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6. Recherches généalogiques 🔎 Le Micmac de la Daussy

...recherches généalogiques 🔎 le micmac de la daussy le micmac de la daussy ou les épouses de jean godet. il est à peu près admis par tout le monde que jean godet a eu 2 épouses. le nom de la seconde est connue grâce aux différents recensements, il s’agit de nicole colleson qu’il épousa vers 1652. le problème est lié à la première épouse, pour laquelle on cite le nom de marie daussy.l’origine de cette affirmation se trouve dans l’ouvrage du père adrien bergeron "le grand arrangement des acadiens au quebec". dans son dictionnaire généalogique stephen white remonte à la source de cette erreur ; il cite un article de novia francia de 1927 dans lequel on parle d’un certain jean gaudet d’abbeville (picardie) qui avait 59 ans en 1727, donc né vers 1668 et qui était le fils de jean gaudet et marie daussy. des généalogistes ont fait le rapprochement avec le jean gaudet d’acadie. ceci est totalement impossible car en 1668, à la naissance de jean gaudet, fils de jean gaudet et marie daussy, notre jean gaudet acadien était à port royal marié avec nicole colleson. pourtant le nom daussy figure toujours dans de nombreuses généalogies acadiennes. le père bergeron lui même a avoué s’être trompé sur ce point. (article paru dans société généalogique canadienne française. vol. 40, # 4, p. 299.) certains auteurs pensent que sa première femme serait en fait d’origine micmac, ce qui n’est pas très facile à prouver. dans son ouvrage « une colonie féodale en amérique » edme rameau fait allusion dans une note à une branche métisse de cette famille. "source : rapport de desgouttins du 2 octobre 1702 et les recensements de 1686-93-98 etc (archives de la marine) ce nom s'écrit gaudet ou godet et les membres de cette famille sont très nombreux, non seulement au nouveau-brunswick, mais aussi au canada et en louisiane. il y avait aussi une branche métisse de cette fami...


7. Jean-Marie et Pascaline Samzun ⎈ Les Bellilois

...jean-marie et pascaline samzun ⎈ les bellilois nos arrière-grands-parents sont nés à belle-Île-en-mer. ils y ont grandi, s'y sont mariés. leurs quatre filles y sont nées. mais ils ont préféré s'installer sur le continent pour leur assurer des études plus poussées. elles ont toutes quatre été diplômées, deux d'entre elles sont devenues sage-femmes, une autre institutrice. ce qui n'était pas très répandu à l'aube du xxe siècle, surtout pour des filles de marin. pascaline joséphine lucie hélène lucas est née le 31 mars 1866 au bourg de sauzon, que l'on appelait à l'époque port-philippe. ses parents augustin bruno lucas et anne marie granger (photo ci-contre) sont l'un et l'autre cultivateurs et tous deux aussi descendants des acadiens qui vinrent s'installer sur l'île en 1765 : 5 générations en arrière, on trouve des deux côtés charles granger (de port-royal) et françoise leblanc (de grand-pré) qui habitaient l'acadie, avant que les anglais ne les déportent. tous les autres ascendants de pascaline sont bellilois, aussi loin que l'on puisse remonter, parfois sur 7 ou 8 générations.   toussaint jean-marie samzun est un îlien pur jus ou quasi. aucun américain parmi ses ancêtres, peut-être la trace d'une bretonne continentale, en cherchant loin ... toussaint est né le 16 juillet 1862 à bortifaouen, commune de port-philippe. ses parents, charles marie samzun et jeanne marie lucas sont cultivateur et cultivatrice selon la déclaration de naissance.   pascaline et jean-marie se marient le 29 mai 1888 à sauzon. ils vont avoir 4 filles, en 1889, 1894, 1895 et 1897, toutes nées à sauzon. lors de la naissance de joséphine marie, le 20 mars 1889, le père est absent. selon l'acte, il est marin et son épouse ménagère. ils habitent au bourg de sauzon. a la naissance de notre grand-mère anna le 27 juillet 1894, c'est jean-marie, toujours marin qui fait la déclaration. la mère est indiquée sans profession. les témoins sont l'...


8. Amérique 🗽 Les cousins d'Amérique

...amérique 🗽 les cousins d'amérique en remontant l'arbre généalogique de notre grand-mère belliloise anna samzun, on rencontre à deux époques des américains. deux dates, deux branches : les granger et 1765, les lucas et 1854. 1765, c'est l'arrivée à belle-ile-en-mer de 78 familles acadiennes, déportées par les anglais lors du grand dérangement. les noms granger, leblanc, theriot, landry, trahan, gaudet ... sont présents dans bien des généalogies belliloises. mes 40 ans de recherches ont été facilitées par deux sources généalogiques abondamment commentées et exploitées : les recensements acadiens et les déclarations de belle-ile. 1854, c'est l'émigration vers la virginie occidentale des lucas qui échangèrent pendant 2 décennies des nouvelles avec la famille restée à belle-ile-en-mer. on a retrouvé quelques lettres de cette époque et l'un de nos cousins d'amérique, mahlon lucas henderson a publié en 1986 une histoire de cette famille bretonne en amérique qui a reconstitué après un siècle des liens par delà l'atlantique. ce sont ces deux rameaux d'acadie et de virginie, que je présenterai sous ce chap...


9. Amérique 🗽 Enfin retrouvés ...

...amérique 🗽 enfin retrouvés ... une chanson de daniel léger pour les rencontres 2009 du congrès mondial acadie...


10. Amérique 🗽 Quand l'Amérique était Française

...amérique 🗽 quand l'amérique était française les premiers colons qui s'installèrent en amérique du nord le firent au nom d'henri iv. le canada - mais pas la france ! - commémore le quatrième centenaire de cette épopée ce n'est, après tout, qu'une réunion de famille. mais, comme les nord-américains donnent dans la démesure, ces retrouvailles entre cousins, à l'échelle d'un continent, font figure d'événement. le mois dernier, à l'appel du congrès mondial acadien, ils étaient près de 50 000, issus d'une centaine de lignées, à se retrouver, autour de la baie sainte-marie, dans l'est de la nouvelle-Écosse, une des provinces atlantiques du canada. venus des petits ports de la baie des chaleurs, de la moiteur des bayous de louisiane ou des banlieues de montréal et de boston, beaucoup étaient là pour célébrer, au son des violons et des accordéons, un anniversaire largement ignoré à paris, celui de la fondation, il y a tout juste quatre siècles, du premier établissement permanent français en amérique du nord. c'est aux États-unis qu'il faut aujourd'hui se rendre pour avoir une idée de ce que fut le berceau de la francophonie américaine. a la frontière entre le maine et le nouveau-brunswick, dans la baie de fundy, les archéologues ont identifié l'îlot sainte-croix, où aborda, le 26 juin 1604, le protestant pierre du gua de monts, porteur d'une commission royale reçue d'henri iv qui le nommait lieutenant-général pour «le nouveau monde» et surtout lui accordait le monopole sur la traite des fourrures. c'est sur ce caillou désolé, aujourd'hui territoire américain, privé d'eau, à 800 mètres des rives, qu'a commencé l'aventure d'où sont largement issus les 7 millions de francophones canadiens et les 8,3 millions d'américains de souche française. trois ans avant l'établissement des premiers colons anglais à jamestown (virginie), seize années avant l'arrivée, en 1620, des pèlerins du may...