le mécanisme est le même que les mauser de grande chasse, sa précision et la fiabilité en font des armes de concours remarquables. après les concours au niveau local, notre équipe a été retenue pour participer au concours régional. le capitaine, au pistolet, moi au fusil, sommes sortis en tête de ce concours, ce qui a permis d'être inscrits individuellement au concours national. il est indispensable pour réussir à ce niveau de s'entraîner sérieusement, mais deux facteurs sont venus troubler cette préparation. le capitaine melder avec presque toute sa compagnie a été muté en tunisie où des troubles avaient lieu. bénéficiant de ma situation d'orphelin, je suis resté à nancy, ainsi que mes camarades soutiens de famille. le changement de l'armement individuel a également gêné ma préparation au concours national. a la place des mauser nous avons été dotés de fusils américains "garant ". cette arme moderne, semi-automatique, est plus adaptée au tir rapide mais avait une précision nettement moins bonne que nos vieux mauser. d'autre part, le cran de mire du système de visée, est, sur le garant remplacé par un œilleton ce qui oblige les tireurs d'élite réapprendre à viser. avec cette arme j'ai obtenu de bons résultats en tirs de rapidité mais j'ai régressé en tir de précision ce qui a entraîné ma radiation pour le concours national. le capitaine paradeuc, un breton, a pris le commandement de la 52° r.d.i. dont l'encadrement en sous officiers de carrière a été sensiblement réduit. c'est pour cette raison que comme brigadier chef, je me suis vu confier le commandement de l'atelier auto, qui, antérieurement était commandé par un adjudant chef aidé de cinq sous-officiers. pour m'aider, je n'ai qu'un brigadier et un 1° classe pour encadrer le même effectif de 35 militaires du contingent. c'est une lourde responsabilité, mais grâ...


3. Amérique 🗽 Quand l'Amérique était Française

...amérique 🗽 quand l'amérique était française les premiers colons qui s'installèrent en amérique du nord le firent au nom d'henri iv. le canada - mais pas la france ! - commémore le quatrième centenaire de cette épopée ce n'est, après tout, qu'une réunion de famille. mais, comme les nord-américains donnent dans la démesure, ces retrouvailles entre cousins, à l'échelle d'un continent, font figure d'événement. le mois dernier, à l'appel du congrès mondial acadien, ils étaient près de 50 000, issus d'une centaine de lignées, à se retrouver, autour de la baie sainte-marie, dans l'est de la nouvelle-Écosse, une des provinces atlantiques du canada. venus des petits ports de la baie des chaleurs, de la moiteur des bayous de louisiane ou des banlieues de montréal et de boston, beaucoup étaient là pour célébrer, au son des violons et des accordéons, un anniversaire largement ignoré à paris, celui de la fondation, il y a tout juste quatre siècles, du premier établissement permanent français en amérique du nord. c'est aux États-unis qu'il faut aujourd'hui se rendre pour avoir une idée de ce que fut le berceau de la francophonie américaine. a la frontière entre le maine et le nouveau-brunswick, dans la baie de fundy, les archéologues ont identifié l'îlot sainte-croix, où aborda, le 26 juin 1604, le protestant pierre du gua de monts, porteur d'une commission royale reçue d'henri iv qui le nommait lieutenant-général pour «le nouveau monde» et surtout lui accordait le monopole sur la traite des fourrures. c'est sur ce caillou désolé, aujourd'hui territoire américain, privé d'eau, à 800 mètres des rives, qu'a commencé l'aventure d'où sont largement issus les 7 millions de francophones canadiens et les 8,3 millions d'américains de souche française. trois ans avant l'établissement des premiers colons anglais à jamestown (virginie), seize années avant l'arrivée, en 1620, des pèlerins du may...


4. Claude 🎓 Les Américains

...claude 🎓 les américains depuis quelques jours, le village s’agitait, bouillonnait d’impatience. plus encore, il était en pleine effervescence : les américains arrivaient ! les américains arrivaient, cela était certain. la b.b.c. l’annonçait à chaque émission, les gens bien informés le savaient, ceux qui ne savaient pas le sentaient dans l’air. le bétail et la volaille "démangeaient" affirmaient les fermiers pour qui, certains signes ne manquent pas. il faut dire aussi qu’on entendait de sourds grondements dans le nord et que de très nombreux avions alliés, en rase-mottes, fouillaient toutes les routes, les bois, les gués, comme chiens de chasse un jour d’ouverture. le gibier n’avait pas attendu pour déguerpir, laissant fritzou en rade, fritzou qui se terrait prudemment. les villageois, quant à eux, n’attendaient que l’arrivée des américains pour pavoiser et les accueillir à coups de piquettes et de fleurs. ainsi bardés, attirail et galonnés fussent-ils, nos maquisards ne pouvaient prétendre à l’accueil que nous réservions pour les g.i. les maquisards, qui avaient d’abord établi leur poste de commandement dans la remise du corbillard, l’avaient bientôt transféré au bistrot, le "café de la libération". là, au quartier général, s’élaborait les audacieuses stratégies et se débattaient les grands concepts universels auxquels nodier, le postier, prêtait son vigoureux concours truffé de marx et de lénine. lénine, à la rigueur, on connaissait un peu. nodier jouissait d’un statut spécial en cette heure décisive car, de son bureau de poste il restait en contact avec la centrale de poitiers qui lui commu...


5. Mahlon ✍ Les débuts américains de la famille Lucas

...mahlon ✍ les débuts américains de la famille lucas le choix d’une installation dans le comté de taylor semble provenir en ligne directe du passé de commerçant du capitaine augustin, même si ce dernier avait perdu toute illusion sur ses perspectives dans le commerce du bois de construction et avait déménagé à cincinnatti. Étant donné que les activités d'augustin avaient été localisées dans le comte attenant de preston, il avait du organiser des arrangements préliminaires, au moins pour l'installation. françois et julien devaient être dans les parages pour accueillir le reste de la famille. ils arrivèrent à grafton en hiver, et apparemment passèrent quelque temps en ville. selon une anecdote, relatée par mon grand-père john, avec quelques autres garçons, ils jouaient sur une colline du voisinage. ils grimpaient jusqu’en haut de la colline, criaient : « allez ! enfer et damnation ! allez ! », puis sautaient sur la luge et se lançaient en décollant au départ. une voisine qui avait entendu cela, vint voir marie louise : « madame lucas, savez-vous comment vos garçons parlent ? ». quand les garçons furent de retour, on leur demanda où ils avaient bien pu ramasser ce vocabulaire anglais. john répondit que c'était ce que le capitaine du navire disait quand le bavaria n'allait pas comme il le souhaitait, et qu’il avait pensé que c’étaient les mots à employer pour que les luges gagnent un peu de vitesse. on ne sait pas trop où les lucas passèrent les années qui suivirent. selon la tradition, ils habitèrent quelque temps dans la « maison de la colline », que l'on peut aujourd'hui encore identifier comme une ruine en haut de la colline au-dessus de irontown, à environ 0.3 miles (500 mètres) au nord du point ou un chemin forestier quitte la route goudronnée pour longer la piste laurel. (voir dans le chapitre : les terres des lucas). cela se situe à ½ mile de l'angle le plus proche de la parcelle de 75 acres que pasc...