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Vous recherchiez le terme suivant :algérie


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1. Daniel Chauvigné ⌘ Septième métier : militaire de carrière

...me répondit que cela n'était pas possible à cause de la diminution des effectifs d'encadrement. j'ai donc été obligé de me préparer tout seul pour me présenter en candidat libre à l'examen de sortie du peloton. a l'issue de l'examen qui dura 3 jours, j'ai été nommé maréchal des logis du contingent le 1er janvier 1955. ma classe étant libérée début mai, j'ai fait une demande d'engagement dans mon grade, mais avec la fin de la guerre d'indochine, un gros contingent de brigadiers chef ont été nommés maréchaux de logis dès leur retour en métropole, ce qui a comblé le nombre de places réservé à ce grade. j'ai donc été obligé de m'engager comme brigadier chef le 1er mai 1955. a la fin de ce mois, ma compagnie est en manœuvres avec toute la division d'infanterie au camp de mourmelon lorsqu'un soir, vers 22 heures, tous les officiers et sous-officiers sont convoqués par le général qui leur a annoncé que dans 3 semaines toute la division partirait pour l'algérie afin d'y effectuer des opérations de maintien de l'ordre. la 52° c.r.d.i. s'est retrouvée regroupée au sein du 52° bataillon de services, commandé par un colonel du train. placé dans l'équipe de tir de ce bataillon, j'ai été remarqué par le chef de corps qui m'a convoqué. il avait étudié mon dossier et s'est aperçu de ma dégradation au cours de mon engagement. en reconnaissance de mes résultats de tir et de la tenue de mon poste technique, il m'autorisa de porter les gallons de maréchal des logis. bien que n'ayant pas la solde correspondante, cette faveur affirma mon commandement et m'encouragea dans la carrière des armes. dans la foulée, j'avais obtenu le certificat interarmes, épreuve difficile par sa complexité. le 5 juin 1955, j'ai été désigné avec 5 hommes de troupe pour partir en détachement précurseur avec tout le matériel de la division. nous avons débarqué à alger le 7 juin après avoir effectué une agréable traversée maritime. not...


2. Afrique 🌍 Lamartine Algérie

...afrique 🌍 lamartine algérie notre grand-père georges cadel est né en algérie, à kléber en 1893. il a quitté le pays à 13 ans, quand il s'est embarqué comme mousse sur un cap-hornier. il semblerait que ses trois frère et sœurs encore en vie, marie, Émilienne et gaston habitaient dans les années 40-50 le même village de lamartine, dans le défilé de l'oued fodda, à 34 kilomètres au sud-est d'orléansville. leur mère maria y avait fini ses jours vers 1948 : après le décès de son mari, elle était venue habiter chez sa fille Émilienne. a l'automne 1952, nos grands-parents georges et anna, accompagnés de nos parents rené et ginette, ont séjourné plusieurs semaines dans leur famille de lamartine. la revue algérianiste a publié dans son numéro 113 de mars 2006 une histoire du village de lamartine en 1900. en voici le texte intégral, en dessous des images. note : les originaux sont reproduits à cette adresse : http://cagrenoble.fr/revue/113/images.htm source : http://alger-roi.fr/alger/lamartine/textes/1_lamartine_algerianiste113.htm lamartine, village d'algérie en 1900par edgar scotti (†) le chef-lieu de la commune mixte du chélif, créé en 1888 sur 1 445 ha, puis agrandi en 1894 sur 597 ha, s'étend dans le pittoresque défilé de l'oued fodda (la rivière de l'argent), dont le centre du même nom, se trouve à 11 km au nord. situé au sud-est d'orléansville dont il est distant de 34 km et à 197 km au sud-ouest d'alger, le village prit le nom d'un de nos grands poètes et hommes politiques, né à milly près de mâcon en 1790, mort à paris en 1869. arrosé par les eaux du massif de l'ouarsenis qui culmine à 1 985 m, lamartine, à 216 m d'altitude, bénéficie d'un bon climat avec des températures qui varient entre 14 °c en hiver et 42 °c en été. l'oued fodda, affluent du chélif, permet par des canaux de dérivation d'irriguer 200 ha de cultures diverses. l'alimentation en eau est assurée par des sources. le...


3. Louis Auguste À l'origine de la quête

...louis auguste À l'origine de la quête je suis le conteur de la tribu nous sommes des émigrants, des pionniers, des conquérants, nous avons colonisé l’amérique. nous nous y sommes pris à trois fois, au xvi° siècle, au xix°, au xx°, même peut-être quatre si jonathan y fait souche, car chez lui vient de naître au xxi°e siècle une petite new-yorkaise. et encore, là, je ne vais pas vous conter aujourd’hui tahiti, le chili, le japon, l’algérie et le continent noir où nous avons posé nos marques. ni la diaspora du grand dérangement au xviii° siècle quand les goddams (ces maudits anglais …) nous on déportés. encore que... en fait, l’expulsion des nos aïeux acadiens et leur ré-implantation en france, à belle-isle-en-mer, la découverte de leur parcours, c’est bien ce qui a déclenché ma passion pour la généalogie. j’avais 21 ans en 1972 et je suis devenue le conteur de la tribu. toutes les tribus en ont un, et c’est ce jour là que j’en ai reçu la marque. nous étions tous autour du lit en septembre 1972 quand mon grand-père s’en est allé, ses fils, ses petits-enfants. madeleine, notre belle-grand-mère, sa seconde épouse, nous a entraînés, nous les 5 petits-enfants au rez-de-chaussée, dans le magasin : « j’ai quelque chose pour vous, c’est votre histoire, votre grand-père avait prévu de vous la confier. suivez-moi. » nous sommes descendus encore, à la cave elle nous a placés au pied de l’escalier et a remonté trois marches. chaque marche recouvrait un tiroir, chaque contre-marche avait un bouton de bois et une étiquette. madeleine ouvre le tiroir « belle-Île » et en sort un dossier. (je l’ai encore) je m’en empare, je suis l’aînée, après tout… madeleine remonte à l’étage, les trois plus jeunes ne sont pas passionnés et partent explorer les hangars. je reste avec mon cousin gildas, il a 18 ans, et nous, c’est le dossier que nous explorons. nous n’avons pas vu le temps passer, nous ...


4. Conteur de la tribu 🗺 Généa50

...conteur de la tribu 🗺 généa50 nous sommes des émigrants, des pionniers, des conquérants, nous avons colonisé l’amérique. nous nous y sommes pris à trois fois : au xvi° siècle (les pionniers d’acadie) au xix° (les lucas de belle-Île vers la virginie de l’ouest), au xx° (là, c’est mon beau-frère en 1954), même peut-être quatre si mon petit-neveu jonathan y fait souche, car chez lui vient de naître au xxi° siècle une petite new-yorkaise. et je pourrais encore vous conter tahiti, le chili, le japon, l’algérie et le continent noir où nous avons traîné nos guêtres. sans oublier saint-pétersbourg, le portugal et la diaspora du grand dérangement au xviii° siècle quand les goddams (ces maudits anglais …) nous ont déportés. en fait, l’expulsion des nos aïeux acadiens et leur ré-implantation en france, à belle-isle-en-mer, la découverte de leur parcours, c’est bien ce qui a déclenché ma passion pour la généalogie. j’avais 21 ans en 1972 et je suis devenue le conteur de la tribu. toutes les tribus en ont un, et c’est ce jour là que j’en ai reçu la marque. l'origine de la quète nous étions tous autour du lit en septembre 1972 quand mon grand-père s’en est allé, ses fils, ses petits-enfants. madeleine, notre belle-grand-mère, sa seconde épouse, nous a entraînés, nous les 5 petits-enfants, au rez-de-chaussée, dans le magasin « j’ai quelque chose pour vous, c’est votre histoire, votre grand-père avait prévu de vous la confier. suivez-moi. » nous sommes descendus encore, à la cave. elle nous a placés au pied de l’escalier, puis a remonté trois marches. chaque marche recouvrait un tiroir, chaque contre-marche avait un bouton de bois et une étiquette. madeleine a ouvert le tiroir « belle-Île » et en a sorti un dossier. (je l’ai encore) je m’en suis emparé, je suis l’aînée, après tout… madeleine est remontée à l’étage, les trois plus jeunes n'étaient pas passionnés ...